Documents GERARD José 47 résultats

Que ressentent les enfants lors du divorce de leurs parents ? Comment leur en parler, les rassurer et les aider à passer ce cap difficile ? Comment rester parents à part entière malgré la séparation ? La garde alternée est-elle une bonne solution ? Faut-il tenir compte de l'avis des enfants ? Quels sont les pièges à éviter ? Etc. Ces questions et bien d'autres, questions de la vie quotidienne des enfants du divorce, sont abordées dans ce dossier.
En donnant la parole aux enfants, tout d'abord, et en les écoutant. Parce que c'est de leur vie qu'il s'agit. En interrogeant les parents aussi. Parce que quelle que soit leur histoire, ils sont le plus souvent très soucieux de chercher à gérer l'échec de leur couple au mieux des intérêts de leurs enfants. Leur expérience peut être utile à d'autres.
(Texte repris, en partie, au dos du dossier)[-]

Comment vit-on la perspective de la mort lorsqu'on vous annonce une tumeur cancéreuse, lorsque l'on a 18 ans ? Comment intégrer l'idée de la finitude, l'idée qu'un jour tout sera fini ? Que recouvre l'angoisse de mort et comment y réagir ? Pourquoi tant de personnes se risquent-elles aujourd'hui à "jouer avec la mort" dans des pratiques extrêmes comme le saut à l'élastique ? Comment parler de la mort avec des enfants ? Que dire et surtout ne pas dire à des personnes endeuillées ? Qu'est-ce qui a changé dans nos pratiques autour de la mort ?
Voici quelques-unes des questions que ce dossier tente d'aborder.
(Texte repris, en partie, au dos du livre)[-]

Etre mères célibataires n'est pas une situation nécessairement nouvelle, mais est aujourd'hui socialement revendiquée. Sont-elles le signe que les femmes se sont définitivement émancipées des hommes? Ou que les hommes et les femmes ont une telle revendication d'autonomie qu'il leur devient difficile de construire ensemble une famille? En d'autres termes, ces chemins de vie en solo ne sont-ils pas le révélateur de la mort d'une certaine idée de couple?
Pour répondre à cette question, ce dossier interroge des personnes qui vivent ce genre de situations. Elles l'ont voulu ou le subissent. Elles s'en réjouissent ou en souffrent.
Plusieurs spécialistes apportent aussi leur éclairage, mettant la question en perspective. Un dossier qui interroge chacun sur la manière dont nous vivons aujourd'hui les liens d'amour et de filiation.[-]

Croire en Dieu ou non, être attaché à une échelle de valeurs, tenir à une philosophie de la vie, penser qu'il y a une vie après la mort, se faire une représentation de ce que devrait être la société et lutter pour qu'elle advienne, etc. : voilà des convictions.
Dans notre société, les convictions n'ont pas nécessairement bonne réputation. Elles riment souvent avec intransigeance ou intolérance, quand ce n'est pas avec intégrisme et terrorisme. C'est sans doute une des raisons pour lesquelles il est de plus en plus fréquent d'entendre dire que le lieu des convictions est la sphère privée. Or, la famille est le premier lieu de la sphère privée. Quelle place ont donc les convictions dans les familles, qui sont désormais plus démocratiques, où la liberté et l'épanouissement de chacun sont des valeurs primordiales, comment s'y vit le rapport aux convictions? Les parents font-ils encore état de ce qui les fait vivre? Ou bien leur crainte d'imposer leurs idées entraîne-t-elle un grand silence sur leurs convictions?[-]

DOCUMENT PERDU
Depuis quelques années, le jeu semble retenir aussi l'intérêt des plus âgés. Jeux de rôle, jeux de table, jeux électroniques ou en ligne connaissent une vogue sans précédent. Que ce soit devant leur écran d'ordinateur, en famille, à quelques amis, lors de grands week-ends en salle ou dans un site naturel, les adultes -jeunes ou moins jeunes- n'hésitent plus à consacrer du temps à jouer, ce qui n'aurait pas fait très sérieux il y a quelques années...
D'où vient ce nouvel engouement ? A quels besoins d'imaginaire, de détente, de convivialité répondent-ils? Vit-on mieux lorsque l'on joue?[-]

Certaines femmes l'affirment: quand elles veulent se situer à égalité avec un homme, il a une fâcheuse tendance à ne pas s'attarder. Seraient-ils incapables de vivre une relation où il n'ont plus un pouvoir sur leur partenaire ? Pour elles, l'image de la masculinité reste souvent construite autour de l'inégalité, que l'on transforme parfois subtilement en différence. Les femmes paient donc le prix fort lorsqu'elles veulent vivre en justesse par rapport à elles-mêmes, un prix de solitude parfois difficile à exprimer. Et il se trouve toujours bien quelqu'un pour leur dire: "Ne te plains pas, tu l'as voulu, quand même! Tu ne te rends pas compte, mais tu fais peur aux hommes". Ce constat est-il partagé par de nombreuses femmes ? Qu'en pensent les hommes ? Où se situent précisément les difficultés pour établir des relations égalitaires ? Que signifie d'ailleurs une relation égalitaire dans le champ affectif ? Quel sens peut-on y donner ? Quelles pistes tracer pour favoriser des relations où toutes et tous se sentent reconnus dans leur identité propre ?[-]