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Il est de plus en plus fréquent de voir le sexe, la séduction et l'intimité s'exposer dans la publicité. Comment en est-on arrivé là ? Comment les publicitaires utilisent-ils les connotations sexuelles pour tenter de nous séduire ? Quels sont les effets de cette publicité sur notre société ? Et l'éthique dans tout cela ? Esther Loubradou, docteur en sciences de l'information et de la communication, a mené l'enquête et analysé le phénomène, images à l'appui.[-]

Il était une fois la séduction. Il était une Oedipe, Narcisse et les sirènes... Le besoin, voire la nécessité de séduire semblent avoir envahi les sphères économiques, politiques, médiatiques, familiales et individuelles. Que penser aujourd'hui de la place et des formes de la séduction dans la relation parents-bébé, dans les relations entre enfants, entre adolescents, dans leurs liens aux adultes ? Comment comprendre les comportements de séduction des enfants et des adultes dans la clinique de l'hystérie ou de la perversion ? Comment penser et accompagner la découverte et l'éclosion de la sexualité génitale dans le monde contemporain des nouveaux contextes sociaux et familiaux.[-]

Dans les pays industrialisés, le réseau internet est devenu un des espaces privilégiés de rencontre de partenaires. Nombre de nos contemporains se rencontrent, se séduisent, s'enamourent, se séparent aujourd'hui sur la Toile. Des couples déjà constitués sont aussi affectés par les expériences virtuelles d'un des conjoints. Cet ouvrage vise à rendre compte des modifications induites par le recours à internet dans la sphère de l'intime. Dans une perspective interdisciplinaire, il étudie différentes scènes de la vie conjugale - recherche d'un partenaire, jeu de séduction, présence d'un(e) amant(e) virtuel(le) - afin de comprendre les bouleversements qui en résultent pour le couple contemporain, et ainsi de mesurer l'impact de ce type de relation sur la vie quotidienne des individus. Une place significative est accordée à la question de la clinique de la relation amoureuse, et notamment à la façon dont elle est interpellée par ces nouvelles modalités de création du lien amoureux et/ou sexuel.
(Texte repris au dos de l'ouvrage)[-]

Les relations amoureuses et sexuelles entre le personnel des prisons et les détenus, et entre les personnes de la communauté (le plus souvent des femmes) et les criminels violents en général, font l'objet d'études psychosociologiques depuis la parution en 1939 du livre du docteur Samuel, « Les amoureux des criminelles » (I'enclitophilie). Le docteur Locard reparle de ce phénomène psychologique dans le tome VII de son « Traité de criminalistique » paru en 1940. Le terme d'origine grecque « hybristophilie » (aimer ce qui commet un outrage contre autrui) a maintenant remplacé le terme « enclitophilie » (aimer le blâmable). Ce comportement amoureux, considéré comme socialement inadapté, peut avoir de graves conséquences aussi bien pour l'administration pénitentiaire que pour les personnes amoureuses.[-]

De nos jours, avoir la rage signifie qu'on en veut. Elle est souvent propre à nos adolescents mais pas seulement. Si cette rage peut être positive car créatrice, elle peut par contre vite devenir négative et entraîner les personnes dans un processus destructeur. Comment faire alors pour trouver le bon équilibre ? Pas toujours facile, à l'adolescence, de faire la part des choses. Et c'est souvent là que les personnes mal intentionnées interviennent et les font basculer. Il faut donc savoir repérer les signes et réagir d'une manière appropriée. L'auteur nous donne les clés pour y parvenir.[-]