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Hélène Goninet est devenue sage-femme par désir profond d'accompagner des naissances à domicile dans le respect du processus naturel de l'enfantement. Dans ce récit, elle nous livre ses aventures palpitantes auprès des mères, des bébés et de leur famille. « La nuit est noire et profonde. Silencieuse. Je roule dans la nuit. Le téléphone a sonné il y a une heure. J'ai décroché instantanément. Je n'ai pas hésité une seconde. Et je roule maintenant. Vers cette femme sur le point d'enfanter. Vers cet homme qui l'accompagne. Vers ce bébé qui a décidé de naître aujourd'hui ou très bientôt. » Ainsi commence le journal de Hélène Goninet, jeune sage-femme fraîchement diplômée, qui part accompagner une naissance à domicile. Ce journal est le récit des naissances qu'elle a accompagnées dans les foyers pendant plus de vingt-cinq ans de pratique, mais aussi le récit de sa propre expérience d'accouchement et de maternité, et de l'apprentissage de son métier, à l'école et sur le terrain. L'autrice nous parle également du statut de sage-femme à domicile, qui dérange un certain ordre établi et n'est pas facilité par la politique périnatale française, et partage des réflexions stimulantes sur la naissance et le sens de la vie. (note de l'éditeur)[-]

Les couples qui s'apprêtent à accueillir la vie sont nombreux à se poser des questions comment se préparer au mieux à l'arrivée du bébé ? Qu'est-ce que le projet de naissance et comment le rédiger ? Que penser de la péridurale ? Comment réussir la mise en place de l'allaitement ? Comment vivre le post-partum en douceur ? Avec cet ouvrage, Eve Aschour facilite la tâche des futurs parents en leur offrant une préparation à la naissance claire et concise sous forme de mémos illustrés. Entre informations documentées et partage d'expériences personnelles, l'autrice met en avant l'essentiel à retenir pour l'arrivée d'un enfant. Dessiner ce qui touche à l'accouchement, c'est lui redonner toute sa beauté, mais aussi le rendre accessible, et facilement mémorisable. Un livre-outil pratique, sans équivalent, à glisser dans le sac maternité de tous les futurs parents ! (note de l'éditeur)[-]

Êtes-vous prêt pour une nouvelle éthique amoureuse ?
« Longtemps, j'ai été jalouse comme une tigresse. La jalousie est sans doute l'émotion la plus violente qu'il m'ait été donné de vivre. À son heure, elle m'a dévastée. Et, naturellement, c'est d'elle que j'ai le plus appris. Quand on réussit à transcender la peur de perdre l'autre, on passe de l'enfer à la félicité. On découvre la joie de l'amour inconditionnel.
La jalousie a été ma grande initiatrice. Gratitude. »
La vie audacieuse de Michka donne ici naissance à un témoignage lumineux.
Un livre libérateur. (4e de couverture)

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Résolument cartésienne, Caroline Fualdès a d'abord cherché à soigner ses nombreux maux : endométriose, névralgie pudendale, fibromyalgie, électrohypersensibilité, grâce à la médecine allopathique. Mais, ne supportant pas les effets secondaires des médicaments, elle a dû trouver des alternatives. Se rapprocher de la nature et des animaux, accepter la dimension énergétique de ses maux, le poids de ses traumatismes passés, adopter une alimentation saine et adaptée à ses besoins, décoder le sens profond de ses maladies pour prendre conscience de leurs messages et, d'une façon générale, développer sa spiritualité, ont été autant de pistes salutaires. C'est durant ce parcours de guérison que l'autrice a découvert ses dons de médiumnité et la communication avec le monde invisible, qui ont accompagné son éveil spirituel et son voyage vers l'épanouissement. (note de l'éditeur)[-]

Qui n'a entendu les questions insistantes et intrusives sur la «re- cherche d'emploi qui n'avance pas », le « besoin incompréhensible de solitude » ou le « deuil qui n'en finit pas » ? Qui ne s'est trouvé confronté au besoin impérieux de repli et à l'envie de tout envoyer paitre ? L'épidémie de burnout, le désengagement des jeunes générations et les démissions en masse questionnent le modèle des institutions panacées ou de l'entreprise comme voie royale.
Paresse ? Manque de courage ? Ou formidable force d'opposition, salutaire à l'agitation perpétuelle qui vampirise les forces de vie ? Une résistance qui ne dit pas son nom et s'organise sans mot d'ordre pour se reconnecter à l'essentiel ? Posons l'ancre. Laissons passer les trains qui nous éloignent de nous-mêmes. L'espace-temps gagné alimente déjà la renaissance à venir. (4e de couverture)[-]