Documents VALEUR CULTURELLE 23 résultats

L'objectif de ce cahier pédagogique est d'amener les jeunes et les adultes à ouvrir le débat et la réflexion sur cette thématique du mariage en migration. A titre d'exemple: "pourquoi certains jeunes se marient-ils avec une personne du pays d'origine? ne trouvent-ils pas le bonheur ici? Subissent-ils une pression familiale? Comment s'exerce-t-ele? Quelles stratégies peuvent-ils mettre en place pour composer avec ce contexte contraignant? Leurs parents considèrent-ils être en dette par rapport à la famille restée au pays?..."
Toutes les pistes d'animation proposées dans ce cahier pédagogique ne sont bien entendu que des propositions. Il revient à chaque animateur de les adapter aux caractéristiques et à la dynamique du groupe.[-]

Il est des activités professionnelles qui sont auréolées d'un véritable prestige et d'autres qui sont dévalorisées de multiples façons. Afin de rendre compte des processus de construction et de valorisation symboliques des groupes professionnels, les auteurs portent leur attention sur des groupes appartenant aux classes moyennes supérieures. Ces derniers présentent la particularité de subir différentes formes de dévalorisation, alors que, intuitivement, on pourrait considérer qu'ils devraient bénéficier d'une image d'ensemble plutôt positive, en corrélation avec leur position socio-économique relativement élevée. Être en haut ou en bas de l'échelle sociale ne suffit pas ainsi à expliquer la nature des représentations sociales.
(Texte repris, en partie, au dos de l'ouvrage)[-]

Ils vivent sur le toit du monde à des altitudes extrêmes ; ils parcourent les terres désolées du Grand Nord que balaient des vents glacials ; ils habitent au cµur des déserts ou dans les replis des jungles équatoriales que pénètrent à peine les rayons du soleil... Ici, là et ailleurs sont les peuples de la Terre, porteurs de différences moins génétiques que culturelles, des civilisations dont le rythme quotidien est loin d'être celui du monde industrialisé. Ces sociétés et tribus en devenir constant conservent l'extraordinaire capacité de s'influencer les unes les autres, générant ainsi les variantes infinies regroupées sous le nom, universellement reconnu, d'humanité. Dans cet ouvrage, il est question des Andalous, des Walser, des cavaliers de la Puszta, des Tziganes, des berbères, des Touaregs, des Dogon, des Peuls, des Bororo, des Surma, des Massaï, des Pygmées, des Himbas, des Bochimans, des Ndébélé, des bédouins, des Haredim, des Kurdes, des Pachtouns, des Rabari, des Ladakhi, des Gallong, des Nishi, des Apatani, des Wancho, des Bondo, des Sherpa, des Tibétains, des Mongools, des Aïnous, des Miao, des Padaung, des Bali-Aga, des Dani, des Yali, des Una, des Korowaï, des Arapesh, des Huli, des Aborigènes, des Maori, des Polynésiens, des Amérindiens, des Amish, des Huichol, des Mayas, des Kuna, des Yanomami, des Péruvines, des Aymara, des Samet, des Tchouktches, et des Inuits.[-]

Un nouvel objet vient enrichir le champ d'investigation des sciences humaines : le « fait alimentaire ». Ce dictionnaire est le premier à exposer la diversité et la richesse de sens que cette expression recèle. Penser l'alimentation, c'est l'inscrire naturellement au coeur des dialectiques culturelles et sociales : celles du terroir et de la mondialisation, de l'authentique et de la standardisation des denrées, du symbolique et du réel, de l'animalité et de l'humanité. Du don à la privation, de l'aide à l'arme alimentaire, de la malnutrition à l'engraissement, de la pensée sauvage à la rationalité industrielle, de la nutrigénétique à la nutri-génomique, de l'herbivore à la vache folle, du restaurant au fast-food, du besoin au rituel..., manger, c'est dépendre d'une culture. Plus de 245 études, rédigées par 170 spécialistes d'horizons extrêmement divers, composent le menu du "Dictionnaire des cultures alimentaires". Penser la transformation des conceptions nutritionnelles au miroir des connaissances acquises sur les modèles alimentaires mondiaux est le défi humaniste/humanitaire de cette entreprise collective. (note de l'éditeur)[-]

Les sociétés et les régions du monde développent des perspectives originales sur la diversité, le rapprochement et le dialogue interculturel. Elles sont le fruit d'interactions complexes entre structures régionales, instances gouvernementales ou de la société civile et institutions de la culture. Les outils dont disposent ces acteurs sont facilement identifiables à l'échelle globale, notamment ceux régulièrement produits par l'UNESCO. Mais d'autres outils existent. Dispersés, ils sont moins faciles d'accès. C'est pourtant grâce à eux que régions et pays parviennent à produire des réponses adaptées aux problématiques régionales et nationales en matière de soutien et de promotion de la diversité. Universités interculturelles, bibliothèques virtuelles, programmes de formation aux politiques urbaines, MOOCs, vidéos conférences, expositions virtuelles, archives en ligne, ils sont multiples et divers. Cet ouvrage propose une relecture du concept de dialogue interculturel ancré dans les points de vue régionaux sur la diversité ainsi qu'un large panorama de ressources en ligne, outils théoriques, pratiques et techniques, partagés et partageables. (note de l'éditeur)[-]

La formation T4F a été développée de manière collaborative et participative par des centres de formation mais également des experts sur les thématiques du développement durable et/ou de l'économie sociale.
Cette formation a pour objectif d'introduire des notions de durabilité et des compétences dites « vertes » dans le secteur de l'alimentation. Elle peut être dispensée dans son entièreté ou module par module. En effet, l'objectif est qu'elle puisse être utilisée par des centres de formation divers et destinée à des publics d'apprenant.e.s de tous niveaux. Et chaque module d'apprentissage allie théorie et pratique pour développer ou approfondir de manière globale mais concrète les différents aspects de l'alimentation durable. [-]

La signification que les individus donnent aux choses repose nécessairement sur les transactions et les motivations humaines, et plus particulièrement sur la façon dont ces choses circulent et dont on en fait usage. Grâce aux essais de spécialistes en anthropologie sociale et d'historiens, ce livre construit un pont entre l'histoire sociale, l'anthropologie culturelle et l'économie et marque une étape majeure dans notre compréhension des fondements culturels de la vie économique et de la sociologie de la culture. Il trouvera un écho chez les anthropologues, les historiens des sociétés, les économistes, les archéologues et les historiens de l'art. (note de l'éditeur)[-]