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Parmi la trentaine d'élèves qui constituent la plupart des classes de maternelle, pas un seul n'a le même rapport aux autres, ni le même passé de socialisation, ni enfin la même maîtrise des différents modes de communication. Afin de réduire ces disparités, il est important d'apprendre à vivre en groupe. Or, "apprendre à vivre ensemble, c'est apprendre à communiquer" (I.O. 1995). La plupart des situations vécues en maternelle peuvent être le support privilégié d'activités favorisant cet apprentissage. A travers une cinquantaine de fiches pratiques, l'auteur propose ici plusieurs pistes d'exploitation. Chacune présente :
- la situation de départ : événements quotidiens de la vie en classe, activités artistiques, expression corporelle, jeux ;
- les objectifs mis en oeuvre s'écouter, émettre des hypothèses, prendre conscience de soi-même et du groupe-classe... ;
- le mode de communication lié à l'activité : les enfants entre eux ou avec la médiation de l'enseignant ;
- le matériel utilisé.
Un livre-ressources indispensable pour les enseignants qui désirent exploiter efficacement toutes les situations permettant défaire communiquer les enfants en maternelle. [-]

Notre système scolaire reconnaît le droit de tous les enfants à une éducation de qualité. Cependant, la période de scolarisation ne se déroule pas de la même manière pour tous. Si certains élèves réussissent et s'épanouissent tout au long de leurs études, d'autres éprouvent des difficultés plus ou moins marquées et marquantes. La troisième édition des Élèves en difficulté d'adaptation et d'apprentissage, entièrement mise à jour, traite d'une façon pertinente et selon une approche pratique des thèmes suivants : l'historique de la scolarisation des élèves en difficulté ou handicapés ; les principes guidant l'évaluation et la planification des interventions ; les plans d'intervention, de services et de transition ; les difficultés d'apprentissage en lecture, en orthographe et en mathématique ; les difficultés d'ordre comportemental ; la déficience intellectuelle, physique, langagière ou sensorielle ; les troubles la collaboration avec les parents et les services complémentaires. Ce manuel s'adresse à toutes les personnes qui s'intéressent aux élèves en difficulté ou handicapés ou qui travaillent auprès d'eux, que ce soit les étudiants en formation des maîtres ou en psychologie, les enseignants ou les ou orthopédagogues.[-]

Les élèves d'aujourd'hui ne sont plus les élèves d'hier concentrés, obéissants, sages, etc. Les élèves actuels sont indifférents, grossiers, sensibles, démarrent au quart de tour, etc. Autant dire qu'ils sont devenus ingérables et dans ce contexte, la parole de l'enseignant n'est plus écoutée. Certains baissent les bras, avec les conséquences que cela implique pour leurs élèves. D'autres, par contre, s'obstinent. Depuis de nombreuses années, Francis IMBERT travaille avec ces derniers et fait part ici de son expérience et de ses conclusions.
Un ouvrage pour aider les enseignants en difficulté et qui ne se résignent pas.[-]

Il ya des élèves qui bavardent et ceux que le bavardage empêche de se concentrer. Il y a les profs autoritaires et ceux qui se contentent, résignés, d'avaler des aspirines. Il y a les parents qui trouvent que ça commence à bien faire et ceux qui pensent qu'après tout leurs enfants ont droit à la parole. Mais le plus beau paradoxe de l'affaire, c'est que le bavardage, personne n'en parle.
Il ne s'agit pourtant pas que d'un simple désagrément, ni d'une tendance infantile qui disparaît d'elle-même avec l'âge, ni d'un problème confiné à certains établissements réputés difficiles. Le bavardage sévit partout, à tous niveaux, et constitue de ce fait une menace pour la qualité de l'enseignement.[-]

Ses notes ont chuté d'un seul coup, elle n'aime pas sa maîtresse, il est complètement démotivé, il s'ennuie à l'école, elle n'apprend pas ses leçons... Que faire quand un enfant a des difficultés à l'école ? Comment l'aider avant qu'il soit entraîné dans la spirale de l'échec scolaire ? En prenant appui sur le cas d'Antoine, Carine, Ivan et beaucoup d'autres, ce livre fait le tour des principales difficultés scolaires. Il apporte les clés pour comprendre et les outils pour agir. Pour faire des élèves des accros à la réussite !
(Texte repris au dos de l'ouvrage)[-]

Quelle place convient-il d'accorder au plaisir, voire au bonheur qui en est la généralisation, dans les instituts de formation, dont l'école est la principale ? Aurait-on tendance à estimer dangereux de lui en faire une ? Le désir d'apprendre a pris le pas sur le bonheur de connaître. Ce bonheur de connaître est construction de plaisir tant dans le processus que le résultat. Il permet un épanouissement durable de l'Homme. L'absence de plaisir dans l'acte d'apprentissage conduit à la perte de sens, l'insécurité, la peur, l'angoisse. L'élève en échec ou l'élève à haut potentiel se trouve en décalage. Il risque la dépression, connaît le refus d'apprendre, s'inscrit en rupture (violence, conduites addictives...). En misant sur une stratégie d'accompagnement, l'école peut éviter les stratégies d'épuisement tant des élèves, des enseignants que des parents. Celle-ci s'appuie notamment sur la connaissance par l'élève de ses processus d'apprentissage. Il va devenir pédagogue à l'égard de lui-même en comprenant mieux la qualité de l'acte cognitif qu'il réalise. Cette démarche restitue le droit de vivre le plaisir de connaître. Cet ouvrage s'appuie sur de nombreux exemples dont celui de Hellen Keller, aveugle, dont l'éducation a été possible grâce à l'accompagnement de Ann Sullivan, son enseignante.
(Texte repris au dos de l'ouvrage)[-]

"Ils ne sont pas motivés, manquent d'autonomie" ; "ils attendent, sont passifs" ; "il faut toujours rappeler les consignes" ; "c'est vite fait, mal fait"...se désolent les enseignants. Quel sens les élèves donnent-ils à leur présence à l'école? Qu'est-ce qu'apprendre de leur point de vue? Face aux situations et aux contenus scolaires, quelles logiques sont à l'oeuvre? Autrement dit, qu'est-ce qui singularise leur rapport à l'école? (Texte repris au dos de l'ouvrage).[-]

Partant du constat que, souvent, les relations entre les enfants au sein d'une classe sont trop faiblement exploitées, Sylvain Connac défend l'idée que les enseignants se privent là d'une richesse à exploiter. Ce livre s'adresse à quiconque souhaite introduire ou développer de la Coopération au sein de sa classe. Cette notion de coopération s'inscrit dans la filiation des mouvements Freinet, de l'éducation nouvelle, et des pédagogies actives. Ainsi, lorsque des enfants s'entraident, un climat de sérénité s'installe dans le groupe en même temps qu'augmentent les apprentissages. On aboutit donc à un fonctionnement de classe où les élèves ne s'ennuient pas, apprennent à travailler avec d'autres dans un esprit de solidarité, où la coopération remplace la compétition. Ce faisant, ils sont en mesure d'acquérir l'ensemble des connaissances relatives au stade de leur scolarité. Avant de passer à des étapes plus concrètes de la mise en oeuvre de la coopération dans sa classe, ce livre permettra à l'enseignant intéressé par cette démarche de disposer des principaux éléments pour agir et réfléchir.[-]

Quelles sont les conditions de l'autonomie dans les apprentissages ? C'est à cette question que tentent de répondre les recherches autour du concept d'"apprentissage autorégulé" dont l'ouvrage livrera une synthèse. L'intérêt et l'originalité de ces recherches est de décaler quelque peu le regard habituel porté par les recherches sur la motivation - l'orientation de la conduite, le choix de l'activité - pour s'intéresser prioritairement au maintien de l'engagement une fois entré dans l'activité : il ne suffit pas d'être motivé pour atteindre les buts fixés, il convient aussi d'entretenir cette motivation, de protéger l'intention d'apprendre et de soutenir l'effort. Les recherches sur l'apprentissage autorégulé conduisent ainsi à reprendre et à développer le concept de volition, ou acte de volonté, auquel très peu de travaux ont été consacrés dans la littérature francophone.
(Texte repris, en partie, au dos de l'ouvrage)[-]

Apprendre et utiliser habilement les connaissances acquises peut devenir plus facile. Il suffit de connaître les recettes du métier de travailleur intellectuel et de les adapter à ses possibilités. Cette adaptation demande de savoir comment fonctionne notre esprit, notre mémoire en particulier. Ce livre décrit ces recettes et présente les connaissances permettant de comprendre leur raison d'être et de les adapter à ses possibilités.
(Texte repris, en partie, au dos de l'ouvrage)[-]