Documents EYROLLES POCHE 8 résultats

Si le stress a souvent de lourdes conséquences, tant sur les performances que sur la santé mentale et physique, il est aussi le précieux porte-voix de notre intelligence cachée. En effet, des recherches scientifiques récentes nous montrent qu'il n'est autre qu'un signal d'alerte que nous adresse le préfrontal, sommet paradoxalement peu conscient de l'intelligence humaine. C'est donc en apprenant à identifier notre stress et comprendre le sens profond de son message que nous parviendrons à le dompter et à développer notre mode préfrontal (ouverture, souplesse, nuance, vision globale, relativité, créativité, rationalité, altruisme...). Avec des outils simples, des exercices et des exemples concrets, les auteurs nous fournissent les clés universelles pour changer d'état d'esprit et retrouver sérénité et confiance en soi.
(note de l'éditeur)[-]

Un retard, une simple absence, un déménagement ou un départ nous plongent dans une profonde détresse. Nous nous sentons seuls et, parfois sans raison apparente, abandonnés. D'où vient ce sentiment ?

Les séparations anciennes, lorsqu'elles ont été mal vécues, restent comme des blessures. Elles rendent plus complexes et douloureuses les différentes étapes présentes de notre vie, des plus importantes aux plus anodines, que ce soit une rupture amoureuse, un licenciement, la fin d'un stage ou celle des vacances, le mariage de notre meilleure amie ou la naissance d'un enfant.

À chaque changement, la peur de l'abandon réactive les sentiments d'injustice, de deuil, de solitude irrémédiable. Mettre en lumière les manques ou les trop-pleins de notre histoire personnelle nous permet de comprendre nos dépendances affectives et les liens toxiques qu'elles génèrent... La rupture, nous dit l'auteur, c'est aussi avancer vers l'autonomie et découvrir la joie du premier pas vers l'indépendance.[-]

Négligentes, narcissiques, toxiques...
Il est difficile d'admettre qu'une mère ait pu être mal­traitante à l'égard de son enfant, car une mère est forcément une bonne mère. Pourtant, le traumatisme de la maltraitance maternelle, non seulement sur une enfance, mais aussi sur une vie d'adulte, est d'autant plus important que la souffrance est souvent tue.
Cet ouvrage donne la parole aux victimes de ces mères qui font du mal. Il aide à comprendre les effets de cette maltraitance, combien il est difficile d'en guérir, même devenu adulte, car elle tient parfois lieu de lien toxique.
Anne-Laure Buffet donne des pistes pour recouvrer autonomie et confiance en soi, faire le deuil d'une mère idéale et libérer de nouvelles forces et ressources affectives.
(note de l'éditeur)[-]

Oser être soi-même

"Je me sens seul(e) contre tous", "Je ne suis pas à la hauteur", "Personne ne me remarque", "J'ai le sentiment d'être bloqué(e)", "Je ne suis pas moi-même avec les autres"...
Si ces impressions vous sont familières, vous souffrez peut-être de l'impératif du paraître qui sévit dans tous les secteurs de la société.

Il n'est plus possible aujourd'hui de prétendre à une vie épanouie sans s'exposer d'une manière ou d'une autre. Le monde dans lequel nous vivons nous impose à travers la publicité ou les réseaux sociaux, des objectifs de performance, une image séduisante, un modèle inaccessible de réussite. Quels sont les moyens de vaincre la honte, la peur du ridicule, le sentiment de solitude qui résultent de cette contrainte sociale, pour oser enfin être soi ? Peut-on contourner l'exhibitionnisme ambiant, se réaliser sans se perdre ou se renier, quand il faut se montrer pour exister ?

Cet ouvrage propose une réflexion originale sur la tyrannie du paraître, les phobies sociales qu'elle entraîne et les moyens de s'en libérer.
(note de l'éditeur)[-]

Le guide incontournable pour réussir les transitions de la vie !

Parfois, ce sont les conditions extérieures qui changent : passer de chez soi au bureau ; passer d'un parent à l'autre en garde alternée ; perdre ou retrouver un emploi ; partir à la retraite... A d'autres moments, c'est nous qui changeons : nous passons de l'adolescence à l'âge adulte ; nous franchissons le cap des 40 ans ou nous vivons une expérience extraordinaire qui change notre regard sur la vie.

Olivier Clerc a récolté une moisson de 7 métaphores riches d'enseignement à transposer avec bonheur dans notre propre existence, parmi lesquelles :

Le sas, pour opérer une transition progressive.
Les trapèzes, pour faire le grand saut dans le vide.
Les deux cycles de l'eau, pour retrouver sa pureté.
La roue des réincarnations, pour apprendre à mourir afin de mieux renaître.

Une invitation à faire l'école buissonnière sur nos chemins de vie !
(note de l'éditeur)[-]

L'amour plutôt que l'addiction affective

« Tu es tout pour moi », « Je n'ai besoin de personne », « Nous ne faisons qu'un », « Être ensemble est insupportable mais nous quitter est impossible » ... Angoisses d'abandon, mécanismes d'isolement ou désir de fusion à l'autre sont divers visages d'un même phénomène : la dépendance affective.

Comment la reconnaître ? D'où vient-elle ? Comment s'en libérer ? Avec des témoignages riches et éclairants, ce livre met au jour les origines familiales et généalogiques des dépendances affectives : accaparement de l'enfant par le parent, emprise, désamour, violence et abus, traumatismes transmis de génération en génération... Surtout, il nous invite à mobiliser les ressources dont nous disposons pour accéder à la liberté d'être soi. Car le choix d'une vie non plus subie mais incarnée, même s'il est difficile, nous appartient.
(note de l'éditeur)[-]

Les mots du corps

« On ne la reconnaît plus. On ne comprend pas comment "c'est arrivé". On n'a rien vu venir. » Pourtant le mal est là, qui crie à travers un corps qui s'efface. Comment ne pas désespérer ? L'anorexie inquiète et déstabilise un entourage réduit à l'impuissance. Avec pudeur et délicatesse, ce livre éclaire l'anorexie pour celle ou celui qui la vit au quotidien, mais aussi pour ses proches. Il nous invite à dépasser nos peurs pour nous permettre d'entendre ce que l'anorexie, tel un langage énigmatique, cherche à nous dire. Plutôt qu'une volonté égoïste de se détruire, ne peut-on pas l'aborder comme un « programme de survie », une façon d'exister en attendant de trouver « la vraie vie » ? Il s'agit ici d'envisager que la personne qui souffre détient, sans pour autant le savoir ni pouvoir s'en servir seule, les clés qui lui permettront de s'en libérer.

Les nombreux témoignages recueillis par l'auteure portent un message d'espoir : patience, amour et prise de conscience des rôles de chacun dans la famille peuvent briser le cercle de la souffrance.
(note de l'éditeur)[-]

Je t'aime, mais tu n'es pas tout
Se sentir abandonné(e) lorsque notre conjoint s'éloigne, enchaîner les partenaires par crainte de rester seul(e) ou avoir tendance à surprotéger ses enfants et s'inquiéter quand ils partent peuvent être le signe d'une blessure ancienne ou d'un vide profond que l'on cherche à combler.
Lorsque nous aimons, nous aspirons à nouer et à maintenir des liens étroits. Cependant, ces derniers peuvent devenir si serrés qu'ils finissent par asphyxier notre partenaire, nos proches ou nos amis. Pouvons-nous réellement imposer à l'autre une telle forme de dépendance ? Comment ce désir de proximité et de protection se transforme-t-il en impérieuse nécessité ? D'abord rassurante, la tentative fusionnelle de ne faire qu'un masque des failles douloureuses ou la peur de faire l'expérience de sa liberté. En dépassant nos faux besoins et nos craintes les plus intimes, nous pouvons nous affranchir de ces béquilles relationnelles, pour nous ouvrir à des liens authentiques et libres.
(note de l'éditeur)[-]