En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Gerer mes paniers

  • Documents DELCOURT Laurent 31 résultats

    Filtrer
    Sélectionner : Tous / Aucun
    Q
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y
    - 212 p.
    ISBN 978-2-84950-278-5
    Thème : AGRICULTURE
    La crise alimentaire a jeté une lumière crue sur les aberrations du modèle de développement agricole promu dans le Sud. Bien que des récoltes record y soient enregistrées, la faim progresse. Paradoxe tout aussi flagrant, les trois-quarts des sous-alimentés sont des ruraux, producteurs eux-mêmes de denrées alimentaires.
    Imposés dans des conditions d'inégalités extrêmes -foncières, techniques...-, la libéralisation des marchés agricoles et le retrait concomitant des soutiens publics ont conduit à la marginalisation des petites paysanneries du Sud, dans l'incapacité de faire face à la concurrence mondiale. Certes, les institutions internationales qui reconnaissent aujourd'hui le rôle des agricultures familiales et paysannes dans la lutte contre la pauvreté, ainsi que dans la préservation de la biodiversité, préconisent des mesures d'appui public ou privé. Mais la problématique du contrôle de la terre reste largement négligée.
    Les orientations proposées reposent sur un modèle de cohabitation harmonieuse entre agricultures paysannes et agrobusiness. Modèle qui de facto fait l'impasse sur les désastreuses conséquences sociales et environnementales de l'intense concurrence pour l'accaparement des sols, des sous-sols et des ressources que se livrent multinationales et autres investisseurs extérieurs.
    Les mouvements paysans y opposent l'alternative de la souveraineté alimentaire. Garantie de survie des petites exlpoitations agricoles -qui représentent 80% des actifs en zones rurales-, elle suppose d'abord et avant tout l'accès à la terre et la maîtrise des ressources naturelles.[-]

    La crise alimentaire a jeté une lumière crue sur les aberrations du modèle de développement agricole promu dans le Sud. Bien que des récoltes record y soient enregistrées, la faim progresse. Paradoxe tout aussi flagrant, les trois-quarts des sous-alimentés sont des ruraux, producteurs eux-mêmes de denrées alimentaires.
    Imposés dans des conditions d'inégalités extrêmes -foncières, techniques...-, la libéralisation des marchés agricoles et le ...

    AGRICULTURE ; AFRIQUE ; SOUVERAINETE ALIMENTAIRE ; MONDIALISATION ; CONTROLE ; CONFLIT ; AGRICULTURE INDUSTRIELLE ; AMERIQUE DU SUD ; SECURITE ALIMENTAIRE ; ECONOMIE AGRICOLE

    ... Lire [+]

    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y
    - 183 p.
    ISBN 978-2-84950-22-42
    Thème : SECURITE SOCIALE
    Le modèle de l'Etat minimal a fait long feu. La crise financière mondiale a achevé de discréditer les tenants de la doxa néolibérale et réactualisé le principe de l'intervention publique. Dans le même temps, la réhabilitation de l'Etat dans le débat sur les politiques de développement se poursuit. Depuis qu'elles ont fait de la lutte contre la pauvreté leur priorité, les institutions internationales redécouvrent toute l'importance des politiquers sociales publiques, qu'elles avaient elles-mêmes contribué à marginaliser ces trois dernières décennies.
    Dans le Sud,les gouvernements multiplient les initiatives en faveur des exclus de la croissance, les unes inspirées par l'idée de développement national, les autres par le souci de prévenir l'agitation, quand il ne s'agit pas d'abord de s'adapter aux recommandations extérieures.
    Quels sont les contours de ces interventions qui s'inscrivent dans des configurations sociales, économiques et culturelles diverses ? Et quelle est leur portée réelle en termes de justice sociale ? Faut-il n'y voir qu'un remède visant à tempérer les effets néfastes de la libéralisation, sans grande incidence en matière de changement social et de lutte contre les inégalités, à l'instar des projets de la Banque mondiale axés sur la gestion du risque ? Ou ces politiques préfigurent-elles l'émergence de formes nouvelles de solidarité collective dont l'Etat serait le garant ? Le possible dépendant des marges de manoeuvre effectives, tout projet de redistribution ambitieux devra passer par la mise en cause des politiques fiscales conservaztrices et des orientations macroéconomiques orthodoxes.[-]

    Le modèle de l'Etat minimal a fait long feu. La crise financière mondiale a achevé de discréditer les tenants de la doxa néolibérale et réactualisé le principe de l'intervention publique. Dans le même temps, la réhabilitation de l'Etat dans le débat sur les politiques de développement se poursuit. Depuis qu'elles ont fait de la lutte contre la pauvreté leur priorité, les institutions internationales redécouvrent toute l'importance des p...

    POLITIQUE SOCIALE ; SECURITE SOCIALE ; PAYS EN DEVELOPPEMENT ; INTERVENTION ; ETAT

    ... Lire [+]

    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y
    - 181 p.
    ISBN 978-2-84950-357-7
    Thème : AGRICULTURE
    Architectes et principales bénéficiaires de la libéralisaton des échanges agricoles, les firmes de l'agrobusiness ne cessent de renforcer leur emprise sur le système agroalimentaire mondial.
    Fortes de leur poids économique et de leur influence politique, favorisées par une batterie de normes internationales taillées sur mesure, elle poursuivent leurs stratégies de concentration à l'échelle de la planète, prélevant une part grandissante de valeur ajoutée tout au long des chaînes productives. Dopées par la hausse des prix agricoles et le boom des agrocarburants, elles "gagnent du terrain" au Sud, via l'acquisition de grandes superficies fertiles ou la prise de contrôle des opérateurs locaux. Et y imposent "leur" modèle de développement : productiviste, tourné vers l'exportation, socialement excluant et écologiquement destructeur.
    L'adhésion des gouvernements et des organismes internationaux au discours des grandes firmes sur la "pénurie alimentaire globale qui vient" n'en finit pas d'étonner. Parées de vertus prométhéennes que leur confèrent leurs avances technologiques, seules ces firmes seraient capables de dynamiser des secteurs agricoles traditionnels "improductifs", en vue de nourrir le monde.
    Les mouvements paysans dénoncent cette imposture qui occulte les causes structurelles de la faim. Au nom de la souveraineté alimentaire et de la diversité agricole, ils s'opposent à un modèle qui signe la fin des agricultures paysannes et la marginalisation ders centaines de milions de personnes qui en vivent.[-]

    Architectes et principales bénéficiaires de la libéralisaton des échanges agricoles, les firmes de l'agrobusiness ne cessent de renforcer leur emprise sur le système agroalimentaire mondial.
    Fortes de leur poids économique et de leur influence politique, favorisées par une batterie de normes internationales taillées sur mesure, elle poursuivent leurs stratégies de concentration à l'échelle de la planète, prélevant une part grandissante de ...

    AGRICULTURE ; MULTINATIONALE ; AGROCARBURANT ; ECONOMIE ; SOUVERAINETE ALIMENTAIRE ; LIBERALISME ; FAIM ; ALIMENTATION

    ... Lire [+]

    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y
    - n° 4 - 225
    Thème : COOPERATION INTERNATIONALE
    En Asie, Afrique et Amérique latine, les mouvements paysans mènent des dynamiques soutenues de contestation. Plus sourdes, moins médiatisées, ces « résistances » aux formes et aux revendications renouvelées, se sont multipliées ces deux dernières décennies. En cause, les stratégies de « modernisation conservatrice » des campagnes et l'adaptation mimétique des politiques agricoles aux exigences de l'économie mondialisée, qui érodent en profondeur la condition paysanne. Luttes des plus pauvres parmi les pauvres, des paysans sans terre, des communautés indigènes marginalisées, des travailleurs agricoles en situation précaire…, elles dénoncent les menaces qui pèsent sur le devenir des systèmes alimentaires et des équilibres environnementaux : montée en puissance de l'agrobusiness, accaparement des terres, expansion des monocultures d'exportation au détriment des cultures vivrières, pressions sur les ressources naturelles, etc.
 (note de l'éditeur)[-]

    En Asie, Afrique et Amérique latine, les mouvements paysans mènent des dynamiques soutenues de contestation. Plus sourdes, moins médiatisées, ces « résistances » aux formes et aux revendications renouvelées, se sont multipliées ces deux dernières décennies. En cause, les stratégies de « modernisation conservatrice » des campagnes et l'adaptation mimétique des politiques agricoles aux exigences de l'économie mondialisée, qui érodent en profondeur ...

    COOPERATION INTERNATIONALE ; MOUVEMENT SOCIAL ; REFORME AGRAIRE ; CRIMINALITE ; INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE ; AGRICULTURE

    ... Lire [+]

    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y
    - 211 p.
    ISBN 978-2-84950-433-8
    Thème : AGRICULTURE
    Pressions sur les terres et les ressources, persistance de la faim, aggravation des inégalités et exacerbation des conflits ruraux, destruction des écosystèmes, exclusion des paysans des « bénéfices » de la mondialisation… l'agriculture productiviste est loin d'avoir tenu ses promesses. Comptant parmi les premiers contributeurs au changement climatique, elle crée les conditions de sa propre perte. En dépit de ce bilan désastreux, ses promoteurs continuent de la promouvoir, convaincus que les recettes biotechnologiques de l'agrobusiness vont finir par résoudre ces problèmes.
    Au croisement d'une multitude de savoirs, l'agroécologie entend rompre avec cette logique mortifère. Moquée par les partisans du modèle industriel intensif qui la considèrent au mieux comme une production de niche, au pire comme une régression passéiste, elle ne se réduit pas à un patchwork de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement. En optimisant à moindre coût exploitations familiales et savoirs paysans, elle devient un puissant instrument de transformation sociale dans les campagnes du Sud. En évitant l'emploi massif d'intrants externes, elle constitue un espace de résistance qui échappe à la mainmise des multinationales sur le système alimentaire. Et facilement adaptable, elle se révèle être une composante centrale du projet de « souveraineté alimentaire ».
    Pour amorcer la transition agroécologique et enclencher un changement d'échelle vital, ses acteurs doivent construire de nouvelles alliances et s'appuyer sur les expériences les plus encourageantes.[-]

    Pressions sur les terres et les ressources, persistance de la faim, aggravation des inégalités et exacerbation des conflits ruraux, destruction des écosystèmes, exclusion des paysans des « bénéfices » de la mondialisation… l'agriculture productiviste est loin d'avoir tenu ses promesses. Comptant parmi les premiers contributeurs au changement climatique, elle crée les conditions de sa propre perte. En dépit de ce bilan désastreux, ses ...

    AGRICULTURE ; ECOLOGIE ; ENVIRONNEMENT ; PROTECTION ; PAYS EN DEVELOPPEMENT ; AGRICULTURE INDUSTRIELLE ; LUTTE ; CONDITIONS DE VIE

    ... Lire [+]

    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y

    Agroécologie: Enjeux et perspectives - Alternatives Sud DELCOURT Laurent ; NICHOLLS C.I. ; ROSSET Peter ; ET AL. | CENTRE TRICONTINENTAL 2014

    HEPN Campus
    * Périodique - Cote : ALSU 14 03 - Doc n°117608

    - n° 3 - 211 p.
    Thème : COOPERATION INTERNATIONALE
    Pressions sur les terres et les ressources, persistance de la faim, aggravation des inégalités et exacerbation des conflits ruraux, destruction des écosystèmes, exclusion des paysans des « bénéfices » de la mondialisation… l'agriculture productiviste est loin d'avoir tenu ses promesses. Comptant parmi les premiers contributeurs au changement climatique, elle crée les conditions de sa propre perte. En dépit de ce bilan désastreux, ses promoteurs continuent de la promouvoir, convaincus que les recettes biotechnologiques de l'agrobusiness vont finir par résoudre ces problèmes. (note de l'éditeur)
    [-]

    Pressions sur les terres et les ressources, persistance de la faim, aggravation des inégalités et exacerbation des conflits ruraux, destruction des écosystèmes, exclusion des paysans des « bénéfices » de la mondialisation… l'agriculture productiviste est loin d'avoir tenu ses promesses. Comptant parmi les premiers contributeurs au changement climatique, elle crée les conditions de sa propre perte. En dépit de ce bilan désastreux, ses promoteurs ...

    AGROECOLOGIE ; AGRICULTURE ; SOUVERAINETE ALIMENTAIRE ; RELATIONS NORD-SUD ; MONDIALISATION ; MOUVEMENT SOCIAL ; FAMINE ; INEGALITE

    ... Lire [+]

    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y
    - n° 1 - 177 p.
    Thème : COOPERATION INTERNATIONALE
    Aux antipodes des valeurs de l'olympisme, le sport est devenu un grand marché et une industrie extrêmement lucrative à l'échelle de la planète : 3 % du commerce mondial, 650 milliards d'euros de chiffre d'affaires, 4 à 5 % de croissance annuelle. Produit, reflet, voire accélérateur de la mondialisation, le sport-business lui imprime ses logiques marchandes, ses dynamiques clivantes et ses dérives mafieuses : financiarisation à outrance, privatisation et capitulation des pouvoirs publics, affairisme, corruption, concentration des revenus dans les mains d'un nombre limité d'opérateurs, distribution inégale des recettes et des performances sportives qui recoupe les écarts économiques existants, etc. Forts d'une extraordinaire couverture médiatique, les méga-événements sportifs apparaissent comme le « stade suprême » de cette compétition inégale... (note de l'éditeur)[-]

    Aux antipodes des valeurs de l'olympisme, le sport est devenu un grand marché et une industrie extrêmement lucrative à l'échelle de la planète : 3 % du commerce mondial, 650 milliards d'euros de chiffre d'affaires, 4 à 5 % de croissance annuelle. Produit, reflet, voire accélérateur de la mondialisation, le sport-business lui imprime ses logiques marchandes, ses dynamiques clivantes et ses dérives mafieuses : financiarisation à outrance, ...

    PAYS EN DEVELOPPEMENT ; SPORT ; MONDIALISATION ; COMMERCE ; FINANCEMENT ; PRIVATISATION ; CAMPAGNE MÉDIATIQUE

    ... Lire [+]

    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y
    - n° 1 - 219 p.
    Thème : COOPERATION INTERNATIONALE
    Source de revenu et d'alimentation pour des centaines de millions de personnes, principalement dans le Sud, la pêche constitue un enjeu clé. Comme industrie lucrative, elle se trouve également à la croisée de questions socio-économiques, géostratégiques et écologiques de premier plan.
    Avec les progrès techniques et la hausse constante de la demande, le « boom de l'halieutique » s'est traduit par davantage de pression sur les ressources et une explosion des inégalités spatiales, sociales et économiques. À mesure que le secteur s'est mondialisé, les clivages se sont renforcés : mise en concurrence des pêcheries artisanales et des flottilles industrielles, concentration des filières et captation de la valeur par les puissances maritimes et les transnationales du secteur, transfert de protéines du Sud (premiers producteurs) vers les pays industrialisés (premiers consommateurs), surexploitation de réserves, etc.
    Encouragés par des ONG environnementalistes centrées sur l'épuisement des stocks, États, institutions internationales et acteurs privés ont proposé des mesures pour contrer la surpêche : droits de pêche gérés par le marché, aquaculture, aires marines protégées, certification, valorisation du capital naturel, etc. Mais, libérale et conservationniste, la stratégie tend à renforcer la privatisation des mers, lacs et cours d'eau, aux dépens des communautés de pêche artisanale. Celles-ci, victimes du réchauffement climatique et des mégaprojets côtiers – touristiques, industriels, aquacoles… –, s'organisent pour défendre leurs droits face au « blue lobby ».[-]

    Source de revenu et d'alimentation pour des centaines de millions de personnes, principalement dans le Sud, la pêche constitue un enjeu clé. Comme industrie lucrative, elle se trouve également à la croisée de questions socio-économiques, géostratégiques et écologiques de premier plan.
    Avec les progrès techniques et la hausse constante de la demande, le « boom de l'halieutique » s'est traduit par davantage de pression sur les ressources et une ...

    PAYS EN DEVELOPPEMENT ; AFRIQUE ; PECHE ; NEOLIBERALISME ; POLITIQUE ; AIDE AU DEVELOPPEMENT ; EUROPE ; POISSON ; IMPERIALISME ; PRIVATISATION ; INDE ; PHILIPPINES ; AFRIQUE DU SUD ; AQUACULTURE ; MILIEU NATUREL ; COLONISATION ; LOBBY

    ... Lire [+]

    Paniers
    Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
    y
    - n° 2 - 176 p.
    Thème : COOPERATION INTERNATIONALE
    Vingt ans après la première édition d'un Alternatives Sud consacré au rôle des ONG dans la mondialisation néolibérale, la question reste d'actualité. Si, par définition, ces organisations se veulent indépendantes des États, promotrices des intérêts des citoyens et protectrices de la nature, dans les faits, le financement de leurs activités reste fortement dépendant de gouvernements et d'institutions porteuses d'un modèle uniformisé - « bonne gouvernance » et « développement durable ».
    Selon les pays, les contraintes légales et la répression plus ou moins ouverte restreignent les capacités de mobilisation et d'interpellation de ces acteurs. Le risque de la dépolitisation, renforcé par les injonctions à une professionnalisation de type managérial, s'étend au Sud comme au Nord et tend à réduire les ONG à des prestataires au service de leurs bailleurs de fonds, publics ou privés.
    Pour autant, certaines structures ont conquis les moyens financiers et symboliques d'une autonomisation relative, qui leur permet de jouer un rôle d'autorité morale, voire de productrices de normes, dans bien des débats sociaux et environnementaux globaux.
    Quelles sont les marges de manoeuvre des ONG instigatrices de modèles de société alternatifs ? Quels liens ces organisations entretiennent-elles avec les mouvements sociaux ? Quel ancrage populaire pour quelle efficacité politique ? Creuser ces questions et prendre conscience des enjeux qui redéfinissent l'action des ONG apparaît indispensable à la construction d'autres possibles et à l'appui aux résistances, locales et globales.[-]

    Vingt ans après la première édition d'un Alternatives Sud consacré au rôle des ONG dans la mondialisation néolibérale, la question reste d'actualité. Si, par définition, ces organisations se veulent indépendantes des États, promotrices des intérêts des citoyens et protectrices de la nature, dans les faits, le financement de leurs activités reste fortement dépendant de gouvernements et d'institutions porteuses d'un modèle uniformisé - « bonne ...

    PAYS EN DEVELOPPEMENT ; ORGANISATION HUMANITAIRE ; ORGANISATION NON GOUVERNEMENTALE ; MONDIALISATION ; INDEPENDANCE ; FINANCEMENT ; NEOLIBERALISME

    ... Lire [+]

    Paniers
    Close