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Plus la crise économique et sociale s'accentue, plus les idées reçues sur les pauvres se répandent. Plus cette crise est présentée comme une catastrophe naturelle, plus ils sont convoqués au tribunal de l'opinion publique. Ce livre répond point par point à plus de 80 de ces idées reçues sur la pauvreté. Alors que l'on accuse les pauvres d'être des assistés et des fraudeurs, il révèle par exemple que le montant des aides sociales non réclamées par ceux qui y ont droit s'élève à plus de 11 milliards d'euros.[-]

Plus la crise économique et sociale s'accentue, plus les idées reçues sur les pauvres se répandent. Plus cette crise est présentée comme une catastrophe naturelle, plus ils sont convoqués au tribunal de l'opinion publique. Ce livre répond point par point à plus de 80 de ces idées reçues sur la pauvreté. Alors que l'on accuse les pauvres d'être des assistés et des fraudeurs, il révèle par exemple que le montant des aides sociales non réclamées par ceux qui y ont droit s'élève à plus de 11 milliards d'euros.[-]

On parle aujourd'hui d'«anthropocène», d'une ère géologique où l'humain est devenu un facteur de changement tellement puissant qu'il en vient à modifier et à dégrader l'écosystème par son activité. Faut-il mettre, sans nuances, cette dégradation sur le compte de l'ensemble de l'espèce humaine ? Tous les citoyens de la terre sont-ils, au même titre, désireux et capables de réagir à cette évolution dramatique ? Telles sont les perspectives de ce dossier. Les citoyens les plus pauvres doivent être considérés comme partenaires et sources d'initiatives de la lutte contre le changement climatique. Une civilisation qui tienne compte des droits de tous les vivants sans exception ne peut contourner cette exigence.[-]