Documents ALLOCATION UNIVERSELLE 14 résultats

Allocation universelle : revenu social primaire distribué égalitairement de façon inconditionnelle. Il s'agit d'un véritable revenu de citoyenneté. Même si la reprise se confirme, la croissance économique ne créera pas plus d'emploi que de chômage. Elle n'apportera par elle-même aucune solution à l'exclusion sociale. La crise nous appelle à réfléchir sur un nouveau paradigme de la répartition : distribuer un revenu de base à tous les citoyens, quelle que soit leur situation dans la production : riches ou pauvres, actifs ou chômeurs, étudiants ou retraités. C'est en développant un droit indépendant au revenu, lequel favoriserait aussi l'essor d'un "secteur quaternaire" d'activités personnelles, non mécanisables, que le droit au travail cessera d'être une hypocrisie.[-]

L'allocation universelle serait-elle une alternative au néo-libéralisme à même d'abolir le chômage et la pauvreté ? Pourrait-elle libérer le travail des contraintes qui l'enserrent au profit d'activités autonomes librement choisies par chacun ? Ce scénario refait surface, périodiquement, depuis plus de trente ans, en se parant des couleurs de la nouveauté. Au contraire, pour Mateo Alaluf, cette idée inscrite dans les rapports de force qui structurent la société est une machine de guerre contre la sécurité sociale qui entraînerait l'institutionnalisation de la précarité. En reconstituant les controverses qui ont accompagné la réception de l'allocation universelle, ce livre tente d'analyser de manière critique les principes qui soutiennent la proposition d'octroyer à chacun, sans condition, aux riches comme aux pauvres, un revenu de base. Il pose à la Gauche la question de savoir si l'émancipation est tributaire des individus, supposés responsables dans leurs choix par l'octroi d'une somme d'argent – même modeste –, ou si elle procède des droits sociaux qui trouvent leur origine dans le travail ?
(Texte repris au dos de l'ouvrage)[-]

L'allocation universelle serait-elle une alternative au néo-libéralisme à même d'abolir le chômage et la pauvreté ? Pourrait-elle libérer le travail des contraintes qui l'enserrent au profit d'activités autonomes librement choisies par chacun ? Ce scénario refait surface, périodiquement, depuis plus de trente ans, en se parant des couleurs de la nouveauté. Au contraire, pour Mateo Alaluf, cette idée inscrite dans les rapports de force qui structurent la société est une machine de guerre contre la sécurité sociale qui entraînerait l'institutionnalisation de la précarité. En reconstituant les controverses qui ont accompagné la réception de l'allocation universelle, ce livre tente d'analyser de manière critique les principes qui soutiennent la proposition d'octroyer à chacun, sans condition, aux riches comme aux pauvres, un revenu de base. Il pose à la Gauche la question de savoir si l'émancipation est tributaire des individus, supposés responsables dans leurs choix par l'octroi d'une somme d'argent - même modeste - ou si elle procède des droits sociaux qui trouvent leur origine dans le travail ?
(Texte repris au dos de l'ouvrage)[-]

Après avoir présenté les multiples justifications du revenu de base dans le livre "Revenu de base : un outil pour construire le XXIe siècle", cet ouvrage présente les multiples propositions concrètes de mise en oeuvre du revenu de base.
Ce manuel donne la possibilité au lecteur de construire sa propre proposition de revenu de base et de choisir la façon dont il souhaite le financer.
Ce livre démontre non seulement que le revenu de base est une mesure à portée de main, mais aussi que les pistes pour le financer sont multiples.
(Texte repris, en partie, au dos de l'ouvrage)[-]

Dans le cadre de son projet "En campagne ? Pas sans nous ! Des jeunes s'adressent aux politiques", la COJ a donné rendez-vous à des dizaines de jeunes au Parlement de Wallonie quelques semaines avant les élections. Ce projet a démarré en 2018 par des animations pédagogiques en classe sur la politique et ses institutions. Il a été suivi d'un Forum ouvert, une technique d'intelligence collective où les jeunes ont défini leurs préoccupations sociales et politiques (l'école et les inégalités, les jeunes et le monde du travail, le climat, l'agriculture, les signes religieux, la femme dans la société, le revenu universel, la légalisation du cannabis...). Le jour J, les jeunes participants, regroupé.e.s en huit ateliers thématiques, ont discuté de leurs préoccupations avec plusieurs experte.e.s et politicienne.e.s issu.e.s de différents partis. L'auteur propose ici un aperçu des réflexions des jeunes et de leur discussion avec les invité.e.s du jour, Christine Mahy (Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté) et Pierre-Yves Dermagne (PS), qui ont tenté de répondre avec eux.elles à la question "Le revenu universel : projet utopique ou réalité de demain ?"[-]