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Excès, plaisirs, autodestruction ? Les moyens de fuir la réalité ne manquent pas : toxicomanie et alcoolisme, boulimie et anorexie, frénésie de travail, de sexe ou de sport, amour fusionnel et dépendance affective, jeu, achat compulsif, tranquillisants, tabac, café, télévision... Notre société engendre toutes sortes d'addictions, des plus banales aux plus dangereuses - ou considérées comme telles. Sans confiance dans une guérison possible, on ne guérit pas ! Ce livre donne de l'espoir. Il écoute ceux, nombreux, qui s'en sont sortis. Ceux qui se libèrent de leur dépendance, en premier lieu les toxicomanes, parce qu'on voit généralement en eux les cas les plus tragiques. Au-delà de la peur, de la solitude, de la honte, ils racontent comment ils ont appris à vivre, à découvrir leur identité, à aimer. Et ce regard sur la vie et sur l'amour rencontre en nous des échos, là où nous ne les attendons pas. Chacun peut s'interroger, ai-je le courage de devenir autonome ?[-]

Un ouvrage qui se lit comme un roman : histoires de vie obligent, l'implication personnelle de l'auteur accompagne et illustre une réflexion de fond sur le rôle de la formation et des formateurs à l'aube d'un siècle nouveau. Le point de départ en est le passage, dans nos économies développées, d'un état de Rareté à un état d'Abondance. D'où une double crise :
- une crise des institutions, dépassées par les problèmes dus aux conséquences de l'avènement de l'abondance ;
- une crise des personnes : à une évolution économique Rareté -> Abondance correspond une évolution psychologique Besoin -> Désir : habitués, en situation de rareté, à la gestion de notre Besoin, nous sommes peu préparés à gérer notre Désir.
Notre temps est donc placé sous le signe de "l'autonomie personnelle" : il nous faut être autonomes vis-à-vis d'institutions en déclin, il nous faut être autonomes pour promouvoir notre désir. La Pédagogie du Projet se veut une pédagogie de l'autonomie : elle vise à développer notre capacité de projection, aux côtés d'une capacité d'adaptation sur-dimensionnée par la prééminence du Besoin. Gérer son Désir, c'est, plus que savoir s'adapter, savoir se projeter. Mais que projetons-nous, sinon notre Histoire, c'est-à-dire notre passé, d'une part, et la manière dont nous comptons lui donner un prolongement dans l'avenir, d'autre part ? Etre autonome, c'est se connaître pour décider de ce que l'on sera. Serons-nous capables d'ériger une société nouvelle sur la base de l'autonomie des personnes ? Serons-nous capables de bâtir une école du Désir ? Oeconomicus parviendra-t-il, comme il le souhaite tant, à devenir Désidérius ?[-]

Vieillir en bonne santé, réussir son vieillissement, peut devenir un véritable projet personnel. En y pensant à l'avance, en s'y préparant, en essayant de mettre toutes les chances de son côté. Mais comment orienter son projet, comment prendre les décisions qui peuvent jouer un rôle favorable sur l'évolution de son propre vieillissement ? Ce livre, établi sous la direction du docteur Renée Sebag-Lanoë, dresse un bilan des données aujourd'hui disponibles. S'il n'a pas l'ambition d'être exhaustif, il se propose de mettre à la portée de non-professionnels, un certain nombre d'informations susceptibles d'améliorer la compréhension des phénomènes liés au vieillissement et de favoriser une gestion plus positive de l'avancée en âge. [-]

Vivre sans emploi, ce n'est pas seulement être privé de ressources financières et relationnelles, c'est aussi subir le mépris des autres. Le déclassement social et le déclassement symbolique sont deux facettes de l'exclusion : perdre ses moyens de subsistance et perdre sa dignité, vivre dans la pauvreté et être discrédité, perdre son autonomie et être stigmatisé.
L'exclusion possède une troisième facette, elle est un déni de citoyenneté. Ceux qui sont qualifiés d'exclus sont des sujets politiques dont la situation de dépendance contredit le statut de citoyen et entrave bien souvent la mobilisation de leur compétence citoyenne pour refuser leur état de subordination. L'objectif de cet ouvrage n'est pas d'offrir une analyse exhaustive de l'exclusion. L'auteur s'est principalement focalisé sur la forme la plus prégnante de celle-ci : la privation d'emploi.[-]

Cet ouvrage fait le point des connaissances concernant la psychologie de l'enfant de 1 à 3 ans, en termes simples et accessibles. Il part des données du développement psychomoteur pour aboutir à la façon dont l'enfant vit et construit l'image de son corps :
- corps vécu et ressenti par l'enfant;
- corps vu à travers l'expérience du miroir;
- corps imaginé au cours de la phase anale.
Mais il envisage également l'ensemble des aspects de cet être en devenir qu'est l'enfant :
- l'ouverture à autrui par l'imitation, l'identification;
- la compréhension du monde par le développement de l'intelligence, du langage, de la logique;
- l'expression de son être par le jeu et le dessin.
(Texte repris en 4e de couverture)[-]

Extrait :
"En mettant l'accent sur le langage du corps et la communication non-verbale (gestuelle, mimiques, expression des affects), cet ouvrage ouvre des pistes pour mieux comprendre les interréactions dans la classe. En tenant compte des apports de l'ergonomie, il met en évidence le rôle de l'espace et des limites dans le processus d'acquisition des savoirs. Il aide à trouver le bon équilibre entre liberté et contrainte pour atténuer les difficultés scolaires liées à la fatigue, en permettant à chaque élève de découvrir les meilleures façons d'apprendre[-]