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C'est l'histoire de Sacha qui vivait très heureux dans son pays et puis un jour il y a eu la guerre ... Sacha et ses parents ont dû fuir leur beau pays ....
Ce récit touchant partage une dure réalité. C'est aussi l'outil idéal pour aborder les thèmes difficiles de l'expatriation et de la guerre avec les enfants et les amener sur le chemin du respect et de l'empathie.
Cet Album vient en complément de l'ouvrage "L école de l'égalité des chances "/Dr Adel Fakih[-]

Les jardiniers de l'âme sont ces personnes qui décident de sortir des sentiers battus pour aider les enfants et les adolescents en difficulté. Cet ouvrage nous fera voyager d'Inde en France, de Sierra Leone à la Colombie, en passant par la Pologne et le Canada. Les projets présentés ici nous montreront comment ils peuvent aider à surmonter l'adversité pour renouer avec la vie, sortir des situations d'exclusion et apprendre à vivre ensemble, bâtir un projet de vie et s'intégrer dans la société. L'auteur consacre également deux chapitres de son ouvrage aux facteurs favorisant le mieux-être des jeunes et aux conditions de réussite des projets. Un ouvrage plein d'espoir...[-]

Comment les enseignants parlent-ils de leurs élèves ? Comment les voient-ils, les observent-ils, comment décrivent-ils tel, telle ou tel élève, en particulier quand cet élève et celle-ci, et cet autre ont des difficultés ? Ces questions deviennent en effet plus prégnantes lorsque l'élève Xavier, l'élève Sonia (mon fils, ta voisine, nos cousins) ont des difficultés pour apprendre, spécialement les savoirs scolaires de l'école primaire. Comment est-il possible de mieux repérer des difficultés et d'entendre ces élèves, de se faire entendre d'eux, de les mener à apprendre ? Les élèves qui peinent ont des points communs qu'il est instructif de repérer pour mieux répondre à leurs difficultés, voire les prévenir. C'est l'objet de cet ouvrage, issu d'un travail de recherche. Ce travail permet de bâtir des profils en mettant en évidence les conditions fortes de la réussite, éléments indispensables tant pour les enseignants, les rééducateurs que pour les élèves. Un livre contribuant donc à mieux comprendre les difficultés scolaires pour mieux comprendre comment réussir un défi permanent de tout système scolaire.(Texte repris au dos de l'ouvrage).[-]

L'article propose une étude critique du phénomène de médicalisation voire « handicapisation » de la difficulté scolaire. Chaque année, il est en effet constaté une augmentation considérable du nombre d'enfants en difficultés dans l'école pour apprendre ou devenir élèves qui basculent vers le champ du handicap. L'hypothèse soutenue ici est que cette inflation numérique révèle des défaillances dans le diagnostic et la prise en charge de la difficulté scolaire, défaillances qui font encourir le risque d'un basculement abusif de la difficulté vers le handicap. Après être revenus sur les mutations anthropologiques qui composent un terreau fertile à un tel phénomène, nous interrogeons les différentes politiques publiques et leurs instances qui ont conduit à ce basculement du pédagogique vers le médical, plus spécifiquement neurologique. Les auteurs montrent comment la loi de 2005 pour l'égalité des droits et des chances a été utilisée et déviée, sur le terrain, de son principe fondateur pour compenser et soulager les pédagogues de choix politiques et idéologiques dans la prise en charge de la difficulté scolaire, notamment l'affaiblissement des RASED. Trois situations cliniques sont étudiées : elles permettent de comprendre du dedans ce qui se joue entre parents, enseignants, éducateurs et soignants dans cette absence de mise en sens et cette urgence de solutions rapides. La constitution d'un dossier de demande de reconnaissance de handicap à destination de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) s'effectue sans qu'un véritable travail de réflexion collective, notamment sur les plans pédagogique, psychopédagogique et psychopathologique, ait pu avoir lieu, et ce, malgré une surabondance de bilans. Elles montrent comment les « équipes éducatives », qui préexistent à la constitution des dossiers à destination de la MDPH, peinent à être des lieux où l'élève se pense dans son environnement au sens large et, où, de plus en plus, la logique de la compensation des manques individuels domine sur celle de l'accessibilité aux savoirs.[-]