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La communication est un levier essentiel pour réaliser les objectifs d'un développement durable, que ce soit pour expliquer les enjeux, inciter à changer de comportement, ou encore valoriser les actions menées par une organisation. La créativité et la pertinence ont bien sûr leur importance, mais le défi est bien plus ambitieux : changer les pratiques de la communication pour limiter concrètement les impacts de ses actions. Autrement dit, il s'agit de définir les contours d'une nouvelle façon de communiquer. En Europe, nombreux sont ceux qui cherchent à faire « autrement » et font évoluer leur pratique. C'est à eux que les auteurs ont voulu donner la parole : consultants, chefs d'entreprise, responsables associatifs, agents publics... Loin des grands débats théoriques, ils se sont frottés à la réalité du terrain, ont acquis une expérience et des savoir-faire qu'ils partagent. Que vous soyez chargé de communication, dirigeant d'organisation, responsable d'agence, expert, consultant ou chercheur, et que vous exerciez votre activité dans le secteur privé, public ou associatif, cet ouvrage vous donnera des pistes concrètes pour mettre en oeuvre une communication plus responsable. (note de l'éditeur)[-]

Le changement climatique concerne tous les pays de la Terre. Mais certaines populations semblent être plus vulnérables face à ces bouleversements. C'est le cas des pays du Sud. Mais en quoi sont-ils plus vulnérables ? L'Institut de Recherche pour le Développement a mené des recherches pour étudier les conséquences du changement climatique sur cette partie du monde. Il a rassemblé dans cet ouvrage, publié à l'occasion de la conférence Climat 2015 de Paris (COP21), les connaissances tirées de ces recherches afin d'aider à la mise en place de solutions propres aux situations des pays du Sud.[-]

La conférence internationale Children and War : Past and Present (Les enfants et la guerre : passé et présent) est une rencontre internationale et multidisciplinaire qui a lieu tous les trois ans depuis 2010. Elle est organisée par l'Université de Salzburg (Autriche), en collaboration avec l'Université Wolverhampton (Royaume-Uni) et le Bureau de la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations unies pour les enfants dans les conflits armés. Cette année, plus de 160 personnes se sont ainsi réunies à Salzburg du 13 au 15 juillet 2016 pour discuter des problématiques liées à l'enfance et la guerre, comme la violence sexuelle, les traumatismes, les déplacements, la traite, la réhabilitation et la réintégration, l'image de l'enfant dans le cinéma et la littérature, ainsi que la mémoire collective et l'impact transgénérationnel des conflits.[-]

Aujourd'hui, encore, en France, 223 000 femmes sont victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur conjoint ou de leur ex-compagnon... Pour toutes ces violences au sein du couple, combien d'enfants ou d'adolescents victimes ou témoins de ces tragédies?
Ce dossier contient entre autres:
-Les violences faites aux femmes au sein du couple
-Mécanismes de la violence conjugale et impacts sur les enfants et les adolescents
-La reproduction transgénérationnelle de la violence chez l'enfant exposé à des violences conjugales
-Les besoins de l'enfant dans un contexte de violence intrafamiliale
-La protection des enfants victimes de violence dans le couple
-Mieux protéger les femmes victimes de violences, l'expérience de la Seine-Saint-Denis[-]

L'image de la guerre ou la guerre de l'image, dilemme fondamental du thème de la journée (introduction de la présidente). Des cinq communications présentées en premier, on retiendra : l'occultation de la violence dans les photographies de la bataille de Verdun, l'effet horrifiant et démoralisant pour le public occidental des scènes atroces diffusées par les terroristes, la distance évitant la culpabilité pour I'opérateur de drone, les apports de l'imagerie cérébrale (amygdale et hippocampe) à la compréhension des mécanismes du trauma et la transformation possible de l'image traumatique dans le rêve de répétition. Ensuite, nous dirons : les médias d'aujourd'hui sont rapides, pénétrants, réalistes et émotionnants : le public peut s'informer (démarche active) au lieu d'être informé passivement ; dès le stade de la perception, l'image de violence fait lever dans le psychisme une marée émotionnelle qui bloque la chaîne des processus cognitifs. L'image de guerre suscite horreur, tristesse et compassion. Toutefois, pour lutter contre la démoralisation, les gouvernants peuvent avoir recours à la censure ou au commentaire glorieux. La forme esthétique du poème de guerre atténue d'ailleurs l'horreur de son contenu. Enfin. Le film didactique sur la névrose de guerre peut être éventuellement diffusé au public pour lui montrer que les blessés psychiques sont pris en charge, soignés et réinsérés.[-]

Une piste d'atterrissage aménagée là où les buffles paissaient autrefois, des terrains de golf remplaçant le désert et la savane, des villages vivant de la pêche ou de la chasse transformés en gigantesques complexes touristiques. Nombreux sont les endroits du monde que le tourisme a altérés, rongeant ce qui les avait justement rendus attirants à l'origine : la nature et l'environnement, les modes de vie et de pensée. Des canaux de Venise aux plages de Cuba, en passant par les temples de Bali, la jungle du Costa Rica, les fjords norvégiens ou encore les savanes du Kenya, ce livre propose un voyage singulier au coeur d'une problématique cruciale : comment visiter de tels lieux sans que notre présence ne cause leur perte ? Comment encadrer l'industrie touristique de façon à ce qu'elle contribue à la sauvegarde de ces endroits et de leur cachet plutôt qu'à leur destruction ? Et, compte tenu du changement climatique qui menace la planète, pouvons-nous continuer à voyager ? Dans le récit attachant de son tour du monde, émaillé de nombreuses histoires, l'auteur nous invite à découvrir ce que peut être un tourisme qui préserve et valorise le caractère local d'une destination, et qui profite au bien-être de ses habitants. Le tourisme est devenu une puissance que plus rien ne peut arrêter. En tant que voyageurs, nous avons beaucoup à apprendre, et beaucoup à apporter. Il n'est pas encore trop tard. Mais il faut se dépêcher. (note de l'éditeur)
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L'ouvrage est un état des lieux sur le changement climatique. Ancien membre du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), l'auteur fait le point sur les plus récentes études permettant d'émettre des hypothèses sur l'impact au cours du 21ème siècle du changement climatique tel qu'on le constate actuellement et tel qu'on peut envisager son évolution.

Après une revue des événements observés quant à l'évolution du climat et de ses effets, l'auteur montre ce qu'est l'effet de serre et la manière dont agissent sur celui-ci les gaz à effet de serre en faisant une revue exhaustive de ceux-ci au-delà du CO2 le plus incriminé.

Sont examinées les variations du climat dans le passé depuis les derniers millions d'années dans la mesure où des éléments sur une période aussi ancienne peuvent être recueillis.

Est alors abordé le problème de la modélisation du climat, problème complexe par suite de la multiplicité des paramètres qui interviennent et de leurs interactions. Les différents modèles sont comparés aux observations pour être validés.

A partir de ces modèles, et compte tenu des scénarios envisageables d'émissions de gaz à effet de serre, émissions qui dépendent des politiques mondiales qui seront menées par les Etats, sont envisagés les changements climatiques qui en découlent, d'où leur impact sur la planète. Devant l'ampleur des conséquences sur le climat de ces politiques, ampleur qui est certaine bien que sujette à beaucoup d'incertitudes, des choix doivent être faits rapidement. Ces incertitudes sont liées en bonne partie aux marges d'erreurs dans les valeurs des paramètres qui interviennent dans la modélisation du climat. L'auteur montre les recherches qui doivent être menées pour les affiner.

Ce livre, très exhaustif est certainement un excellent ouvrage de base pour les scientifiques travaillant dans ces domaines. Chaque chapitre se termine par un paragraphe de questions auxquelles un lecteur attentif du dit chapitre devrait pouvoir répondre, ainsi que par des suggestions de lectures complémentaires. Ces éléments sont d'une grande utilité pour les étudiants se spécialisant en climatologie. (http://www.irma-grenoble.com/05documentation/00bibliotheque_note_lecture_afficher.php?idNote=26)[-]