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On le sait, notre société vieillit. Ce phénomène pousse nombre d'observateurs à se pencher sur le problème des retraités. L'auteur de cet ouvrage, elle, a choisi de dresser un bilan de la participation au marché des actifs après 55 ans. Il s'articule sur une analyse macro-sociologique des politiques publiques et leurs incidences d'un côté, et de l'autre sur une analyse micro-sociologique en examinant les comportements des entreprises en matière de gestion de l'âge de leurs travailleurs. Anne-Marie GUILLEMARD compare les données françaises aux données japonaises, suédoises, britanniques, néerlandaises et finlandaises.[-]

L'otakisme japonais, phénomène de relation fusionnelle aux nouvelles technologies, inquiète les observateurs de la société nippone, depuis le début des années 80. Le jeune public français fan de mangas, de jeux vidéo et de mondes virtuels, témoigne de la présence d'un "otakisme hexagonal" et d'une possible tendance à la cyberdépendance. Pourtant, malgré le développement soutenu des techniques informatiques et de la cyberculture, l'otakisme ne revêt pas les mêmes formes selon que l'on soit Japonais ou Français... [-]

A l'origine, "Le dessous des cartes" est une émisison télévisée documentaire. Dès le départ, de nombreux enseignants d'histoire-géographie se sont servis de ces émissions pour illustrer leurs cours. L'équipe qui a réalisé ce document a voulu créer un outil immédiatement utilisable pour ces enseignants, associant un outil numérique très simple d'utilisation et un livret pédagogique papier.
Ce volume couvre les matières destinées aux classes de troisième.[-]

A elle seule, l'Asie abrite la moitié de la population. C'est dire son importance. Cet ouvrage fait partie d'une collection destinée aux étudiants pour préparer l'examen d'entrée d'une grande école. Il offre donc un panorama complet sur cet immense continent, aborde à la fois sa géohistoire, son poids géopolitique, sa place dans la mondialisation. Les auteurs ont également souhaité consacrer un chapitre particulier à trois pays asiatiques d'importance : l'Inde, la Chine et le Japon.[-]

Best-seller au Japon, cet essai a le grand mérite de penser - et non de juger - le phénomène Otaku. Les Otakus, ce sont ces jeunes fans de manga, de jeux vidéos ou de dessins animés, ne vivant qu'entre eux et que pour ces produits culturels dont ils ne cessent de créer et de consommer des dérivés: figurines, fanzines, romans tirés d'un dessin animé, dessins animés tirés d'une figurine, etc. Le phénomène, en perpétuelle croissance depuis les années 1980, représente aujourd'hui un marché colossal, et s'étend à l'étranger via le succès mondial du manga. Pourtant, ces adolescents en rupture ont toujours été considérés comme des autistes et personne, jusqu'à Hiroki Azuma, n'avait osé étudier sérieusement leurs oeuvres phares et leurs façons de les consommer. Son ouvrage révèle la troublante adéquation entre culture Otaku et postmodernité. Perte des repères, fin des grands récits, brouillage de la frontière entre auteur et consommateur, entre l'original et sa copie : la culture Otaku est la première culture postmoderne. La réduire au Japon serait donc une erreur, car elle a déjà commencé à séduire les jeunesses du monde.
(Texte repris au dos de l'ouvrage)[-]