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"Comment penser et organiser les transports dans des villes où les gens bougent de plus en plus ? Georges AMAR est allé voir comment, ailleurs, on pensait les mobilités urbaines et comment on explorait de nouvelles démarches. Les analyses qu'il tire de ses voyages nous montrent que l'innovation tient largement à la capacité non pas de transposer de "bonnes pratiques" mais de s'en inspirer dans des démarches créatrices qui s'appuient sur les spécificités de chaque contexte urbain et de chaque culture technique".

(Texte repris en partie au dos du livre).[-]

Se déplacer au quotidien n'a jamais été aussi facile qu'aujourd'hui, grâce à la diffusion de l'automobile et aux progrès des transports publics. Jamais aussi facile, certes, mais jamais aussi nécessaire, tant la vie quotidienne a changé d'échelle et de rythme. Mais jamais aussi sélectif pourtant, car se déplacer est difficile pour ceux que les handicaps culturels, éducatifs, économiques, privent d'une mobilité sans souci. Or plus on est pauvre, plus il est nécessaire de se déplacer, plus il est difficile de le faire, plus cela coûte cher, moins on accède au potentiel de la ville, et plus on risque d'être entraîné dans des spirales qui mènent à la très grande pauvreté, à la marginalité, à l'exclusion.
En partant de ce constat, cet ouvrage réunit des experts européens et américains de la mobilité, de l'exclusion, mais aussi des acteurs de l'insertion sociale et des transports pour dresser un état de la question et d'initiatives, souvent innovantes mais peu connues, prises pour faciliter la mobilité des catégories défavorisées. Dans son introduction, Jean-Pierre ORFEUIL montre que l'aptitutde à la mobilité est devenue une exigence de la société à l'égard de ses membres. Ce livre, avec le recensement des problèmes et des enjeux, ouvre des pistes pour une lutte renouvelée contre l'exclusion.

(Texte repris au dos du livre).[-]

C'est la réalité, les chiffres sont là : la pauvreté ne cesse d'augmenter. Cette évolution est due non seulement à la crise économique et à la crise qui sévit sur les marchés financiers, mais la manière avec laquelle les responsables et la société réagissent est également importante à cet égard. Dans les villes, on est confronté directement à la pauvreté, sur le pas de la porte pour ainsi dire. En milieu rural, par contre, cette pauvreté n'apparaît pas, et n'attire donc pas l'attention. Carmen MATHIJSSEN, coordinatrice de programme chez Cera, a effectué une étude de la pauvreté en milieu rural. Qui sont ces gens qui subissent la pauvreté en milieu rural, quels sont les problèmes et, surtout, quelles solutions y apporter ?[-]

A la demande de Cera Foundation, Le Panel Démographie Famililale de l'ULg a réalisé cette étude sous la coordination de Marie-Thérèse CASMAN. Son but ? Présenter une "photographie" de la pauvreté rurale qui, bien que moins visible et médiatisée que la pauvreté urbaine, existe bel et bien. La réflexion a été guidée par une identification des personnes fragiles et des difficultés auxquelles elles sont spécifiquement exposées en milieu rural, des obstacles à l'aide aux personnes en situation de pauvreté, des solutions mises en oeuvre et enfin des recommandations qui peuvent être formulées à l'attention de l'ensemble des personnes concernées par la problématique de la pauvreté.[-]

En tant qu'aidant proche, vous pouvez compter sur les professionnels de la santé et les services d'aide et de soins, mais il arrive que la charge de travail qui repose sur vos épaules reste énorme, en termes logistique, administratif ou psychologique. S'occuper d'une personne malade ou handicapée affecte incontestablement la vie quotidienne de l'aidant proche: à un moment donné, vous pouvez vous aussi avoir besoin d'aide, de soutien et d'information. Cette brochure a pour ambition de vous servir de guide pratique: elle veut répondre concrétement à vos préoccupations liées au rôle que vous jouez auprès de la personne dont vous prenez soin.[-]

C'est la réalité, les chiffres sont là : la pauvreté ne cesse d'augmenter. Cette évolution est due non seulement à la crise économique et à la crise qui sévit sur les marchés financiers, mais la manière avec laquelle les responsables et la société réagissent est également importante à cet égard. Dans les villes, on est confronté directement à la pauvreté, sur le pas de la porte pour ainsi dire. En milieu rural, par contre, cette pauvreté n'apparaît pas, et n'attire donc pas l'attention. Carmen MATHIJSSEN, coordinatrice de programme chez Cera, a effectué une étude de la pauvreté en milieu rural. Qui sont ces gens qui subissent la pauvreté en milieu rural, quels sont les problèmes et, surtout, quelles solutions y apporter ?[-]

Dans toutes les cultures et à travers l'histoire, le quotidien du tout petit enfant semble presque varier à l'infini. Que fait-il pendant la journée? Comment dort-il? Comment mange-t-il? Comment est-il vêtu et comment est-il porté? Ou encore comment est-il baigné? Blandine Bril et Silvia Parat-Dayan brossent un formidable tableau de la petite enfance à travers les gestes ordinaires, des campagnes du Moyen-Age aux mégalopoles d'aujourd'hui, de l'Ouzbékistan au Mali, du Mexique à la Corée. Où l'on découvre qu'il nexiste pas de pratiques qui soient bonnes ou mauvaises. Seule compte l'adaptation de l'enfant au monde qui l'entoure.[-]

Cette recherche aborde le déplacement scolaire en tant que phénomène urbain et culturel, dans lequel les comportements et les représentations des usagers ont autant d'importance que les variables techniques concernant l'offre d'infrastructures et de services dans la ville.
À travers un projet d'ateliers pédagogiques développés dans deux écoles bruxelloises, l'étude propose d'analyser l'expérience vécue du déplacement en lien avec le contexte urbain qui la conditionne. La méthodologie proposée insiste sur l'interaction existante entre :
- l'imaginaire associé au déplacement, qui est à la base des choix "individuels" avec lesquels l'usager organise son déplacement à l'intérieur d'un contexte urbain et dans un cadre personnel et familial ;
- l'organisation des formes et pratiques dans la ville, qui met en évidence trois territoires urbains en lien avec le déplacement scolaire : le trajet domicile-école, le quartier de l'école et l'aire d'influence de l'établissement.
L'étude rappelle le rôle de l'école comme élément structurant de la ville et des mobilités quotidiennes. En s'appuyant sur le principe de "ville éducatrice", cette recherche insiste sur le parcours domicile-école comme enjeu d'urbanisme et processus de production d'images et de comportements urbains.
(Texte repris au dos de l'ouvrage)[-]