En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents NABHAN-ABOU Nidal 4 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 5 - p. 493-499
Thème : SECURITE ROUTIERE
La consommation excessive d'alcool est un problème majeur de santé publique en France et notamment dans les Pays de la Loire et en Bretagne. Elle serait un facteur favorisant les infractions pénales. Il existe un paradoxe, avec d'une part des consommations d'alcool qui sont considérées par les magistrats comme des circonstances aggravantes de l'infraction, et d'autre part, des données scientifiques qui établissent que dans certaines circonstances (dose, habitudes de consommation, contexte, polyconsommation…) l'alcool pourrait venir modifier le jugement, et donc le discernement du consommateur. Pourtant, au cours de la procédure pénale, l'expert judicaire peut être amené à se prononcer sur le degré de discernement de l'auteur d'une infraction commise sous l'emprise d'un état alcoolique. Le juge, même s'il n'est pas tenu à l'avis de l'expert, tient compte de ses conclusions. De cette manière, selon que le juge retient que le discernement était intact, altéré ou aboli au moment des faits, il décidera que l'auteur de l'infraction était, respectivement, responsable, partiellement responsable ou irresponsable. Il est d'évaluer le degré de discernement (aboli, altéré ou intact) retenu par les experts psychiatres lors de la commission d'une infraction commise sous l'emprise d'un état alcoolique.[-]

La consommation excessive d'alcool est un problème majeur de santé publique en France et notamment dans les Pays de la Loire et en Bretagne. Elle serait un facteur favorisant les infractions pénales. Il existe un paradoxe, avec d'une part des consommations d'alcool qui sont considérées par les magistrats comme des circonstances aggravantes de l'infraction, et d'autre part, des données scientifiques qui établissent que dans certaines cir...

CONDUITE DE VEHICULES A MOTEUR ; INFRACTION ; CONSOMMATION D'ALCOOL ; RESPONSABILITE ; JUSTICE ; DROIT PENAL ; EXPERTISE PSYCHOLOGIQUE ; FRANCE

... Lire [+]

Paniers
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 8 - p. 708-712
Thème : PSYCHIATRIE
En France, les Soins Psychiatriques Sans Consentement (SPSC) poursuivent depuis une dizaine d'années leur évolution à marche forcée, au rythme des injonctions du Conseil Constitutionnel à légiférer. Le psychiatre ne prescrit plus mais participe d'une décision de dernier recours prise à visée conservatoire dans le cadre d'une démarche thérapeutique. Sur quels critères ? Sur quels fondements médico-administratifs et juridiques ? Au code de déontologie défaillant se substitue la loi pour encadrer, en dernier recours, l'enfermement dans l'enfermement, l'isolement et la contention. Et protéger les malades mentaux vulnérables (et leur dignité) par l'intervention du Juge des Libertés et de la Détention (JLD) dans les hôpitaux psychiatriques. Hôpitaux et équipes de soins s'organisent aujourd'hui dans le respect des (nouvelles) contraintes pour (re)trouver l'équilibre nécessaire et proportionné entre protection et privation, liberté et soin. À condition d'avoir la possibilité de penser, enrichir et construire les (nouvelles) modalités du soin psychiatrique afin d'éloigner le dernier recours et mettre fin au dogme de la fatalité.[-]

En France, les Soins Psychiatriques Sans Consentement (SPSC) poursuivent depuis une dizaine d'années leur évolution à marche forcée, au rythme des injonctions du Conseil Constitutionnel à légiférer. Le psychiatre ne prescrit plus mais participe d'une décision de dernier recours prise à visée conservatoire dans le cadre d'une démarche thérapeutique. Sur quels critères ? Sur quels fondements médico-administratifs et juridiques ? Au code de ...

SUIVI DU PATIENT ; DROITS DU PATIENT ; CONSENTEMENT AUX SOINS ; ETHIQUE MEDICALE ; HOSPITALISATION ; CONTRAINTE ; ISOLEMENT ; LEGITIMITE ; CONTENTION ; LEGISLATION

... Lire [+]

Paniers
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 8 - p. 731-735
Thème : PSYCHOLOGIE
La présente étude s'attache à comparer la prévalence des violences subies à l'âge adulte d'un échantillon de 91 femmes criminelles en comparaison à la population générale féminine afin d'offrir une meilleure compréhension de la criminalité féminine. Cette étude met en évidence une prépondérance des violences dans le parcours de vie de ces femmes criminelles en comparaison à la population générale féminine. Cette victimisation semble être étroitement liée à la criminalité féminine et semble être un point clé dans la compréhension de cette dernière. Par ailleurs, les troubles psychiatriques sont fréquents et sont surreprésentés par les dépendances aux substances et les troubles de la personnalité. Ces deux troubles associés à la criminalité semblent accroître le risque de passage à l'acte violent et être conditionnés par les expériences de violences vécues. Dans ce contexte, les vécus de violences semblent donc être un facteur d'évolution défavorable de risque médico-légal.[-]

La présente étude s'attache à comparer la prévalence des violences subies à l'âge adulte d'un échantillon de 91 femmes criminelles en comparaison à la population générale féminine afin d'offrir une meilleure compréhension de la criminalité féminine. Cette étude met en évidence une prépondérance des violences dans le parcours de vie de ces femmes criminelles en comparaison à la population générale féminine. Cette victimisation semble être ...

CRIMINALITE ; FEMME ; EXPERTISE ; PREVALENCE ; ASPECT PSYCHOLOGIQUE ; CRIMINOLOGIE ; VIOLENCE ; ADULTE ; TROUBLE ; FEMME - PSYCHIATRIE ; PERSONNALITE ; DEPENDANCE ; ETUDE

... Lire [+]

Paniers
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 1 - pp. 13-20
Thème : PSYCHOLOGIE
Longtemps minimisé, le phénomène des femmes auteures d'infraction sexuelle est de plus en plus étudié depuis les années 2000. Cette étude rétrospective descriptive vise à analyser les caractéristiques sociodémographiques, psychopathologiques et criminologiques d'un échantillon de 31 femmes auteures d'infraction sexuelle, à partir de leur expertise psychiatrique, pré- ou post-sentencielle, réalisée entre 2002 et 2020 par un expert psychiatre. Ces femmes ont un âge moyen de 37 ans au moment de l'expertise, un niveau scolaire faible. Elles sont le plus souvent mariées et mères (77,4 %), rapportent un passé marqué par des violences ou des négligences dans l'enfance (65,2 %). Un nombre important d'entre elles a souffert de troubles psychiatriques, principalement de trouble de la personnalité de type dépendant (48,4 %) ou du groupe B du DSM-5 (32,3 %). Peu sont concernées par une abolition du discernement (12,5 %), plus par une altération du discernement (18,8 %). Leurs victimes sont le plus souvent des mineurs, souvent un de leurs enfants (67,7 %). Elles ont majoritairement agi avec un co-auteur (57,1 %), compagnon ou mari (80 %). Les injonctions de soins pour continuer le travail psychothérapeutique commencé en milieu carcéral étaient demandées par l'expert dans la grande majorité des cas (68,8 %).[-]

Longtemps minimisé, le phénomène des femmes auteures d'infraction sexuelle est de plus en plus étudié depuis les années 2000. Cette étude rétrospective descriptive vise à analyser les caractéristiques sociodémographiques, psychopathologiques et criminologiques d'un échantillon de 31 femmes auteures d'infraction sexuelle, à partir de leur expertise psychiatrique, pré- ou post-sentencielle, réalisée entre 2002 et 2020 par un expert psychiatre. Ces ...

DEMOGRAPHIE ; PSYCHOPATHOLOGIE ; CRIMINOLOGIE ; FEMME ; INFRACTION ; AGRESSION SEXUELLE ; PSYCHIATRIE ; JUSTICE ; EXPERTISE PSYCHOLOGIQUE

... Lire [+]

Paniers