- n° 145-146 - p. 16-18
Thème : ETHIQUE
Il s'agit d'un des points d'attaque des opposants (les autres : la Commission d'évaluation et de contrôle de la loi relative à l'euthanasie (CFCEE) et le contrôle a posteriori, les polypathologies et la fatigue de vivre) qui n'osent plus trop remettre en cause de front la loi relative à l'euthanasie mais tentent de trouver des questions qui pourraient éventuellement faire douter certaines personnes. Il faut bien reconnaître que l'euthanasie pour les patients atteints de troubles mentaux n'est pas autant acceptée que l'euthanasie pour les patients somatiques. D'ailleurs les opposants répètent à l'envi qu'en 2002, selon eux, le législateur a dépénalisé l'euthanasie pour des cas exceptionnels de patients terminaux atteints par exemple de cancers. C'est évidemment prêter une intention au législateur qui ne s'est pas reflétée dans les textes.
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Il s'agit d'un des points d'attaque des opposants (les autres : la Commission d'évaluation et de contrôle de la loi relative à l'euthanasie (CFCEE) et le contrôle a posteriori, les polypathologies et la fatigue de vivre) qui n'osent plus trop remettre en cause de front la loi relative à l'euthanasie mais tentent de trouver des questions qui pourraient éventuellement faire douter certaines personnes. Il faut bien reconnaître que ...
ETHIQUE ; EUTHANASIE ; FIN DE VIE ; PSYCHIATRIE ; MALADIE MENTALE ; DROITS DU PATIENT
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