Documents RENAISSANCE DU LIVRE 21 résultats

Après "Vocation Prof" publié en 2000 où il dit son bonheur d'enseigner, Frank Andriat décrit dans ce nouvel ouvrage, en dix commandements cinglants et pleins d'humour, la situation d'un métier dont notre société a de plus en plus besoin et qui, paradoxalement, attire de moins en moins de jeunes. Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi l'école ne remplit-elle plus sa mission essentielle, celle d'amener le plus grand nombre à savoir lire, écrire et calculer ? Pourquoi, malgré les cris d'alarme qu'ils poussent depuis plus de vingt ans, les enseignants ne sont-ils pas écoutés ? Qui sont ces pédagogues et ces didactitiens qui, à l'abri dans leurs bureaux, rêvent d'une école idéale et imposent leur vision des choses sans que les moyens nécessaires à la réussite de leurs projets soient donnés par les poliiques ?[-]

Editée dans le cadre de la journée d'études "Les Wallons à Versailles" organisée par la Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles le 5 décembre 2007 au château de Versailles, cette publication a pour but non seulement de regrouper les communications scientifiques du colloque, mais également d'aborder de façon plus large le sujet, qui n'avait jamais à ce jour fait l'objet que d'études fragmentées, éparses et souvent relativement anciennes.
La part prise par "Les Wallons à Versailles" durant les règnes de Louis XIV, Louis XV et Louis XVI est en effet à la fois si importante et si mal connue. Le " lecteur-voyageur dans le temps " passera ainsi, au fil des pages, des Grands de ce monde, comme le prince de Ligne, Maximilien-Henri de Bavière, évêque et prince de Liège, ou le maréchal de Marchin, seigneur de Modave, aux artistes comme Grétry, Demarteau, Warin, Gossec, Du Mont, Valdor, pour ne citer que les plus connus, et aux techniciens ou aux personnages inclassables comme Rennequin Sualem, les Lambotte ou Théroigne de Méricourt. Architectes, peintres, sculpteurs, musiciens, artisans, militaires, diplomates, aventurières, marbriers... tous ont leur place dans ce grand cortège historique et patrimonial qui couvre deux siècles d'Histoire de France et de Wallonie.[-]

Le genre humain est riche ; pourtant la plupart d'entre nous sont pauvres. Un paradis en puissance s'ouvre à nous ; au lieu de cela, nous nous opprimons les uns les autres avec une grande cruauté rendant peu à peu notre planète invivable. Nous avons laissé se privatiser le bien commun et permis à ses nouveaux propriétaires d'en faire ce que bon leur semble, que la ressource soit renouvelable ou non. L'argent appelle l'argent, la concentration des richesses a désormais atteint un niveau grotesque, grippant l'économie. La mécanisation est un progrès pour le genre humain tout entier ; or l'emploi disparait et le propriétaire de la machine s'enrichit davantage. Voici le monde tel qu'il est. Changeons de cap aujourd'hui même : soyons riches, puis que nous le savons en réalité ; transformons la terre en paradis. La mécanisation systématique nous libère ; vivons cette liberté dans le loisir que la gratuité autorise.
(Texte repris, en partie, au dos de l'ouvrage).[-]

Le genre humain est riche ; pourtant la plupart d'entre nous sont pauvres. Un paradis en puissance s'ouvre à nous ; au lieu de cela, nous nous opprimons les uns les autres avec une grande cruauté rendant peu à peu notre planète invivable. Nous avons laissé se privatiser le bien commun et permis à ses nouveaux propriétaires d'en faire ce que bon leur semble, que la ressource soit renouvelable ou non. L'argent appelle l'argent, la concentration des richesses a désormais atteint un niveau grotesque, grippant l'économie. La mécanisation est un progrès pour le genre humain tout entier ; or l'emploi disparait et le propriétaire de la machine s'enrichit davantage. Voici le monde tel qu'il est. Changeons de cap aujourd'hui même : soyons riches, puis que nous le savons en réalité ; transformons la terre en paradis. La mécanisation systématique nous libère ; vivons cette liberté dans le loisir que la gratuité autorise.
(Texte repris, en partie, au dos de l'ouvrage).[-]

Tous les parents le savent, éduquer ses enfants n'est pas un long fleuve tranquille. Il arrive parfois que nos chères têtes blondes nous poussent à bout et que la seule chose que l'on veuille faire, c'est de tout envoyer promener. Mais cette attitude va à l'encontre de la psychologie positive qui prône la bienveillance et l'empathie... au risque de culpabiliser les parents. Ce contre quoi l'auteur s'insurge. Il propose ici d'accompagner au mieux les parents dans leur difficile tâche d'éducation en leur rappelant que l'éducation bienveillante ne doit pas être confondue avec la manifestation d'un bonheur de surface.[-]