Documents AIDE MORALE 7 résultats

Cet ouvrage n'est pas un ouvrage scientifique mais un docuement présentant l'état des réflexions menées par un groupe d'hommes et de femmes de tous horizons sensibilisés par les violences envers les femmes. Après une réflexion sur l'origine de la violence sexuelle et sur la nécessité de prendre position contre la violence, ils nous parlent de l'attente des femmes victimes et de ce besoin nécessaire de parler. Enfin, une partie plus conséquente est consacrée au volet de la thérapie.[-]

La relation d'aide peut prendre différentes formes : face-à-face individuel, collectif, entretien téléphonique ... La 1ère partie de cet ouvrage précise le contexte de la relation et ses spécificités. La 2ème partie propose des pistes de réflexion et des exercices pour développer ses compétences. La 3ème partie est consacrée à des situations d'un haut degré de difficulté. Bref, un ouvrage pour tous ceux et celles qui veulent améliorer leurs compétences en matière de relation d'aide.[-]

EN COMMANDE
L'utilisation de la sophrologie se révèle très profitable pour la personne souffrant d'un cancer. Soin oncologique de support, elle permet de soulager la douleur, de gérer les effets indésirables des traitements (nausées, brûlures, démangeaisons, etc…) et les émotions provoquées par l'annonce du diagnostic et le déroulement des soins. Elle prépare aux interventions chirurgicales, aide la personne à garder le moral et à être active dans son traitement.
Ce manuel donne des clés théoriques et pratiques aux sophrologues désireux de s'engager dans l'accompagnement de personnes atteintes du cancer. Véritable outil de travail, il détaille des protocoles complets répondant aux problématiques générées par cette maladie et décrit, étape par étape, des déroulés de séance. (note de l'éditeur)[-]

La créativité est une capacité qui permet de composer avec son environnement. Si ce dernier est rendu difficile par la maladie, la personne créative devrait mieux s'y adapter. L'objectif de cette recherche est de démontrer que la personne créative vit différemment le cancer. L'échantillon se compose de trente-cinq hommes et femmes (61±11 ans) ayant un cancer et bénéficiant d'une chimiothérapie. Les outils d'évaluations utilisés sont : Les Cubes de Corsi, le BFI-FR et le TAS pour déterminer des groupes de créativité. De plus, les participants ont passé le WHOQOL-26 ainsi que le HADS-D pour évaluer la qualité de vie et le niveau dépression. Deux groupes distincts de créativité ont été identifiés (ë=0,28 ; p=0,003). Ces profils se différencient de manière significative avec leur niveau de dépression et par 2/3 des construits de la qualité de vie (p entre 0,001 et 0,032). Les analyses descriptives montrent que les personnes créatives ont moins de symptômes dépressifs ainsi qu'une meilleure qualité de vie que les autres. Le patient créatif semble avoir un meilleur vécu de la maladie, phénomène à explorer pouvant être utile pour l'accompagnement en psycho-oncologie.[-]

Dans cet article, la question de la mort se trouve davantage traitée en filigrane. C'est avant tout la fin de vie, ses conditions, son accompagnement et la manière dont les personnes âgées s'y projettent qui se trouvent ici abordées par les auteurs. En dépit de la multiplicité des travaux sur la question de la fin de la vie, il n'en n'existe pas de définition consensuelle mais seulement des lectures et des interprétations diverses, pouvant parfois prendre la forme de mesures. Mesurer les fins de vie est devenu aujourd'hui un enjeu des politiques de santé et cela ne se fait pas sans instruments de mesure qui témoignent de certaines conceptions de ce que sont les bonnes et les mauvaises fins de vie à l'âge avancé. La fin de vie est surtout l'objet de mesures légales et médicales mises en question par plusieurs auteurs ce numéro. Faire preuve de modération est en général ce que l'on attend des interprétations qui sont proposées par des chercheurs ou des cliniciens. Ce numéro témoigne qu'en matière de fin de vie, la conviction conduit parfois à des formes de démesures que nous avons souhaité discuter en avant-propos.[-]

Le Rapport des enfants et des jeunes concernés par la santé mentale en Belgique de l'UNICEF " What Do You Think ?" montre qu'un grand nombre d'enfants hospitalisés en pédopsychiatrie ont d'abord cherché de l'aide dans leur milieu de vie mais ne l'ont pas toujours trouvée. Dans un contexte post-covid où la santé mentale des jeunes est plus que jamais fragilisée, une sensibilisation des professionnels de la santé et de l'éducation à cette question semble indispensable. Écouter les enfants, entendre leur souffrance, les orienter: beaucoup reste à faire en matière de prévention. [-]