La plus grande erreur est qu'on considère les gens du voyage comme une communauté homogène dont tous les membres aspirent à une vie nomade. La réalité montre que la plupart des gens du voyage ont besoin d'un lieu de vie stable, un "chez soi" sûr où l'on peut toujours résider tant que les circonstances de vie le requièrent. Ceci nécessite des terrains résidentiels. En Belgique en général, il existe une pénurie aigüe de ces différents types de terrains. A Bruxelles, la situation est comparable. Ce document décrit la situation concrète des familles des gens du voyage dans la Région de Bruxelles-Capitale. Une quantification de la problématique du manque des terrains donnera une image plus claire du présent ainsi que de l'avenir.
(Note de l'éditeur)

Lieu edition : Bruxelles

Thème : SOCIETE

Date encodage : 10/01/2022