L'Occident malade de sa médecine : Pollutions, coûts, effets indésirables...
2018
262 p.
978-2-3726-3035-1
614/POR
CONSOMMATION DE MEDICAMENTS ; MEDICAMENT ; POLLUTION DE L'EAU ; SANTE PUBLIQUE ; ACCES AUX SOINS ; VACCINATION ; PROGRES ; ECHEC ; COÛT ; INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ; ALTERNATIVE ; RENTABILITÉ ; PREVENTION ; MEDECINE
136080
HEPN Campus
La santé est une forte préoccupation dans toutes les sociétés et notamment la nôtre, qui a cru voir dans les « progrès de la médecine » l'avenir d'un monde sans maladies. Ce mythe est le fruit d'une longévité qui s'est améliorée tout au long du XXe siècle grâce essentiellement aux progrès techniques réalisés. Quelques maladies infectieuses ont été jugulées et les antibiotiques et les vaccinations ont permis de croire à leur éradication. Si certains aspects de cette amélioration sont incontestables, nous verrons que les moyens mis en oeuvre ne sont pas toujours en rapport avec les résultats visibles. De plus, si la médecine avait amélioré véritablement notre santé, il y aurait moins de malades. Or nous observons le contraire : plus de malades, de maladies et de consommation médicamenteuse ! Les progrès médicaux régulièrement annoncés sont très illusoires. Les pollutions générées par les rejets médicamenteux, les coûts exorbitants et les effets médiocres devraient nous inciter à réorienter nos pratiques médicales vers des démarches plus respectueuses de la vie, moins toxiques, moins coûteuses et plus humanistes. (note de l'éditeur)
Lieu edition : Paris
Thème : SANTE PUBLIQUE
Date encodage : 20/02/2018