Documents GILLES Mireille 6 résultats

1EX. PERDU
Voici un ouvrage très complet sur le métier d'éducateur spécialisé, une profession toujours en évolution.
Pour cette nouvelle édition 2004, l'évolution des secteurs de la profession imposait une nouvelle actualisation :
- nouveaux arrêtés Awiph,
- la mise en place des arrêtés de l'Aide à la Jeunesse,
- la transformation du secteur de la petite enfance,
- l'accueil de mineurs étrangers non accompagnés,
- et enfin le passage à l'euro justifient cette nouvelle édition.

(Texte repris, en partie, en page 4)[-]

Voici la cinquième édition remise à jour d'un ouvrage très complet sur le métier d'éducateur spécialisé, une profession toujours en évolution.
La première partie vise à cerner les contours de la profession pour tenter d'en dégager les éléments transversaux et essentiels. La deuxième partie parcourt les territoires où ce métier s'exerce principalement. Quant à la troisième partie, elle reprend les principales données relatives aux conditions de travail.[-]

Ce TFE s'interroge sur la pertinence de la mise en place d'un projet de parrainage pour un jeune qui réside en Service Résidentiel Général. Ces projets de parrainage sont motivés par les besoins de création de liens et de développer un réseau relationnel au jeune. Le processus de parrainage exige l'accord et le consentement de tous les acteurs impliqués afin de s'assurer de la durée de celui-ci et d'éviter des situations problématiques. Les parents du jeune et/ou sa famille élargie doivent donner leur accord pour la mise en place du projet mais aussi doivent être impliqués de façon concrète dans le projet de vie du jeune. Cependant, l'auteure a pu observer dans sa pratique professionnelle que la priorité d'accompagnement n'était pas dirigée vers les familles d'origine et que bien souvent elles sont mises à l'écart et parfois même ignorées. Dans les faits, sur le terrain, elle collabore avec davantage de familles de parrainage que de familles d'origine alors que la mission des SRG est de proposer un programme d'aide et d'accompagnement en vue de la réinsertion du jeune dans son milieu d'origine. Elle pense donc qu'il faut revoir les pratiques éducatives du service ou plutôt remettre en question l'absence de certaines pratiques éducatives. Il ne faudrait pas que le parrainage devienne un outil organisationnel. Il est avant tout un moyen pour pallier à un manque de réseau. Il faut investir les parents et/ou les familles d'origine dans un premier temps avant de penser à mettre en place un projet de parrainage. Si l'on donne une place au réseau familial du jeune, cela peut permettre au jeune de ne pas se retrouver pis dans des conflits de loyauté envers sa famille et sa famille de parrainage.[-]

En raison de la pandémie de Covid-19 et du confinement qui en a découlé en mars 2020, le choix de ce travail s'est renforcé face aux recommandations de l'OMS de pratiquer le jeu video pour mieux vivre le confinement. Une recommandation qui prend place presque un an après l'entrée du trouble du jeu video au DSM par l'OMS. L'auteur a également entrevu les possibilités d'évasion, et plus encore dans la Réalité Virtuelle, pour ces jeunes qui se sont retrouvés presque entièrement coupés du monde lors de cette période difficile. De plus, comme éducateur, le jeu video est un outil qui permettrait de mettre les jeunes sur le même pied d'égalité. L'auteur, par des exemples vécus dans un Home d'Accueil Permanent de la Communauté Française, tentera de confirmer ces hypothèses.[-]