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La tuberculose est une maladie infectieuse bien connue qui traverse les siècles. Même si son incidence diminue globalement en France, les disparités géographiques et sociales expliquent l'approche vaccinale actuelle. Cette pathologie met aussi en exergue des problèmes de santé publique comme l'accès aux soins et la résistance aux antibiotiques. Les infirmières interviennent à tous les niveaux de la lutte contre la tuberculose : préventif, curatif et éducatif, du dépistage à l'éducation thérapeutique en passant par l'hospitalisation.[-]

Sur le plateau technique, les gestes infirmiers sont indissociables du travail médical et ont été minutieusement revus : explorations fonctionnelles respiratoires, enquête allergologique, endoscopie par exemple. Le module d'enseignement de pneumologie met l'accent sur quelques pathologies " modernes " - l'asthme et l'allergie car le nombre de malades est important et le rôle infirmier souvent déterminant ; la tuberculose car cette pandémie mondiale est toujours présente et justifie encore beaucoup de soins ; - le cancer, la chimiothérapie et les soins aux mourants parce que cet aspect de la pneumologie est un des plus riches sur le plan humain. Un nouveau chapitre en début d'ouvrage développe le rôle propre de l'infirmière, en mettant l'accent sur les spécificités pneumologiques.[-]

Le concept de la participation désigne l'inclusion complète des personnes concernées par les processus décisionnels. Au niveau de l'exclusion liée au logement, la participation fait référence à l'implication efficace des personnes sans domicile dans les services et dans les processus décisionnels qui affectent ces services. La participation est un thème de plus en plus important au niveau de l'exclusion liée au logement. Ce thème est fortement lié à l'évolution des approches fondées sur les droits, qui évaluent le droit des personnes sans domicile à être impliquées dans les décisions affectant leur vie. Ce raisonnement remet en cause la notion de sans-abri en tant que consommateurs passifs des services et considère ces personnes comme des acteurs clés dont les opinions importent réellement. Cette montée de la participation est également liée dans une certaine mesure à la question de la qualité des services d'aide aux sans-abri. Cette nouvelle volonté d'évaluer la qualité et la notion des droits des usagers à des services de qualité peuvent créer des ouvertures pour permettre aux usagers de ces services à faire entendre leurs opinions.[-]