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Il s'agissait dans cette étude d'évaluer le taux de prévalence de l'utilisation problématique des messages textes instantanés au sein d'une population française d'étudiants. Près de 5 % d'entre eux étaient concernés par l'utilisation problématique des messages textes instantanés et 40 % étaient à risque. Chez les hommes, l'utilisation problématique était associée à l'attachement sécure et aux traits de personnalité limite, alors que chez les femmes, elle était associée à la symptomatologie dépressive, l'anxiété sociale, l'attachement sécure et les traits de personnalité limite. Cette recherche exploratoire doit être complétée par des études focalisées sur les relations causales entre l'utilisation problématique des messages textes instantanés et les variables psychopathologiques, interpersonnelles et de personnalité.[-]