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Documents COLOMBARD Roselyne 2 résultats

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- n° 3 - p. 229-233
Thème : SANTE
La loi du 4 mars 2002, considérée en France comme une étape fondamentale du droit médical, a consacré la possibilité d'accès direct du patient à son dossier médical. Le professionnel de santé, quel que soit son mode d'exercice, hospitalier, privé ou libéral, doit répondre à la demande de l'intéressé dans le respect des délais impartis. De plus, cette loi a étendu ce droit d'accès à des tiers (ayant droit, bénéficiaire). Cela témoigne d'une évolution sociologique de la relation entre le médecin et le malade, qui fait passer d'une médecine paternaliste à une pratique médicale consumériste, plaçant l'usager comme un consommateur et un acteur de ses soins. L'objectif de cette étude a été de décrire les caractéristiques des patients (ou des ayants droit) formulant une demande d'accès au dossier médical, leurs motivations, afin de pointer certaines difficultés inhérentes à cette loi.[-]

La loi du 4 mars 2002, considérée en France comme une étape fondamentale du droit médical, a consacré la possibilité d'accès direct du patient à son dossier médical. Le professionnel de santé, quel que soit son mode d'exercice, hospitalier, privé ou libéral, doit répondre à la demande de l'intéressé dans le respect des délais impartis. De plus, cette loi a étendu ce droit d'accès à des tiers (ayant droit, bénéficiaire). Cela témoigne d'une ...

SANTE ; DOSSIER MEDICAL ; DROITS DU PATIENT ; SECRETARIAT MEDICAL ; HOSPITALISATION ; PSYCHIATRIE ; FRANCE ; RELATIONS SOIGNANT-SOIGNE

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- n° 5 - p. 454-458
Thème : SANTE PUBLIQUE
Depuis le milieu des années 1990 et sa reconnaissance en tant que « priorité de santé publique », le suicide demeure au centre des différentes politiques de santé mentale. Avec un taux de décès par suicide parmi les plus élevés au niveau européen, la France est particulièrement impactée par cette problématique. La prédictibilité d'un passage à l'acte auto-agressif demeure la principale préoccupation face à un patient en crise suicidaire. L'évaluation Risque Urgence Dangerosité, établie lors de la conférence de consensus en octobre 2000, a marqué un tournant dans l'analyse du risque suicidaire. À travers une triple évaluation correspondant à chacun de ses trois items, cet outil a permis de mieux clarifier la prise en charge thérapeutique proposée et notamment la décision ou non d'une hospitalisation. Toutefois, ce dernier demeurant perfectible dans son analyse, une cartographie de points clés au niveau clinique a été proposée dans cet article afin d'avoir la vision la plus large possible face à un patient en crise suicidaire. L'évaluation du potentiel suicidaire reste soumise, malgré tout, à une part d'improbabilité. À ce titre, une hospitalisation brève dans le cadre de la crise suicidaire a tout son intérêt, que ce soit devant une personne suicidaire ou devant une personne suicidante, cela en l'absence d'une pathologie psychiatrique décompensée, afin de permettre une « mise à distance » de l'environnement anxiogène et de créer un lien de confiance facilitant le travail ambulatoire.[-]

Depuis le milieu des années 1990 et sa reconnaissance en tant que « priorité de santé publique », le suicide demeure au centre des différentes politiques de santé mentale. Avec un taux de décès par suicide parmi les plus élevés au niveau européen, la France est particulièrement impactée par cette problématique. La prédictibilité d'un passage à l'acte auto-agressif demeure la principale préoccupation face à un patient en crise suicidaire. ...

SANTE PUBLIQUE ; SANTE MENTALE ; SUICIDE (TENTATIVE) ; CRISE ; EVALUATION ; PATHOLOGIE ; PSYCHIATRIE ; RISQUE ; HOPITAL ; PRISE EN CHARGE AMBULATOIRE

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