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La gravité des faits comme condition à l'internement DE PAGE Louis ; MERCENIER Sophie ; TITECA Pierre | ANNALES MEDICO PSYCHOLOGIQUES 05/2019

Centre de Ressources Documentaires
article - - Doc n°143711

- n° 5 - p. 404-407
Thème : PSYCHIATRIE
En Belgique, les personnes ayant commis un délit ou un crime atteintes d'un trouble mental peuvent être « internées », ce qui est une mesure de soin sous contrainte. La loi inclut désormais un critère de gravité des faits. Or, dans les troubles psychotiques, le lien entre la gravité des faits, d'une part, et la pathologie et la dangerosité, d'autre part, est incertain. Les auteurs tenteront d'examiner l'impact de cette récente modification de la loi. Ils ont examiné les faits de 153 internés psychotiques. Ils ont classifié ces faits selon leur gravité. Les auteurs corréleront la gravité des faits avec des mesures standardisées de symptomatologie psychotique, ainsi qu'avec des mesures de la dangerosité. Les résultats confirment une absence de lien entre la gravité des faits et la sévérité de la pathologie, et la dangerosité. Par contre, la sévérité de la pathologie et la dangerosité corrèlent modérément à fortement. Environ 17% pourraient ne plus être internés sur la base de ce nouveau critère. Il n'y a pas de différence symptomatologique ou criminologique chez les personnes qui ne seraient plus internées à celles qui le seraient encore.[-]

En Belgique, les personnes ayant commis un délit ou un crime atteintes d'un trouble mental peuvent être « internées », ce qui est une mesure de soin sous contrainte. La loi inclut désormais un critère de gravité des faits. Or, dans les troubles psychotiques, le lien entre la gravité des faits, d'une part, et la pathologie et la dangerosité, d'autre part, est incertain. Les auteurs tenteront d'examiner l'impact de cette récente modification de la ...

MALADIE MENTALE ; PSYCHOSE ; PSYCHIATRIE ; TROUBLE ; DELINQUANCE ; INTERNEMENT ; CAUSES ; DANGER ; CONTRAINTE

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- n° 4 - p. 335-339
Thème : VIOLENCE
L'évaluation du risque de violence est une démarche à la fois de plus en plus incontournable dans la psychiatrie médico-légale et à la fois fortement critiquée sur les plans éthique, sociétal et scientifique. Dans cet article, les auteurs retracent les différentes générations d'outils d'évaluation du risque de violence. L'évaluation structurée du risque a été créée en réponse aux manquements du jugement clinique non structuré. Il a été démontré dans maintes recherches antérieures que le jugement clinique non structuré comportait différents biais (surévaluation du risque, incohérence intercotateur, etc.). L'utilisation des échelles d'évaluation du risque répond en partie à ces manquements, mais comporte d'autres défauts (dangers d'utilisations erronées, utilité clinique incertaine, etc.). En analysant la littérature issue de ces différentes perspectives, les auteurs décrivent les enjeux qui pèsent sur l'évaluation du risque de violence. Enfin, ils décrivent plusieurs pistes pour maintenir une attitude résolument clinique tout en intégrant ces outils d'évaluation dans la pratique.[-]

L'évaluation du risque de violence est une démarche à la fois de plus en plus incontournable dans la psychiatrie médico-légale et à la fois fortement critiquée sur les plans éthique, sociétal et scientifique. Dans cet article, les auteurs retracent les différentes générations d'outils d'évaluation du risque de violence. L'évaluation structurée du risque a été créée en réponse aux manquements du jugement clinique non structuré. Il a été démontré ...

PSYCHIATRIE ; VIOLENCE ; RISQUE ; EVALUATION ; OUTIL

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