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Documents COHEN R. 20 résultats

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- n° 3 - p. 155-160
Thème : PEDIATRIE
Les infections invasives à méningocoques (IIM) sont des maladies bactériennes transmissibles graves qui se manifestent le plus souvent par une septicémie ou une méningite. La forme la plus sévère est le Purpura fulminans.

VACCINATION ; INFECTION ; MENINGITE ; BACTERIE

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Les vaccins hexavalents COHEN R. ; THIEBAULT G. ; BAKHACHE P. | JOURNAL DE PÉDIATRIE ET DE PUÉRICULTURE février 2020

HEPN Campus
* Article - - Doc n°148148

- n° 1 - p. 3-7
Thème : PEDIATRIE
Les vaccins hexavalents (Hexyon®, Infanrix Hexa® et Vaxelis®) sont la pierre angulaire des programmes de vaccination dans la majorité des pays du monde. Ils protègent contre 6 maladies : la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite, l'hépatite B et les infections à Haemophilus influenzae de type B. Ces infections qui peuvent avoir des complications graves, voire mortelles, touchent aujourd'hui essentiellement ceux qui ne sont pas vaccinés. L'efficacité sur le terrain est estimée à environ 85 % pour la coqueluche et plus de 95 % pour les autres maladies. Cette vaccination, obligatoire chez l'enfant en France, doit être administrée dès l'âge de 2 mois et revêt à la fois un objectif de protection individuelle et collective (effet de groupe).[-]

Les vaccins hexavalents (Hexyon®, Infanrix Hexa® et Vaxelis®) sont la pierre angulaire des programmes de vaccination dans la majorité des pays du monde. Ils protègent contre 6 maladies : la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite, l'hépatite B et les infections à Haemophilus influenzae de type B. Ces infections qui peuvent avoir des complications graves, voire mortelles, touchent aujourd'hui essentiellement ceux qui ne sont pas ...

VACCINATION ; OBLIGATION ; PROTECTION INFANTILE ; PREVENTION ; TETANOS ; COQUELUCHE ; HEPATITE

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- n° 1 - p. 8-12
Thème : PEDIATRIE
Les pneumocoques (plus de 90 sérotypes différents ont été identifiés) représentent la première cause d'infections bactériennes chez l'homme et une cause majeure de mortalité et de morbidité dans le monde. Le risque d'infection à pneumocoque est particulièrement élevé chez les enfants dans les 2 premières années de vie, chez les sujets âgés de plus de plus de 65 ans, et à tout âge chez des patients présentant des facteurs de risque. L'introduction des vaccins contre le pneumocoque a permis une diminution franche des infections pneumococciques réduisant significativement la mortalité et la morbidité, mais les infections ne vont pas disparaître : la pression de sélection exercée par les vaccins ayant conduit à un remplacement sérotypique. Ces vaccins sont aujourd'hui inclus dans les calendriers vaccinaux de plus de 180 pays dans le monde.[-]

Les pneumocoques (plus de 90 sérotypes différents ont été identifiés) représentent la première cause d'infections bactériennes chez l'homme et une cause majeure de mortalité et de morbidité dans le monde. Le risque d'infection à pneumocoque est particulièrement élevé chez les enfants dans les 2 premières années de vie, chez les sujets âgés de plus de plus de 65 ans, et à tout âge chez des patients présentant des facteurs de risque. L'in...

VACCINATION ; PROTECTION INFANTILE ; PREVENTION ; INFECTION ; BACTERIE ; POPULATION MONDIALE

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- n° 1 - p. 13-19
Thème : PEDIATRIE
La rougeole, les oreillons et la rubéole sont des maladies virales très contagieuses, considérées comme des « maladies inévitables » avant l'ère de la vaccination et contre lesquelles il n'existe aucun traitement efficace. Si elles évoluent le plus souvent favorablement en quelques jours, des complications sévères peuvent survenir et provoquer des séquelles physiques ou neurologiques permanentes et, dans de rares cas, la mort. La vaccination ROR présente une très bonne efficacité : après deux doses elle est estimée à plus de 97 % pour la rougeole, 100 % pour la rubéole et environ 90 % pour les oreillons. La vaccination est le seul moyen efficace de prévenir ces maladies. La rougeole est la plus grave des trois de ces trois maladies et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a pour objectif son élimination en Europe.[-]

La rougeole, les oreillons et la rubéole sont des maladies virales très contagieuses, considérées comme des « maladies inévitables » avant l'ère de la vaccination et contre lesquelles il n'existe aucun traitement efficace. Si elles évoluent le plus souvent favorablement en quelques jours, des complications sévères peuvent survenir et provoquer des séquelles physiques ou neurologiques permanentes et, dans de rares cas, la mort. La vaccination ROR ...

VACCINATION ; PROTECTION INFANTILE ; PREVENTION ; ROUGEOLE ; OREILLONS ; RUBEOLE ; MALADIE CONTAGIEUSE ; COMPLICATION

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- n° 1 - p. 20-25
Thème : PEDIATRIE
Les infections invasives à méningocoque sont des infections rares mais graves. Le sérogroupe C est le deuxième sérotype en termes d'incidence. Dans de nombreux pays ayant introduit la vaccination anti-méningococcique C conjuguée dans leur calendrier vaccinal, une réduction supérieure à 95 % de ces infections a été observée. Quand la couverture vaccinale est élevée, notamment chez les adolescents, cette vaccination protège également les populations non vaccinées par un effet d'immunité de groupe. Les vaccins anti-méningococciques C conjugués sont commercialisés depuis 17 ans et sont bien tolérés, ils sont maintenant inclus dans les calendriers vaccinaux de nombreux pays dans le monde. En France, le vaccin contre le méningocoque C fait partie des vaccins obligatoires pour tous les nourrissons avec une 1re dose à l'âge de 5 mois et un rappel à 12 mois. La vaccination est également recommandée pour tous les enfants, adolescents et jeunes adultes non encore vaccinés jusqu'à l'âge de 24 ans révolus. InfoVac recommande un rappel pour tous les enfants à l'âge de 11–13 ans avec un vaccin ACYW conjugué.[-]

Les infections invasives à méningocoque sont des infections rares mais graves. Le sérogroupe C est le deuxième sérotype en termes d'incidence. Dans de nombreux pays ayant introduit la vaccination anti-méningococcique C conjuguée dans leur calendrier vaccinal, une réduction supérieure à 95 % de ces infections a été observée. Quand la couverture vaccinale est élevée, notamment chez les adolescents, cette vaccination protège également les ...

VACCINATION ; PROTECTION INFANTILE ; PREVENTION ; INFECTION ; OBLIGATION

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Les vaccins contre la varicelle COHEN R. ; PINQUIER D. ; HAAS H. | JOURNAL DE PÉDIATRIE ET DE PUÉRICULTURE février 2020

HEPN Campus
* Article - - Doc n°148154

- n° 1 - p. 26-30
Thème : PEDIATRIE
La varicelle est une maladie infantile très contagieuse, provoquée par un virus également responsable du zona. Le plus souvent bénigne, l'infection peut cependant entraîner des complications graves voire des décès, notamment chez les personnes immunodéprimées, chez la femme enceinte non immunisée et l'enfant qu'elle porte, ou lorsqu'elle survient après l'âge de dix ans même chez des sujets dont l'immunité est normale. Santé publique France recense une vingtaine de décès par an (70 % sont des patients de plus de 10 ans) et 3000 hospitalisations pour 700 000 cas de varicelle annuels. Il existe cependant des vaccins très efficaces et bien tolérés contre la varicelle qui, s'ils ne sont ni obligatoires, ni recommandés en population générale, peuvent être utilisés dans différentes circonstances.[-]

La varicelle est une maladie infantile très contagieuse, provoquée par un virus également responsable du zona. Le plus souvent bénigne, l'infection peut cependant entraîner des complications graves voire des décès, notamment chez les personnes immunodéprimées, chez la femme enceinte non immunisée et l'enfant qu'elle porte, ou lorsqu'elle survient après l'âge de dix ans même chez des sujets dont l'immunité est normale. Santé publique France ...

VACCINATION ; PROTECTION INFANTILE ; PREVENTION ; ZONA ; VARICELLE ; MALADIE CONTAGIEUSE

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- n° 2 - p. 78-79
Thème : PEDIATRIE
La crainte des piqûres joue dans la défiance vaccinale. Dans les pages qui suivent cet article introductif, sont explicitées 6 manières de lutter contre la peur et l'angoisse des enfants face aux piqûres (p.80-111).

ENFANCE ; PEUR ; PIQÛRE ; VACCINATION ; DOULEUR ; GUIDE DES BONNES PRATIQUES

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- n° 2 - p. 80-83
Thème : PEDIATRIE
En dehors du BCG qui doit être obligatoirement effectué en intradermique, tous les autres vaccins injectables pédiatriques peuvent (pour les vaccins vivants) ou doivent (vaccins adjuvés en particulier) être administrés en intramusculaire. Cependant, l'administration en intramusculaire des vaccins n'obéit pas tout à fait aux mêmes règles que les autres injections utilisant le muscle. L'optimisation du confort de la vaccination et la diminution de la douleur liée à l'injection passent d'abord par une technique d'injection adaptée. Or les techniques de vaccination de base peuvent parfois sembler contre intuitives et ne sont pas toutes maîtrisées par les professionnels de santé qui sont amenés à vacciner. Ainsi, l'injection intramusculaire se fait toujours à 90° par rapport au plan de la peau, en utilisant l'aiguille la plus fine possible mais ayant une longueur suffisante pour être certain d'être dans le muscle, sans purger la seringue de son air jusqu'à l'aiguille, sans aspirer au préalable, et en injectant le produit plus rapidement possible.[-]

En dehors du BCG qui doit être obligatoirement effectué en intradermique, tous les autres vaccins injectables pédiatriques peuvent (pour les vaccins vivants) ou doivent (vaccins adjuvés en particulier) être administrés en intramusculaire. Cependant, l'administration en intramusculaire des vaccins n'obéit pas tout à fait aux mêmes règles que les autres injections utilisant le muscle. L'optimisation du confort de la vaccination et la diminution de ...

ENFANCE ; PEUR ; PIQÛRE ; VACCINATION ; ADMINISTRATION ; VACCIN ; INJECTION (TECHNIQUE INFIRMIERE) ; GUIDE DES BONNES PRATIQUES ; DOULEUR

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- n° 2 - p. 84-90
Thème : PEDIATRIE
Les techniques de distraction et l'hypnose conversationnelle ont une efficacité démontrée sur la réduction de la douleur dans de nombreuses études et méritent d'être au premier plan dans la prévention des désagréments des séances de vaccination. Les possibilités sont nombreuses, avec pour but de détourner l'attention des enfants de la procédure. Bien entendu, elles doivent être adaptées aux parents, au contexte, mais surtout à l'âge de l'enfant et aux désirs des praticiens. En effet, il n'est pas question que les vaccinateurs les adoptent toutes. Notre but est de présenter une boîte à outils de techniques dans lequel chaque vaccinateur pourra choisir celles qui sont adaptées à sa pratique.[-]

Les techniques de distraction et l'hypnose conversationnelle ont une efficacité démontrée sur la réduction de la douleur dans de nombreuses études et méritent d'être au premier plan dans la prévention des désagréments des séances de vaccination. Les possibilités sont nombreuses, avec pour but de détourner l'attention des enfants de la procédure. Bien entendu, elles doivent être adaptées aux parents, au contexte, mais surtout à l'âge de l'enfant ...

ENFANCE ; PEUR ; PIQÛRE ; VACCINATION ; ADMINISTRATION ; VACCIN ; GUIDE DES BONNES PRATIQUES ; DISTRACTION ; COMMUNICATION ; OUTIL ; PRATIQUE PROFESSIONNELLE ; DOULEUR

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- n° 2 - p. 91-97
Thème : PEDIATRIE
L'objectif de réduire les douleurs liées aux vaccins et ainsi, la peur des injections peut passer par des mesures simples et peu coûteuses comme l'administration de solutions sucrées (ou d'un vaccin oral contre les rotavirus) ou la mise au sein. En effet, différentes études montrent des bénéfices réels bien que modestes de ces techniques pour les petits nourrissons avec des niveaux de preuve modérés. Néanmoins, la facilité et le faible coût de ces techniques doivent les mettre en premier plan comme le recommande l'OMS et InfoVac.[-]

L'objectif de réduire les douleurs liées aux vaccins et ainsi, la peur des injections peut passer par des mesures simples et peu coûteuses comme l'administration de solutions sucrées (ou d'un vaccin oral contre les rotavirus) ou la mise au sein. En effet, différentes études montrent des bénéfices réels bien que modestes de ces techniques pour les petits nourrissons avec des niveaux de preuve modérés. Néanmoins, la facilité et le faible coût de ...

ENFANCE ; PEUR ; PIQÛRE ; VACCINATION ; ADMINISTRATION ; VACCIN ; GUIDE DES BONNES PRATIQUES ; DOULEUR ; SUCRE ; ALIMENTATION ; SEIN

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