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- n° 6 - p.492-497
Thème : PSYCHIATRIE
L'échelle de perte spécifique de l'intérêt et du plaisir ou EPSIP est une échelle anglophone créée par le Dr E. Samuel Winer et son équipe (département de psychologie, Mississippi State University) évaluant des changements récents (moins de 15jours) en matière d'anhédonie. L'objet de l'étude est de mettre au point une version française de l'échelle et d'effectuer une première étude de validation. Un total de 108 sujets atteints d'un trouble dépressif majeur selon les critères du DSM-5 et ayant au moins un score de 12 à l'échelle de dépression de Beck (BDI-II) ont été inclus ainsi que 50 sujet sains. Les sujets remplissaient 7 échelles : la version française, l'échelle de plaisir de Snaith et d'Hamilton, l'échelle d'Expérience Temporelle du Plaisir évaluant le plaisir anticipatoire et consommatoire, le BDI-II, la sous-échelle d'anhédonie du BDI-II et la version courte de l'échelle d'anhédonie physique de Chapman comprenant 26 items. La validité externe a été appréciée en déterminant la validité concourante, la validité discriminante et la validité incrémentale. La cohérence interne a été mesurée par le coefficient alpha de Cronbach et la validité interne par une analyse en composantes principales. Les 106 déprimés étaient comparés aux 50 sujets contrôles par un test non paramétrique pour les déprimés et contrôles respectivement. L'analyse en composantes principales a montré une structure unidimensionnelle. La version française de l'échelle SLIPS présente des paramètres métrologiques satisfaisants ce qui recommandent son utilisation notamment pour l'étude du risque suicidaire chez le déprimé.[-]

L'échelle de perte spécifique de l'intérêt et du plaisir ou EPSIP est une échelle anglophone créée par le Dr E. Samuel Winer et son équipe (département de psychologie, Mississippi State University) évaluant des changements récents (moins de 15jours) en matière d'anhédonie. L'objet de l'étude est de mettre au point une version française de l'échelle et d'effectuer une première étude de validation. Un total de 108 sujets atteints d'un trouble ...

DEPRESSION ; SUICIDE ; PLAISIR ; ANALYSE SYSTÉMIQUE ; ETUDE COMPARATIVE ; PUBLICATION SCIENTIFIQUE

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- n° 8 - p. 682-686
Thème : PSYCHIATRIE
La musique a toujours fait partie de notre culture. Il existe des différences interindividuelles importantes dans la capacité à éprouver du plaisir à l'écoute d'une musique. Une partie de la population est incapable d'en ressentir du plaisir. Ce fait est nommé « anhédonie musicale ». Plusieurs études mettent en avant l'existence d'une anhédonie musicale chez des sujets sains, non déprimés, en l'absence d'amusie, mais aussi en l'absence d'une perte de plaisir à la présentation d'autres stimuli. On parle d'anhédonie musicale « spécifique » pour décrire une perte de plaisir qui ne concerne que les stimuli musicaux. Elle est un phénomène rare. Chez 5 % des individus, l'anhédonie musicale est congénitale. Elle peut aussi être acquise suite à des lésions cérébrales focales de localisations diverses. La récompense musicale semble être traitée par la connectivité existant entre les zones corticales auditives, situées au niveau du gyrus temporal supérieur, et les zones du système de récompense, telles que le noyau accumbens, le noyau caudé et le système limbique. Le plaisir musical semble rester intact dans une grande variété de troubles neurologiques impliquant une altération des fonctions cognitives. Actuellement, la littérature n'a pas encore pu établir des liens entre l'anhédonie spécifique à la musique et certains troubles mentaux comme la dépression ou la schizophrénie.[-]

La musique a toujours fait partie de notre culture. Il existe des différences interindividuelles importantes dans la capacité à éprouver du plaisir à l'écoute d'une musique. Une partie de la population est incapable d'en ressentir du plaisir. Ce fait est nommé « anhédonie musicale ». Plusieurs études mettent en avant l'existence d'une anhédonie musicale chez des sujets sains, non déprimés, en l'absence d'amusie, mais aussi en l'absence d'une ...

NEUROSCIENCES ; MUSIQUE ; MEMOIRE ; PLAISIR ; INTELLIGENCE EMOTIONNELLE ; CERVEAU

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