- n° 833 - p. 12-13
Thème : SOCIETE
À Ouarzazate, Marrakech ou Casablanca, les figurants coûtent à peine plus de 2 euros l'heure, les techniciens ne sont pas syndiqués, des villages splendides servent de décor pour des sommes dérisoires, l'État garantit la sécurité, les incitations financières pleuvent. Résultat aussi : le cinéma local est devenu un sous-traitant de l'Occident. Même relatif, ce soft power marocain est-il en train de connaître ses derniers jours ?
MAROC ; CINEMA ; CONDITIONS DE TRAVAIL ; COÛT DE PRODUCTION
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