Les infirmières peuvent aussi agir de manière autonome sur la nutrition !
01-03/2018
188
p. 15-17
SOINS INFIRMIERS ; MALNUTRITION ; DENUTRITION ; PREVENTION ; LUTTE ; INFIRMIER(E) ; ROLE ; COMPETENCE ; FORMATION
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Centre de Ressources Documentaires
Parce qu'elles sont en première ligne pour dépister la malnutrition et les risques de dénutrition, ou qu'elles rencontrent des patients atteints d'obésité, de diabète ou dont l'état de santé serait amélioré par un meilleur comportement alimentaire, le législateur a prévu dans les compétences de l'infirmier : l'évaluation de l'état de santé, la détermination des problèmes, l'information et conseil au patient, et des interventions autonomes visant l'amélioration de l'état de santé. Parmi ces intervention autonomes figurent notamment l'alimentation et l'hydratation entérales (c'est-à-dire celles qui passent par le tube digestif). Évidemment, en sortant des études infirmières on ne se sent pas toujours suffisamment armé pour remplir pleinement ce rôle, c'est pourquoi en France des formations complémentaires ont vu le jour dans les universités... Voici notamment ce que raconte Olivia Dujardin, journaliste, dans la revue française en ligne Actu-Soins.
Thème : SOINS INFIRMIERS
Date encodage : 03/04/2018