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Thème : OUTIL
On entend souvent dire que les personnes issues de l'immigration ne sont pas (ou sont mal) intégrées dans la société belge. Certains parlent même d'un «échec» de l'intégration. De tels discours s'appuient sur une idée souvent très floue de l'intégration qui rend difficile tout débat de fond: que signifie intégrer et s'intégrer ? Que peut-on légitimement attendre de la part des personnes s'installant dans un nouveau pays ? Qu'est-ce que les autorités et les citoyens de ce pays doivent mettre en place pour intégrer effectivement les nouveaux arrivants ? Si être intégré, c'est participer à la vie sociale et culturelle (par le biais de l'école, du quartier, d'associations, d'institutions, etc.), économique (travailler) et citoyenne (participer au débat public, contribuer à la réflexion sur les choix politiques, agir dans le champ politique), on voit mal sur quelle base on pourrait prétendre qu'il n'y a pas d'intégration des personnes issues de l'immigration : la majorité d'entre elles est en effet relativement bien intégrée, tout comme la population dite «de souche», dont l'intégration, au sens qui vient d'être défini, n'est elle aussi que relative. Force est de constater néanmoins que de nombreux individus en Belgique n'ont pas les moyens de participer pleinement aux différentes dimensions de la vie en société évoquées ci-dessus, et que cette situation touche particulièrement les personnes issues de l'immigration. La question cruciale qui se pose est dès lors la suivante : quels sont les obstacles à cette intégration qui pèsent en particulier sur les individus et les groupes d'origine étrangère ? Lorsque l'immigration et l'intégration sont abordées dans débat public belge, il est fréquent d'évoquer le rôle que joue la langue dans ces questions.[-]

On entend souvent dire que les personnes issues de l'immigration ne sont pas (ou sont mal) intégrées dans la société belge. Certains parlent même d'un «échec» de l'intégration. De tels discours s'appuient sur une idée souvent très floue de l'intégration qui rend difficile tout débat de fond: que signifie intégrer et s'intégrer ? Que peut-on légitimement attendre de la part des personnes s'installant dans un nouveau pays ? Qu'est-ce que les ...

OUTIL ; LANGUE ; IMMIGRATION ; LANGUES ETRANGERES ; INSERTION SOCIALE

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Thème : MIGRATION
On entend souvent dire que les personnes issues de l'immigration ne sont pas (ou sont mal) intégrées dans la société belge. Certains parlent même d'un «échec» de l'intégration. De tels discours s'appuient sur une idée souvent très floue de l'intégration qui rend difficile tout débat de fond: que signifie intégrer et s'intégrer ? Que peut-on légitimement attendre de la part des personnes s'installant dans un nouveau pays ? Qu'est-ce que les autorités et les citoyens de ce pays doivent mettre en place pour intégrer effectivement les nouveaux arrivants ? Si être intégré, c'est participer à la vie sociale et culturelle (par le biais de l'école, du quartier, d'associations, d'institutions, etc.), économique (travailler) et citoyenne (participer au débat public, contribuer à la réflexion sur les choix politiques, agir dans le champ politique), on voit mal sur quelle base on pourrait prétendre qu'il n'y a pas d'intégration des personnes issues de l'immigration : la majorité d'entre elles est en effet relativement bien intégrée, tout comme la population dite «de souche», dont l'intégration, au sens qui vient d'être défini, n'est elle aussi que relative. Force est de constater néanmoins que de nombreux individus en Belgique n'ont pas les moyens de participer pleinement aux différentes dimensions de la vie en société évoquées ci-dessus, et que cette situation touche particulièrement les personnes issues de l'immigration. La question cruciale qui se pose est dès lors la suivante : quels sont les obstacles à cette intégration qui pèsent en particulier sur les individus et les groupes d'origine étrangère ? Lorsque l'immigration et l'intégration sont abordées dans débat public belge, il est fréquent d'évoquer le rôle que joue la langue dans ces questions.[-]

On entend souvent dire que les personnes issues de l'immigration ne sont pas (ou sont mal) intégrées dans la société belge. Certains parlent même d'un «échec» de l'intégration. De tels discours s'appuient sur une idée souvent très floue de l'intégration qui rend difficile tout débat de fond: que signifie intégrer et s'intégrer ? Que peut-on légitimement attendre de la part des personnes s'installant dans un nouveau pays ? Qu'est-ce que les ...

LANGUE ; IMMIGRATION ; LANGUES ETRANGERES ; INSERTION SOCIALE ; CITOYENNETE

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