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Documents GARCIA Mathieu 3 résultats

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- n° 4 - p. 371-378
Thème : PSYCHIATRIE
Une quantité croissante de travaux de recherche à travers le monde fait état de la nécessité, si ce n'est de l'urgence, de promouvoir l'implantation et la diffusion de programmes d'intervention contribuant à prévenir le plut tôt possible l'émergence, la cristallisation et l'aggravation des problématiques antisociales et violentes rencontrées chez certains jeunes. Toutefois, il existe des débats — aussi bien au sein des communautés scientifiques, cliniques, qu'éducatives — quant à la pertinence et à l'efficacité des différents dispositifs existants à ce jour. La question n'étant plus tant celle de savoir s'il s'agit ou non de se situer dans une perspective préventive, mais plutôt de déterminer de quelle façon et selon quelles modalités rendre les interventions les plus efficientes possible. C'est dans ce contexte que les auteurs ont souhaité clarifier l'état actuel des connaissances à ce sujet, en proposant un panorama des divers programmes d'intervention visant spécifiquement à endiguer le développement des comportements agressifs et délictueux potentiellement observables pendant l'enfance et/ou l'adolescence.[-]

Une quantité croissante de travaux de recherche à travers le monde fait état de la nécessité, si ce n'est de l'urgence, de promouvoir l'implantation et la diffusion de programmes d'intervention contribuant à prévenir le plut tôt possible l'émergence, la cristallisation et l'aggravation des problématiques antisociales et violentes rencontrées chez certains jeunes. Toutefois, il existe des débats — aussi bien au sein des communautés scientifiques, ...

ADOLESCENCE - PSYCHOLOGIE ; ENFANCE - PSYCHOLOGIE ; COMPORTEMENT SOCIAL ; COMPORTEMENT A RISQUE ; AGRESSIVITÉ ; VIOLENCE ; INTERVENTION ; AIDE PRECOCE ; DELINQUANCE JUVENILE

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- n° 10 - p. 987-998
Thème : VIOLENCE
L'approche attachementiste avec ses différentes modélisations théoriques constitue un paradigme novateur pour étudier la criminalité sous ses diverses facettes. Les recherches au sujet de l'importance des styles d'attachement dans l'apparition d'agissements violents, délictuels et/ou criminels demeurent néanmoins source de nombreuses discussions. Aussi, le présent article se propose-t-il de venir présenter et clarifier l'état actuel des connaissances à propos des relations entre attachement et mode d'agir criminel.[-]

L'approche attachementiste avec ses différentes modélisations théoriques constitue un paradigme novateur pour étudier la criminalité sous ses diverses facettes. Les recherches au sujet de l'importance des styles d'attachement dans l'apparition d'agissements violents, délictuels et/ou criminels demeurent néanmoins source de nombreuses discussions. Aussi, le présent article se propose-t-il de venir présenter et clarifier l'état actuel des ...

VIOLENCE ; AGRESSION SEXUELLE ; CRIMINALITE ; PASSAGE A L'ACTE ; ATTACHEMENT ; DELINQUANCE

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- n° 1 - pp. 42-47
Thème : PSYCHOLOGIE
Peut-on raisonnablement défendre la suppression de l'évaluation du discernement dans l'appréciation de la responsabilité pénale des infracteurs ? Si une telle question peut à première vue sembler purement rhétorique, de récentes propositions de réforme de l'article 122-1 du Code pénal suggèrent qu'il n'en est rien. Une recommandation, publiée dans les Annales Médico-Psychologiques (Bouchard, 2018), de réécriture dudit article s'appuie même explicitement sur une argumentation en faveur de l'abandon des concepts – légitimement jugés insuffisamment précis – d'abolition et d'altération du discernement, auxquels devrait se substituer l'idée, supposément moins équivoque, d'un lien de causalité nouant (de façon « exclusive » ou non) la présence d'un trouble mental et la commission des faits. Nous nous proposons ici de démontrer en quoi le raisonnement censé justifier l'évacuation de l'examen de la qualité du discernement – remplacé par une estimation de type causal particulièrement ambitieuse – repose sur des prémisses éminemment controversables et nous achemine en outre vers d'insurmontables difficultés évitées par le texte actuel.[-]

Peut-on raisonnablement défendre la suppression de l'évaluation du discernement dans l'appréciation de la responsabilité pénale des infracteurs ? Si une telle question peut à première vue sembler purement rhétorique, de récentes propositions de réforme de l'article 122-1 du Code pénal suggèrent qu'il n'en est rien. Une recommandation, publiée dans les Annales Médico-Psychologiques (Bouchard, 2018), de réécriture dudit article s'appuie même ...

DROIT PENAL ; PSYCHIATRIE ; EXPERTISE ; LEGISLATION ; SANTE MENTALE

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