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- 100 p.
Thème : SEXUALITE
Les "thérapies de conversion" sont des pratiques visant à changer ou supprimer l'orientation sexuelle d'une personne ou son identité de genre. Elles peuvent prendre plusieurs formes allant de la table de discussion aux traitements médicamenteux ou aux séances d'exorcisme. Ces pratiques ont connu un premier essor aux États-Unis où près de 700 000 personnes les auraient subies. Peu à peu, elles se sont répandues en Europe. En Belgique, la situation est floue. Il y a en effet très peu, voire aucun témoignage direct révélant l'existence de ces "thérapies" dans le plat pays. Seule la dramatique affaire de Layla Achichi en 2009 a été médiatisée. Cette jeune fille est décédée à Anvers après une séance d'exorcisme visant à modifier son orientation sexuelle. S'il existe bien en Belgique une volonté politique d'interdire ces "thérapies", il y a donc un manque de données et de témoignages. Un projet de loi avait été déposé en 2019 mais n'a jamais été voté. Même chose en 2021. Oumayma Hammadi (conseillère politique LGBTQI+ au cabinet de Sarah Schlitz) indique qu'un texte va bientôt être proposé : "Nous travaillons à un avant-projet de loi. Notre objectif est d'interdire en 2022" . Quelle est donc la réalité de ce phénomène en Belgique ? Existe-t-il des groupes ou individus identifiés proposant ces "thérapies" ? L'auteur a pu recueillir le témoignage de personnes qui sont passées par ces "thérapies" en Belgique. Elles nous dévoilent les mécanismes de ces pratiques obscures et nous révèlent la matérialité multiple de ce phénomène en Belgique. (note de l'éditeur)[-]

Les "thérapies de conversion" sont des pratiques visant à changer ou supprimer l'orientation sexuelle d'une personne ou son identité de genre. Elles peuvent prendre plusieurs formes allant de la table de discussion aux traitements médicamenteux ou aux séances d'exorcisme. Ces pratiques ont connu un premier essor aux États-Unis où près de 700 000 personnes les auraient subies. Peu à peu, elles se sont répandues en Europe. En Belgique, la ...

THERAPIE ; CONVERSION ; BELGIQUE ; ORIENTATION SEXUELLE ; CHANGEMENT ; CHANGEMENT DE COMPORTEMENT ; IDENTITE SEXUELLE ; GENRE ; TRAITEMENT ; SEXUALITE ; IMPACT ; HISTORIQUE ; LEGISLATION ; SECTE ; TEMOIGNAGE ; TRANSGENRE ; PRATIQUE ; INTERDIT

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- 30 p.
Thème : SEXUALITE
En mai 2022, a été publiée une étude sur la problématique des "thérapies de conversion" en Belgique. Suite à cette étude, l'auteur a été mis en contact avec d'autres personnes victimes de ce type de pratiques. Ce dernier a décidé de publier ces témoignages afin de nourrir le débat en vue d'une prochaine interdiction des "thérapies de conversion" en Belgique. En effet, le 28 octobre 2022, un texte visant à interdire ces pratiques a été adopté au Conseil des ministres. (note de l'éditeur)[-]

En mai 2022, a été publiée une étude sur la problématique des "thérapies de conversion" en Belgique. Suite à cette étude, l'auteur a été mis en contact avec d'autres personnes victimes de ce type de pratiques. Ce dernier a décidé de publier ces témoignages afin de nourrir le débat en vue d'une prochaine interdiction des "thérapies de conversion" en Belgique. En effet, le 28 octobre 2022, un texte visant à interdire ces pratiques a été adopté au ...

THERAPIE ; CONVERSION ; BELGIQUE ; ORIENTATION SEXUELLE ; CHANGEMENT ; CHANGEMENT DE COMPORTEMENT ; IDENTITE SEXUELLE ; GENRE ; TRAITEMENT ; SEXUALITE ; IMPACT ; HISTORIQUE ; LEGISLATION ; SECTE ; TEMOIGNAGE ; TRANSGENRE ; PRATIQUE ; INTERDIT

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- 34 p.
Thème : SOCIETE
Depuis la pandémie, nous avons été habitués à un nouveau vocabulaire : distanciation sociale, bulle, tracing mais aussi travailleur essentiel. Ce dernier terme est censé représenter les travailleurs et travailleuses sans qui la société ne pourrait surmonter la crise et survivre. On parle de ceux travaillant dans les secteurs de l'alimentaire, de la santé ou des transports. Ils ont continué à travailler dans les moments les plus durs de la crise alors que la majeure partie de la population était anxieusement confinée. Cependant, il est important de rappeler qu'un applaudissement sur cinq était destiné à des migrants. Elle voulait ainsi illustrer la part des migrants dans ce qu'on appelle les travailleurs essentiels et leur importance pour le fonctionnement de notre société. À contre-courant des discours présentant les migrants comme un poids pour la société, nous allons voir en quoi ils ont contribué à surmonter une des crises majeures de l'histoire contemporaine, et continuent à le faire. Dans quelles proportions participent-ils aux différents secteurs jugés essentiels en Belgique ? Qu'est-ce que cela dit de notre « modèle » d'intégration ? En quoi la crise actuelle met-elle en lumière les freins à l'intégration des personnes étrangères ? (note de l'éditeur)[-]

Depuis la pandémie, nous avons été habitués à un nouveau vocabulaire : distanciation sociale, bulle, tracing mais aussi travailleur essentiel. Ce dernier terme est censé représenter les travailleurs et travailleuses sans qui la société ne pourrait surmonter la crise et survivre. On parle de ceux travaillant dans les secteurs de l'alimentaire, de la santé ou des transports. Ils ont continué à travailler dans les moments les plus durs de la crise ...

SOCIETE ; TRAVAIL ; BELGIQUE ; MIGRANT ; MIGRATION ; TRAVAILLEUR ; PANDEMIE ; CRISE SANITAIRE ; COVID-19 ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; ETRANGER

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Ecole, QI et inégalités/ Un terrain boueux WINKEL Axel | CENTRE PERMANENT POUR LA CITOYENNETE ET LA PARTICIPATION février 2023

HEPN Campus
* Ouvrage - Cote : 37.04/WIN - Doc n°166989

- 20 p.
Thème : ECOLE
L'école est depuis longtemps présentée comme l'exemple type d'une institution créatrice de violences. Dans les grandes lignes, selon Bourdieu et Passeron, sous couvert d'égalité des chances, l'école ne ferait en réalité que reproduire les inégalités sociales. Pour ce faire, elle use de violence symbolique. "L'école impose une norme arbitraire, la culture des classes dominantes, qu'elle donne pour légitime et absolue". Sur cette base, elle évalue les élèves et elle transforme des inégalités sociales en différences de résultats scolaires qui sont présentées comme "naturelles" et qui "redeviennent ensuite des inégalités sociales à la sortie du système scolaire". Elle masque les mécanismes de cette reproduction (notamment au travers de l'idéologie méritocratique) et "persuade de cette manière ceux qu'elle exclut de la légitimité de leur exclusion". Elle légitime ainsi un rapport de force et l'ordre social établi. Ce constat a profondément marqué la sociologie de l'éducation. À ce niveau, le décret Missions de l'enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) stipule justement que l'école doit "assurer à tous les élèves des chances égales d'émancipation sociale". Qu'en est-il dans les faits ? (note de l'éditeur)[-]

L'école est depuis longtemps présentée comme l'exemple type d'une institution créatrice de violences. Dans les grandes lignes, selon Bourdieu et Passeron, sous couvert d'égalité des chances, l'école ne ferait en réalité que reproduire les inégalités sociales. Pour ce faire, elle use de violence symbolique. "L'école impose une norme arbitraire, la culture des classes dominantes, qu'elle donne pour légitime et absolue". Sur cette base, elle évalue ...

MILIEU SCOLAIRE ; QUOTIENT INTELLECTUEL ; INEGALITE SOCIALE ; DISCRIMINATION ; NORME ; EVALUATION ; ELEVE

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