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- n° 3 - p. 231-236
Thème : PSYCHIATRIE
En Belgique, les experts psychiatres et psychologues sont de plus en plus sollicités afin de réaliser un rapport d'expertise médicolégal dans le but d'apporter un éclairage dans le processus de décision judiciaire. Suite à la nouvelle loi d'internement des personnes du 5 mai 2014, un Arrêté Royal (2018) précise que l'expert psychiatre doit désormais rédiger ses constatations selon un modèle type établi : un canevas d'expertise psychiatrique. Celui-ci vise à structurer la démarche expertale et à améliorer la qualité des expertises au pénal. Outre le contenu et la forme que peut revêtir le rapport d'expertise, les différentes manières dont l'expert s'exprime peuvent avoir une influence significative sur la perception des magistrats et, dès lors, sur la décision judiciaire qui en découle. Cependant, en Belgique, peu de recherches empiriques font état de ce qui est dit ou devrait être dit par les experts au sein des rapports d'expertise. Dans ce cadre, cette recherche investigue l'opinion de sept experts psychiatres/psychologues exerçant au pénal au sujet de l'expertise psychiatrique, la rédaction du rapport qui en découle ainsi que son influence au sein des tribunaux. Pour ce faire, une analyse de contenu thématique a été réalisée à partir des entretiens semi-structurés des participants. Les résultats principaux mettent en évidence un non-respect du canevas d'expertise psychiatrique de manière stricte. Toutefois, une systématisation de l'utilisation des instruments structurés d'évaluation est majoritairement rapportée. De plus, les experts préfèrent rédiger de manière clinique leurs constatations. Enfin, selon eux, la manière dont les experts communiquent les résultats du risque de récidive a une influence significative sur la perception de ce risque.[-]

En Belgique, les experts psychiatres et psychologues sont de plus en plus sollicités afin de réaliser un rapport d'expertise médicolégal dans le but d'apporter un éclairage dans le processus de décision judiciaire. Suite à la nouvelle loi d'internement des personnes du 5 mai 2014, un Arrêté Royal (2018) précise que l'expert psychiatre doit désormais rédiger ses constatations selon un modèle type établi : un canevas d'expertise psychiatrique. ...

PSYCHIATRIE ; EXPERTISE ; EVALUATION ; PSYCHISME ; RAPPORTS PROFESSIONNELS ; EXPERTISE PSYCHOLOGIQUE ; DROIT PENAL ; DECISION ; MESURES JUDICIAIRES ALTERNATIVES

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- n° 2 - pp. 179-184
Thème : PSYCHOLOGIE
Les violences entre partenaires intimes (VPI) constituent un problème de santé publique. Bien plus qu'un simple conflit dans le couple, il s'agit d'un processus de prise de pouvoir d'un partenaire sur l'autre, par le recours à la violence (physique, psychologique, sexuelle et/ou financière). Les recommandations internationales pour la prise en charge des auteurs de VPI insistent sur la nécessité de mettre en place des processus d'évaluation précoces de la récidive afin de prévenir la violence et d'orienter l'action judiciaire et les programmes de prise en charge. Parmi les échelles de jugement clinique structuré développées pour l'évaluation des VPI, la Spousal Assault Risk Assessment (SARA-V3) est l'outil le plus largement employé. Le présent article présente une étude en cours de développement dont l'objectif est de traduire et de valider la SARA-V3 en version française. La première partie de l'étude consiste à administrer la SARA-V3 auprès d'auteurs suspectés ou condamnés de VPI pour permettre de mesurer les qualités psychométriques de la traduction française. Dans la seconde partie, une étude qualitative vise à évaluer la perception des professionnels de terrain quant aux échelles d'évaluation du risque (et particulièrement de la SARA-V3).[-]

Les violences entre partenaires intimes (VPI) constituent un problème de santé publique. Bien plus qu'un simple conflit dans le couple, il s'agit d'un processus de prise de pouvoir d'un partenaire sur l'autre, par le recours à la violence (physique, psychologique, sexuelle et/ou financière). Les recommandations internationales pour la prise en charge des auteurs de VPI insistent sur la nécessité de mettre en place des processus d'évaluation ...

VIOL ; VIOLENCE SEXUELLE ; COUPLE ; FACTEUR DE RISQUE ; EVALUATION ; JUSTICE ; SANTE PUBLIQUE

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