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Documents QUILES Clélia 3 résultats

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- n° 7 - p. 677-682
Thème : SANTE MENTALE
Les objectifs de cette revue étaient d'identifier les facteurs de vulnérabilité aux maladies bucco-dentaires des personnes atteintes de maladie mentale, d'en décrire les conséquences et d'explorer les solutions de prévention et de prise en charge bucco-dentaire dans cette population. Les facteurs de vulnérabilité des personnes atteintes de maladie mentale sont leur maladie mentale elle-même, qui les entrave dans leur hygiène bucco-dentaire et leur recours aux soins. La présence de vomissements ou de reflux gastro-œsophagien, la consommation de substances addictives, notamment le tabac, les effets indésirables des traitements psychotropes, notamment la sécheresse buccale, altèrent les structures buccales. On peut citer aussi les difficultés d'accès aux soins bucco-dentaires, en lien avec la pathologie mentale, le manque d'information et de compréhension des droits sociaux ou une attitude relationnelle non adaptée de la part de certains chirurgiens-dentistes. Ces facteurs ont pour conséquence une santé bucco-dentaire altérée : difficultés à mâcher, avaler, parler, porter des prothèses amovibles, mauvaise haleine, lèvres gercées, glossodynie, risque accru de lésions carieuses, d'érosion des dents, de lésions parodontales, et d'édentement. Les affections buccales sont responsables de douleurs et d'infections, aiguës et chroniques, et ont un impact psychosocial important. Si le traitement psychotrope ne peut pas être modifié, un certain nombre de mesures existent pour prendre en charge la sécheresse buccale. Le suivi psychiatrique des patients est l'opportunité de les faire accéder à un accompagnement au sevrage tabagique et à un suivi bucco-dentaire. Si les structures de soins bucco-dentaires dédiées avec du personnel spécialisé pouvant proposer des soins sous anesthésie générale sont à renforcer, la formation initiale et continue des chirurgiens-dentistes à la prise en charge des patients souffrant de maladie mentale ainsi que l'éducation thérapeutique des patients intégrant la santé bucco-dentaire sont à développer.[-]

Les objectifs de cette revue étaient d'identifier les facteurs de vulnérabilité aux maladies bucco-dentaires des personnes atteintes de maladie mentale, d'en décrire les conséquences et d'explorer les solutions de prévention et de prise en charge bucco-dentaire dans cette population. Les facteurs de vulnérabilité des personnes atteintes de maladie mentale sont leur maladie mentale elle-même, qui les entrave dans leur hygiène bucco-dentaire et ...

SANTE PUBLIQUE ; HYGIENE BUCCO-DENTAIRE ; SOINS DENTAIRES ; MALADIE MENTALE ; EDUCATION THERAPEUTIQUE ; PATIENT ; NEUROLEPTIQUE ; CAUSES ; MESURE ; PRISE EN CHARGE ; VULNERABILITE

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- n° 7 - p. 692-701
Thème : SANTE PUBLIQUE
Le sommeil ouvre la voie à de nouvelles études et stratégies de santé en psychiatrie. Le sommeil est en effet une fonction physiologique et comportementale essentielle à la santé mentale. Premièrement, il s'agit de dépister et traiter un trouble du sommeil comorbide à un trouble mental. Un trouble du sommeil est un état pathologique lié à un dysfonctionnement du sommeil qui interfère avec la santé des personnes. Des échelles peuvent permettre de favoriser le dépistage des troubles du sommeil chez les personnes avec un trouble mental. En retour, la psychiatrie, par son attention à la symptomatologie mentale, peut apporter des éléments importants pour mieux dépister, délimiter et définir les troubles du sommeil. Deuxièmement, il s'agit d'évaluer les altérations et la santé du sommeil liées au trouble mental. En effet, l'absence d'un trouble du sommeil comorbide n'est pas nécessairement associé à une bonne santé du sommeil chez les personnes avec un trouble mental. Le trouble mental peut en effet impacter le sommeil par une physiopathologie commune, mais aussi par des comportements de sommeil non optimaux pour la santé. Des échelles peuvent permettre l'évaluation de la santé du sommeil chez les personnes avec un trouble mental. La mise en place de mesures de prévention ciblant le sommeil en tant que comportement modifiable en psychiatrie est également nécessaire. En retour, la psychiatrie, par son attention aux comportements, peut apporter des éléments importants pour développer des modèles intégratifs afin de prédire la relation entre santé du sommeil et santé mentale, proposer une approche itérative entre les modèles de changement de comportement et les modèles physiopathologiques de troubles mentaux et de troubles du sommeil, enfin de concevoir des stratégies de prévention qui améliorent la santé du sommeil avec un impact réel sur la santé mentale.[-]

Le sommeil ouvre la voie à de nouvelles études et stratégies de santé en psychiatrie. Le sommeil est en effet une fonction physiologique et comportementale essentielle à la santé mentale. Premièrement, il s'agit de dépister et traiter un trouble du sommeil comorbide à un trouble mental. Un trouble du sommeil est un état pathologique lié à un dysfonctionnement du sommeil qui interfère avec la santé des personnes. Des échelles peuvent permettre de ...

SANTE PUBLIQUE ; SOMMEIL ; TROUBLE DU SOMMEIL ; PSYCHIATRIE ; PHYSIOLOGIE ; EVALUATION ; REPRESENTATION ; COMPORTEMENT DE SANTE ; PREVENTION

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- n° 290 - p. 25-87
Thème : SANTE MENTALE
L'insomnie est aujourd'hui considérée comme un trouble à part entière, avec une évolution propre, en lien ou non avec une pathologie causale. En santé mentale, elle concerne plus de la moitié des patients et devrait donc faire l'objet d'une évaluation systématique. Le traitement de la plainte d'insomnie permet d'atténuer les rechutes, d'éviter la chronicisation de la pathologie, de diminuer les symptômes de dépression et d'anxiété ou encore les expériences psychotiques.
Au sommaire :
-La plainte d'insomnie en psychiatrie
-Promouvoir la santé du sommeil
-Les médicaments de l'insomnie
-TCC de l'insomnie : se resynchroniser
-Suicide et troubles du sommeil : des liens avérés
-Stress post-trauma et troubles du sommeil chez l'enfant et l'adolescent
-La marchande de sable
-Adèle « contrôle » les nuits de ses parents…
-Les fossoyeurs de notre sommeil[-]

L'insomnie est aujourd'hui considérée comme un trouble à part entière, avec une évolution propre, en lien ou non avec une pathologie causale. En santé mentale, elle concerne plus de la moitié des patients et devrait donc faire l'objet d'une évaluation systématique. Le traitement de la plainte d'insomnie permet d'atténuer les rechutes, d'éviter la chronicisation de la pathologie, de diminuer les symptômes de dépression et d'anxiété ou encore les ...

SANTE MENTALE ; TROUBLE DU SOMMEIL ; SOMMEIL ; INSOMNIE ; MEDICAMENT ; THÉRAPIE COGNITIVO-COMPORTEMENTALE ; SUICIDE ; STRESS POST-TRAUMATIQUE ; TRAVAIL DE NUIT ; INFIRMIER(E) ; ÉCRAN ; BURN-OUT ; QUALITE DE VIE ; VIE QUOTIDIENNE ; TRAVAIL ; ALLIANCE THERAPEUTIQUE

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