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Description du syndrome de désadaptation psychomotrice MANCKOUNDIA Patrick ; MOUREY France | SOINS GERONTOLOGIE janvier-février 2021

HEPN Campus
* Article - - Doc n°153205

- n° 147 - p. 34-36
Thème : SOINS INFIRMIERS
La première description du syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM) par l'équipe de gériatrie de Dijon (Côte-d'Or) date d'il y a trente-quatre ans. Sa dénomination initiale était “syndrome de régression psychomotrice”. En raison des progrès réalisés dans la compréhension physiopathologique et sa prise en charge, le syndrome de régression psychomotrice fut renommé SDPM durant les années 1990.Puis, à partir des années 2000, le nom syndrome de dysfonctionnement sous-cortico-frontal (SDSCF) est devenu synonyme de SDPM. Le médecin, le kinésithérapeute, le psychologue et l'équipe soignante, tous formés à la gériatrie, sont les principaux acteurs de la prise en soins du SDPM ou SDSCF, qui doit être pluridisciplinaire.[-]

La première description du syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM) par l'équipe de gériatrie de Dijon (Côte-d'Or) date d'il y a trente-quatre ans. Sa dénomination initiale était “syndrome de régression psychomotrice”. En raison des progrès réalisés dans la compréhension physiopathologique et sa prise en charge, le syndrome de régression psychomotrice fut renommé SDPM durant les années 1990.Puis, à partir des années 2000, le nom syndrome ...

PERSONNE AGEE ; PSYCHOMOTRICITE ; PHYSIOPATHOLOGIE ; REGRESSION ; ADAPTATION ; PRISE EN CHARGE ; PLURIDISCIPLINARITE ; CHUTE ; EQUILIBRE ; MARCHE

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- n° 157 - p. 37-40
Thème : SOINS INFIRMIERS
Durant des décennies, la littérature a été sceptique sur la faisabilité d'une rééducation motrice et sur son impact tout comme sur celui de l'activité physique (AP) chez les sujets atteints de trouble neurocognitif majeur (TNCM), dont la maladie d'Alzheimer. Désormais, des auteurs rapportent plusieurs bénéfices de l'AP, physiques et cognitifs, en ce qu'elle favorise la perfusion cérébrale, la neurogenèse et la plasticité synaptique, et diminue le stress oxydatif et l'inflammation. L'AP devrait être recommandée en cas de TNCM.[-]

Durant des décennies, la littérature a été sceptique sur la faisabilité d'une rééducation motrice et sur son impact tout comme sur celui de l'activité physique (AP) chez les sujets atteints de trouble neurocognitif majeur (TNCM), dont la maladie d'Alzheimer. Désormais, des auteurs rapportent plusieurs bénéfices de l'AP, physiques et cognitifs, en ce qu'elle favorise la perfusion cérébrale, la neurogenèse et la plasticité synaptique, et diminue ...

PERSONNE AGEE ; GERIATRIE ; TROUBLE COGNITIF ; REEDUCATION ; ACTIVITE PHYSIQUE ; EXERCICE PHYSIQUE ; MALADIE D'ALZHEIMER ; IMPACT ; BIENFAIT

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- n° 158 - p. 35-38
Thème : SOINS INFIRMIERS
Une meilleure connaissance des troubles neurocognitifs majeurs et de l'apprentissage moteur permet de proposer une rééducation motrice (RM) adaptée aux sujets souffrant d'une maladie d'Alzheimer. Des données neuroscientifiques récentes sur les fonctions et la cognition motrices permettent d'envisager la construction de programmes d'activité physique et de RM, dont la relation dose-réponse, le contenu et les consignes sont des facteurs déterminants. D'autres études sont nécessaires pour conforter l'efficacité des méthodes utilisées.[-]

Une meilleure connaissance des troubles neurocognitifs majeurs et de l'apprentissage moteur permet de proposer une rééducation motrice (RM) adaptée aux sujets souffrant d'une maladie d'Alzheimer. Des données neuroscientifiques récentes sur les fonctions et la cognition motrices permettent d'envisager la construction de programmes d'activité physique et de RM, dont la relation dose-réponse, le contenu et les consignes sont des facteurs d...

PERSONNE AGEE ; TROUBLE COGNITIF ; ACTIVITE PHYSIQUE ; EXERCICE PHYSIQUE ; SPORT ; REEDUCATION ; PSYCHOMOTRICITE ; MALADIE D'ALZHEIMER

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- n° 159 - p. 42-45
Thème : SOINS INFIRMIERS
Après un point sur les admissions inappropriées des résidents d'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) aux urgences, nous proposons des axes pour les réduire. Ils comprennent le fait d'attribuer au médecin coordonnateur un rôle de clinicien, d'organiser la continuité et la permanence des soins dans tous les Ehpad, de signer des conventions entre Ehpad et hôpital pour des hospitalisations directes et la collaboration avec les équipes mobiles et hotlines gériatriques, de généraliser le niveau d'intervention médicale en Ehpad, et d'approfondir la formation des soignants d'Ehpad à la gériatrie.[-]

Après un point sur les admissions inappropriées des résidents d'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) aux urgences, nous proposons des axes pour les réduire. Ils comprennent le fait d'attribuer au médecin coordonnateur un rôle de clinicien, d'organiser la continuité et la permanence des soins dans tous les Ehpad, de signer des conventions entre Ehpad et hôpital pour des hospitalisations directes et la collaboration ...

PERSONNE AGEE ; GERIATRIE ; GERONTOLOGIE ; HOSPITALISATION ; URGENCE ; MAISON DE REPOS (ET DE SOINS) ; RESIDENT ; COORDINATION ; MEDECIN ; ROLE ; COLLABORATION ; HOPITAL ; FORMATION ; SOIGNANT ; INTERVENTION DE SOINS INFIRMIERS

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