Documents OLIVIER Christiane 5 résultats

Force est de constater que, de nos jours, nos enfants sont devenus, dès leur plus jeune âge, des enfants-rois. A force de vouloir jouer la tolérance et éviter les frustrations à leurs chères têtes blondes, beaucoup de parents finissent tyrannisés par eux, dépassés. Dans cet ouvrage, Christiane OLIVIER démonte les mécanismes qui mènent à cette tyrannie, pour tous les âges des enfants, et souligne l'indispensable fermeté dont les parents doivent faire preuve, particulièrement lors de la période située entre 2 et 4 ans.[-]

La liberté sexuelle est-elle sans limites? Toute promesse de fidélité est-elle dépassée par l'impératif de jouissance? Que devient la liberté sexuelle dans un couple qui peut désormais durer cinquante ans? Comme le dit Alain HOUZIAUX, la liberté sexuelle n'a jamais fait bon ménage avec les traditions religieuses : elles ont souvent restreint l'union des corps à la procréation et fait du plaisir un péché. Mais dès lors que ces institutions religieuses ne prescrivent plus les conduites, quel est le sens des frontières qui délimitent le permis et le défendu? C'est l'interrogation d'Odon VALLET. Christiane OLIVIER, quant à elle, insiste sur les effets destructeurs d'une quête de jouissance à tout prix. En fait, comme le montre Isabelle YHUEL, contre la marchandisation du sexe, il faut réapprendre à aimer en paroles et en actes. [-]

Oreste pose la question moderne : l'enfant peut-il ne pas en vouloir inconsciemment à une mère qui renie en lui la part de celui qui l'a engendré ? Combien d'Oreste, combien d'Electre pleurent après un père qu'ils ont perdu au bénéfice de la mère ? Christiane OLIVIER tire la sonnette d'alarme : les "nouveaux pères" sont un mythe. La réalité n'est pas ce que nous montrent les publicitaires pour couches-culottes : si quelques hommes se sentent concernés par la paternité, la plupart des femmes gardent sur l'enfant un pouvoir incontesté et qui se vérifie chaque jour en cas de séparation. Rien, dans notre histoire ni dans notre culture, ne préparait le père à assurer son rôle "paternant". Aujourd'hui, malgré des rapports familiaux démocratisés, il n'a que rarement le temps de cultiver l'intimité avec son enfant, laissant à la femme le soin d'organiser sa garde, son éducation et la reconnaissance d'un père qui n' est pas là. Pourtant, tout enfant mérite un père, et l'homme n'a pas à être l'éternel absent de la cellule familiale.[-]