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Familles face à la mort, au handicap et à la maladie grave (Dossier) SCELLES Régine ; DAYAN Clémence | DIALOGUE 09/2020

Centre de Ressources Documentaires
article - - Doc n°153409

- n° 229 - p.9-142
Thème : FAMILLE
L'objectif de la revue est de donner au lecteur des éléments pour qu'il comprenne mieux ce qui se passe pour un groupe familial, un couple quand l'un de ses membres, enfant, adolescent ou adulte, est atteint d'une maladie, d'une déficience grave pouvant entraîner la mort dans certains cas ou des déficiences plus ou moins temporaires. Les scènes dans lesquelles ces situations existent, se déploient, sont celles de l'hôpital, des établissements spécialisés mais aussi celle du domicile. Dans la famille, chacun réagit, comprend et vit de manière différente la situation selon son âge, sa position dans la famille, la manière dont le milieu soutient ou, au contraire, aggrave encore les difficultés. La personne malade ou en situation de handicap n'est évidemment pas indifférente à ce qu'elle fait vivre à ses proches, qu'il s'agisse d'apprendre à faire avec les déficiences ou d'appréhender la mort, la vivre et continuer à vivre individuellement et groupalement après le décès. L'irruption de la maladie, du handicap, ainsi que le pronostic s'inscrivent dès lors dans l'histoire, la culture du couple, de la fratrie, de la famille restreinte et de la famille élargie. Les effets de cette situation sur chacun dépendent évidemment de l'histoire, de la personnalité, des caractéristiques de l'individu et de ses groupes d'appartenance. Toutefois, la manière dont le milieu environnant, médical ou pas, entoure, soutient, rejette, accueille le groupe familial et chacun de ses membres a un impact majeur sur ce qu'ils vivent. Ainsi, la boulangère qui demande des nouvelles peut avoir un effet thérapeutique, celle qui détourne le regard car elle est gênée et ne sait que dire peut aggraver encore la souffrance de la personne atteinte et de ses proches.[-]

L'objectif de la revue est de donner au lecteur des éléments pour qu'il comprenne mieux ce qui se passe pour un groupe familial, un couple quand l'un de ses membres, enfant, adolescent ou adulte, est atteint d'une maladie, d'une déficience grave pouvant entraîner la mort dans certains cas ou des déficiences plus ou moins temporaires. Les scènes dans lesquelles ces situations existent, se déploient, sont celles de l'hôpital, des établissements ...

DEUIL ; MORTALITE INFANTILE ; MORT ; ENFANCE HANDICAPEE ; MALADIE GRAVE ; PSYCHOLOGIE ; RELATIONS PARENT-ENFANT ; RELATIONS FAMILIALES ; RELATIONS INTERPERSONNELLES ; PARENTALITE

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Handicap et relations aux pairs : La solitude n'est pas une fatalité DAYAN Clémence ; SCELLES Régine ; SALMONA Sarah ; ET AL. | ÉDITIONS ÉRÈS janvier 2022

HEPN Campus
* Ouvrage - Cote : 3-056/DAY - Doc n°158637

- 232 p.
ISBN 978-2-7492-7236-8
Thème : HANDICAP
Les enfants, adolescents et adultes en situation de handicap ou ayant une maladie grave souffrent souvent de solitude. Ils ont peu d'amis, de rares relations amoureuses souvent peu satisfaisantes, tandis que les relations fraternelles peuvent être ou devenir problématiques dans le temps. Or, même entravés dans nos mouvements, notre cognition ou nos compétences d'expression, nous avons besoin de créer des liens réciproques, symétriques et électifs avec des « pairs » qui nous permettent de prendre de la distance par rapport à la famille et de vivre de manière heureuse des situations d'inclusion et une vie citoyenne. Des sociologues, philosophes, anthropologues et psychologues évoquent à partir d'une réflexion théorico-clinique, d'expériences personnelles, de recherches et de pratiques cliniques, ce qui favorise ou peut faire obstacle, pour le sujet en situation de handicap, à la création et à l'évolution positive de relations symétriques, avec des personnes choisies, en situation de handicap ou non. Ils montrent que la solitude n'est pas une fatalité pour peu que, dès l'enfance, les conditions soient réunies pour favoriser ces liens, et qu'une réflexion sociétale permette de penser autrement la place et les fonctions de ces personnes dans la société. (note de l'éditeur)[-]

Les enfants, adolescents et adultes en situation de handicap ou ayant une maladie grave souffrent souvent de solitude. Ils ont peu d'amis, de rares relations amoureuses souvent peu satisfaisantes, tandis que les relations fraternelles peuvent être ou devenir problématiques dans le temps. Or, même entravés dans nos mouvements, notre cognition ou nos compétences d'expression, nous avons besoin de créer des liens réciproques, symétriques et ...

HANDICAP ; TRAVAIL SOCIAL ; RELATION AUX AUTRES ; SOLITUDE ; VIE QUOTIDIENNE ; VIE AFFECTIVE ; IMAGE DE SOI ; PHILOSOPHIE ; FOETUS ; RYTHME D'APPRENTISSAGE ; APPARTENANCE ; VIE SOCIALE ; AUTISME ; AMITIE ; RITE ; RITE DE PASSAGE ; FOETUS ; DIAGNOSTIC ANTENATAL ; JEUNE ; ADULTE ; PETITE ENFANCE

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