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Les professionnels de santé comme les médias nous alertent sur l'augmentation permanente et inquiétante de la dépression au travail, le trop fameux burn out. Mais y a-t-il des solutions ? Et si oui, lesquelles ?
La cause principale de ce problème tient avant tout à des managers au comportement et aux compétences inadaptés, eux-mêmes malmenés dans les nouveaux environnements économiques et qui n'apportent plus à leurs collaborateurs ce dont ils ont besoin, notamment le sens de leur action et une vraie délégation de pouvoir.
Face à ce constat préoccupant, l'auteur a fait de ce livre, non pas un énième traité de management, mais un guide d'actions destiné aux chefs et aux futurs chefs afin qu'ils prennent conscience de la nature, de l'importance et de la noblesse de leur rôle auprès des hommes dont ils sont responsables.
Dans un style vivant et s'appuyant toujours sur des exemples concrets issus notamment de sa propre expérience de manager et d'enseignant aux élèves des écoles d'officiers de Saint-Cyr Coëtquidan, Thierry Delcourt invite le lecteur à redécouvrir qu'il peut être heureux au travail et y rendre les autres heureux grâce à un renouvellement de la confiance mutuelle. (note de l'éditeur)[-]

Nul n'est à l'abri d'événements traumatisants, dont certains génèrent un état dépressif profond et durable. Cet ouvrage présente une vingtaine de situations stéréotypées vécues "comme si le ciel tombait sur la tête", lorsque désarroi, solitude, culpabilité ou honte submergent les personnes.
Engagé de longue date dans l'art-thérapie, la pratique décrite par ce psychiatre avec des patients paraissant être au fond du trou, commence par l'écoute bienveillante pour tenter de comprendre l'origine de leurs souffrances. Plus tard, après un début de traitement par les médicaments si nécessaire, une fois qu'il les a amenés à lâcher prise, à prendre du recul, il les aide à réveiller en eux un désir de création trop souvent refoulé qui leur permet d'aller à la rencontre d'eux-mêmes[-]

La violence thérapeutique faite aux femmes naît en même temps que la médecine moderne. Auparavant jugées comme sorcières, elles ont été qualifiées d'hystériques, de dépressives et, maintenant, de bipolaires. Pratiquée longtemps essentiellement par des hommes, la science médicale a enfermé les femmes dans ces catégories. Qu'il s'agisse de psychiatrie, de gynécologie, de médecine générale ou de toute autre forme de prise en charge, la relation thérapeutique est encore trop souvent sourde aux symptômes et à la souffrance des femmes. S'appuyant sur des situations cliniques, tirées des archives médicales et de son expérience de psychiatre et psychanalyste, Thierry Delcourt retrace l'histoire de ces violences afin d'éclairer sur les conditions d'un soin respectueux. Il ne s'agit pas d'un procès de la médecine actuelle dont les progrès sont fascinants, ni des soignants qui tentent de soulager les patientes. Il s'agit de permettre que les femmes se libèrent des mauvais traitements qu'elles subissent encore quand la maladie les place en posture de faiblesse, quand des thérapeutes n'écoutent pas leur parole. (note de l'éditeur)[-]

La capacité créative intervient dès les premiers instants du développement de l'être humain. Elle s'enracine dans les perceptions et les représentations précoces qui construisent la matrice sensible de l'être. C'est l'élément fondateur de la capacité à exister. Les entraves au développement, les traumatismes et situations psychosociales délétères ont un effet paralysant sur la capacité créative et laissent la personne aux prises avec son angoisse et sa souffrance. Créer peut aider à endiguer le mal-être, à en permettre une expression viable, libératrice, sans qu'il soit question d'être artiste. Le défi d'un traitement psychique créatif, qui incite le patient à se soigner lui-même, oblige le soignant à mettre au travail ses acquis, à exercer son inventivité, sans pour autant lâcher ses références de la psychopathologie et du soin neuropsychique. A partir de son expérience clinique dont il livre de nombreuses illustrations, l'auteur explore les divers champs où les enjeux de cette créativité sont opérants, pourquoi, comment, et à quelles conditions. (note de l'éditeur)[-]

Entre refus, phobie et décrochage scolaire

10% d'augmentation de déscolarisation en 2021/2022. Cela fait près de 8% d'enfants et adolescents en âge scolaire. Que se passe-t-il ? Qu'arrive-t-il à tous ces enfants ?

Augmentation de la souffrance des préadolescents et adolescents constatée par les soignants

Les pédopsychiatres et psychologues pour enfants submergés de demandes.

Comment discerner et affronter une phobie scolaire, un refus, un décrochage quand on est parent, enseignant, soignant ?

Ce qui était déjà là : le manque d'attractivité de l'école, l'ennui et le désintérêt de certains élèves pour les apprentissages scolaires, le harcèlement, la dévalorisation, l'angoisse…

Ce qui est nouveau : le refus scolaire décrété par l'enfant, face auquel les parents sont en désarroi, la sédentarité cocooning autour des écrans, l'emprise du principe de plaisir, l'anxiété post-confinement, la perte de sens et de projet…

Dans Je ne veux plus aller à l'école, j'analyse ces divers motifs de déscolarisation à partir de situations cliniques concrètes et je propose aux parents, aux enseignants et aux soignants, des réponses qui varient énormément selon l'origine du blocage scolaire.

Après l'excellent écho que vous avez accordé à La fabrique des enfants anormaux, ce livre est un autre outil pour comprendre ce qui se passe et proposer une approche résolutive adaptée.

Comment écouter et aider l'enfant, le préadolescent, l'adolescent actuel en pleine mue ? Que propose l'Éducation nationale ? Qu'en est-il de la responsabilité, de l'autorité parentale ? Le livre se termine par des conseils pratiques, adresses, textes législatifs, écoles différentes…
(note de l'éditeur)[-]