Documents MILONE Bruno 5 résultats

Au sein d'une AMO, l'auteur s'est tout particulièrement inscrit dans un projet d'action communautaire visant un public de jeunes en autonomie qui s'appelle "Evening". Des jeunes âgées de 18 à 22 ans et plus qui sont dans une période de transition, la transition à l'âge adulte. Dans ce travail, l'auteur s'est attaché à mettre en avant trois jeunes ayant un vécu institutionnel et dont cette caractéristique fait l'objet de sa recherche. Chacun d'entre eux s'est présenté à un moment ou un autre pour partager des difficultés qu'ils étaient en train de vivre. Quel sens donner à leurs trois situations ? C'est à travers une analyse que l'auteur tente de trouver des réponses à partir desquelles s'élabore un dispositif éducatif le plus adéquat possible et ce, en lien avec le concept phare de son travail : l'intégration sociale. En effet, il constate à travers ce concept que les individus ont besoin de protection, mais aussi de reconnaissance, qu'ils ont besoin d'être attachés. Un attachement qui se fait selon quatre lien sociaux qui permettent une certaine stabilité de vie. Promouvoir l'intégration sociale est, dans ce contexte, son objectif en tant qu'éducateur spécialisé.[-]

Ce travail de fin d'études porte sur le vécu de l'éducateur comme support au bénéficiaire. Ayant réalisé son stage de troisième année d'éducatrice spécialisée au sein d'une communauté thérapeutique avec des personnes souffrant d'assuétudes, l'auteure s'est interrogée sur la place de l'éducateur ayant un vécu dans les addictions et sur les répercussions que pouvaient avoir ses différentes interventions éducatives auprès des bénéficiaires accompagnés dans ce type de structure. Au fil de son questionnement, elle en est parvenue à définir son objet de recherche : "En quoi le vécu de l'éducateur peut-il être utilisé comme un outil supplémentaire pour le bénéficiaire ?". Afin de répondre à cette question, elle s'est référée à différents concepts et notions tels que la pair-aidance et ses missions. Elle aborde également les enjeux des interventions et du partage d'informations personnelles auprès du public afin de comprendre ce qui se joue dans les relations avec le public accompagné. Elle fait référence à la relation d'aide, au fonctionnement des communautés thérapeutiques, aux limites de la sphère privée et de la sphère professionnelle, à l'influence du concept des Alcooliques Anonymes. Tout au long de ce travail, elle développe l'importance du partage d'histoire avec prudence comme outil en tentant d'articuler la théorie et la pratique à travers des situations professionnelles qu'elle a rencontrées. Ce travail lui a permis de se rendre compte des moyens et outils sur lesquels l'éducateur peut s'appuyer tout au long de son parcours professionnel afin de toujours faire évoluer l'accompagnement des bénéficiaires et ne pas rester figé sur ce qui est.[-]

L'objectif de l'auteure, lors de la création de ce TFE, était de comprendre plus amplement le phénomène d'emprise opérant dans les violences conjugales. Pour ce faire, elle a d'abord tenu à savoir ce que vivait au quotidien une femme dans cette situation afin d'essayer de comprendre ce qui pouvait l'amener à rester avec son compagnon et même à retourner chez lui. Après avoir compris cela, elle a voulu savoir comment, en tant qu'éducatrice spécialisée, elle pouvait accompagner ces femmes pour leur permettre de s'épanouir en ne vivant plus dans l'ombre et sous l'emprise de leur conjoint. Elle voulait savoir le rôle que les éducateurs avaient à jouer et essayer de se mettre à la place de ces femmes pour respecter leur décision et ne pas projeter sur elles leur vision des choses. Les recherches que l'auteure a faites pour ce travail lui ont été extrêmement bénéfiques dans la compréhension de ce phénomène. Elles lui ont permis de trouver des idées de pistes pour accompagner ces femmes et espérer ainsi une fin différente pour elles...[-]

L'objet de ce travail comprend un contexte institutionnel et la présentation de trois situations qui ont pu permettre l'analyse et la recherche de cette étude. L'auteur parle de la relation éducative par rapport au rire, de la possibilité que le rire devienne un outil éducatif au service du bien-être des résidents, ainsi que du rire et de la facilitation dans la communication et la relation éducative et du rire dans le renforcement de la cohésion d'un groupe.Il va tenter d'en présenter les nuances et les bons côtés du rire tout en permettant de valoriser les personnes dans l'accompagnement psycho-éducatif.[-]

L'auteur est stagiaire étudiant éducateur spécialisé dans un Centre de Jour en Rééducation Fonctionnelle, Service d'Aides et de Soins spécialisés en Assuétudes accueillant des adultes souffrant d'addictions. Au cours de ce stage, des situations vécues sur le terrain ont amené l'auteur à une réflexion qui a mené à une question : "En tant qu'éducateur spécialisé, en quoi la relation éducative peut-elle être un support dans le processus de rétablissement des personnes toxicomanes ?" Sa réponse à cette question tournera autour de 3 axes :
- un axe basé sur les personnes abandonniques : qu'est-ce qu'une personne abandonnique et quel lien est-il possible de faire avec les personnes usagères de drogue ?
- un axe tournant autour de la motivation, du sens et de la résilience : comment (re)donner envie de se battre à une personne qui se bat déjà contre son addiction depuis plusieurs années maintenant ?
- un axe concernant la relation aux autres et à l'environnement qui nous entoure répondant à différentes questions comme : que sont les habiletés sociales ? Qu'est-ce que l'inclusion ? Mais surtout, en quoi toutes ces notions peuvent-elles bien être utiles dans le processus de rétablissement des personnes usagères de drogues ?
Enfin l'auteur vous présente "le projet" qu'il a imaginé : un projet d'accompagnement éducatif immersif, plongeant la personne accompagnée au centre de son projet. Ce projet se veut inclusif et favorisant la réinsertion socioprofessionnelle.[-]