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- n° 10 - p. 981-986
Thème : ENFANCE
L'objectif de cette étude est d'évaluer l'impact en termes de santé et de bien-être d'une des premières Interventions Basées sur la Pleine Conscience (IBPC) en France et en Belgique réalisée sur le temps scolaire auprès d'enfants du CE2 au CM2. L'intervention "L'Attention ça marche, méthode AMT" d'Eline Snel (2012) a ainsi été proposée pendant huit semaines auprès d'un groupe intervention, par comparaison à un groupe contrôle qui n'en a pas bénéficié. Des mesures auto-rapportées par les enfants (STAIC-Spielberger, 1973 ; SHS, Lyubomirsky & Lepper ; KINDL-R- Ravens-Sieberer & Bullinger, 1998 et CAMM-Greco, Baer & Smith, 2011) ont permis de mesurer les effets de cette intervention sur les troubles internalisés, le bien-être et le développement des aptitudes de pleine conscience des enfants. S'il ne semble pas y avoir de différences entre le groupe contrôle et le groupe intervention, les résultats montrent que pour les enfants présentant des scores élevés sur chacune des dimensions, l'intervention a fourni des stratégies de régulation émotionnelle, a permis le développement d'aptitudes à la pleine conscience et une amélioration du bien-être. Même s'ils sont contrastés, ces résultats sont prometteurs pour l'implémentation plus générale en contexte scolaire français et belge.[-]

L'objectif de cette étude est d'évaluer l'impact en termes de santé et de bien-être d'une des premières Interventions Basées sur la Pleine Conscience (IBPC) en France et en Belgique réalisée sur le temps scolaire auprès d'enfants du CE2 au CM2. L'intervention "L'Attention ça marche, méthode AMT" d'Eline Snel (2012) a ainsi été proposée pendant huit semaines auprès d'un groupe intervention, par comparaison à un groupe contrôle qui n'en a pas ...

ENFANCE - PSYCHOLOGIE ; ANXIETE ; BIEN-ETRE ; PLEINE CONSCIENCE

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- n° 3 - p. 303-309
Thème : PSYCHOLOGIE
Les comportements agressifs des enfants ont un important impact sur le devenir de l'enfant et de sa famille. Parmi les déterminants des comportements agressifs chez l'enfant entre 3 et 6 ans, la littérature scientifique souligne une place importante du trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité, ainsi que les comportements parentaux positifs et négatifs. Par ailleurs, notons que les auteurs retrouvent également une influence bidirectionnelle entre le TDAH et les comportements parentaux positifs et négatifs. Toutefois, la plupart des études se centrent sur des populations cliniques âgées de plus de 6 ans, avec une approche catégorielle du TDAH sans distinction des difficultés d'attention et des comportements d'hyperactivité. L'objectif de cette recherche est d'étudier l'influence conjointe des comportements parentaux positifs et négatifs et de la symptomatologie du TDAH (difficultés d'attention et comportements d'hyperactivité), sur la présence des comportements agressifs chez les enfants de 3 à 6 ans. La présence de comportements agressifs chez les enfants semble en partie expliquée par les comportements parentaux, mais elle est d'autant plus expliquée lorsque l'enfant a des symptômes d'hyperactivité et d'inattention. Enfin, ces résultats montrent qu'il est important pour un clinicien de tenir compte de la présence d'une symptomatologie du TDAH, même en deçà d'un diagnostic d'un TDAH, lorsqu'un jeune enfant présente des comportements agressifs et aussi et surtout de tenir compte des pratiques éducatives dans le cadre d'un travail thérapeutique engagé auprès de l'enfant et de sa famille.[-]

Les comportements agressifs des enfants ont un important impact sur le devenir de l'enfant et de sa famille. Parmi les déterminants des comportements agressifs chez l'enfant entre 3 et 6 ans, la littérature scientifique souligne une place importante du trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité, ainsi que les comportements parentaux positifs et négatifs. Par ailleurs, notons que les auteurs retrouvent également une influence bidir...

PETITE ENFANCE - PSYCHOLOGIE ; ATTENTION ; TROUBLE ; HYPERACTIVITE ; RELATIONS PARENT-ENFANT ; COMPORTEMENT ; INFLUENCE ; EDUCATION FAMILIALE ; AGRESSIVITÉ

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- n° 6 - p. 579-587
Thème : PSYCHOLOGIE
La dysmnésie en mémoire à long terme sémantique est un trouble peu évoqué dans la littérature et peu identifié en clinique de l'enfant et de l'adolescent, bien que quelques travaux sur ce trouble mettent en avant une prévalence d'environ 6 %. Nous présentons le cas de Léthé qui illustre tant le tableau clinique que deux hypothèses avancées dans la littérature pour expliquer le manque de reconnaissance de ce trouble. Ce cas clinique a été centré sur la réalisation d'un bilan psychologique suite aux premiers signes d'alerte afin de proposer des guidelines pour identifier ce trouble cognitif, avec en première intention la WISC-V et des batteries complémentaires sur les fonctions cognitives transversales. Cette étude de cas permet de compléter la littérature sur les éléments cliniques à identifier et sur l'étiologie de la dysmnésie.[-]

La dysmnésie en mémoire à long terme sémantique est un trouble peu évoqué dans la littérature et peu identifié en clinique de l'enfant et de l'adolescent, bien que quelques travaux sur ce trouble mettent en avant une prévalence d'environ 6 %. Nous présentons le cas de Léthé qui illustre tant le tableau clinique que deux hypothèses avancées dans la littérature pour expliquer le manque de reconnaissance de ce trouble. Ce cas clinique a été centré ...

ADOLESCENCE - PSYCHOLOGIE ; BILAN ; DIFFICULTE ; TRAVAIL SCOLAIRE ; TROUBLE COGNITIF ; MEMOIRE ; ANALYSE DE SITUATION ; ENFANCE - PSYCHOLOGIE ; ETUDE

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- n° 6 - pp. 547-556
Thème : PSYCHOLOGIE
La prévalence du haut potentiel intellectuel (HPI) chez les enfants français scolarisés entre 6 et 16 ans est estimée à 2,3 %, représentant ainsi un défi majeur en pédopsychiatrie (Delaubier, 2002). Des décalages peuvent se manifester dans les différents domaines de l'intelligence, associés à des symptômes variés : hypersensibilité, anxiété, dépression, trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité, trouble oppositionnel, et troubles des conduites. Le bilan psychologique peut constituer l'opportunité de détecter ainsi que d'évaluer le fonctionnement HPI afin de proposer un suivi adapté pour ces enfants et adolescents, dans le but de pouvoir assurer l'harmonie de leur développement global.
Le dépistage du haut potentiel intellectuel représente un défi clinique face aux manques de recommandations diagnostiques ainsi qu'à la disparité d'informations cumulées en recherche sur leurs caractéristiques. L'approche holistique du bilan psychologique apparaît néanmoins comme une solution permettant de situer les fonctionnements psychiques de l'individu dans une zone constitutive du profil de « haut potentiel intellectuel », se devant aussi d'être au service de la prise en charge thérapeutique globale[-]

La prévalence du haut potentiel intellectuel (HPI) chez les enfants français scolarisés entre 6 et 16 ans est estimée à 2,3 %, représentant ainsi un défi majeur en pédopsychiatrie (Delaubier, 2002). Des décalages peuvent se manifester dans les différents domaines de l'intelligence, associés à des symptômes variés : hypersensibilité, anxiété, dépression, trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité, trouble oppositionnel, et ...

ADOLESCENCE ; JEUNE ; DIAGNOSTIC ; HAUT POTENTIEL ; PSYCHOPATHOLOGIE ; SCOLARITE ; ECOLE ; CAS CLINIQUE

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