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rue de Charlemagne 16
PARIS IVe
France


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Logique du terrorisme BOUNAN Michel | ÉDITIONS ALLIA 2018

Ouvrage - Cote : 323.28/BOU - Doc n°139363 - Centre de Ressources Documentaires

- 62 p.
ISBN 979-10-304-0980-2
Thème : VIOLENCE
Michel Bounan a écrit la première édition de ce texte en 2003. Après avoir brièvement expliqué les différentes formes que le terrorisme peut prendre, l'auteur expliquait en quoi les entreprises terroristes menées depuis plus d'un siècle se révèlent totalement inefficaces. L'actualité de ces dernières années, dont les attentats de Paris et de Bruxelles, était l'occasion de remettre son texte à jour.

TERRORISME ; VIOLENCE ; SOCIETE ; MEDIA

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Demain l'Europe BILLETER Jean François | ÉDITIONS ALLIA janvier 2019 H

* Ouvrage - Cote : 32(4-672)CEE/BIL - Doc n°142471 - HEPN Campus

- 64 p.
ISBN 979-10-304-1016-7
Thème : POLITIQUE
Et si nous inventions la République européenne ? L'Europe ne sait plus où elle va. Les Européens ne se reconnaissent plus dans l'Union, ce qui conduit un nombre grandissant­­­­­ d'entre eux à se replier sur leurs nations respectives. Surtout, ils ont pour retrouver un avenir à résoudre un problème plus grave, à l'origine plus lointaine, dont ils ont une conscience moins nette : “la liberté qu'ils ont perdue depuis que le capitalisme leur a imposé sa loi”. Pour la recouvrer et établir la primauté du politique sur l'économique, les Européens doivent se proclamer citoyens d'une République européenne.
Demain l'Europe est un appel stimulant pour une prise de conscience individuelle et un sursaut politique à l'échelle européenne. Jean François Billeter propose un autre modèle politique et trace les grandes lignes d'une République européenne, à même de réorienter l'activité sociale, de déterminer quels besoins et quels désirs essentiels la République devrait nous permettre de satisfaire, à l'échelle de nos vies, pour qu'elles aient le caractère de l'accomplissement. (note de l'éditeur)[-]

Et si nous inventions la République européenne ? L'Europe ne sait plus où elle va. Les Européens ne se reconnaissent plus dans l'Union, ce qui conduit un nombre grandissant­­­­­ d'entre eux à se replier sur leurs nations respectives. Surtout, ils ont pour retrouver un avenir à résoudre un problème plus grave, à l'origine plus lointaine, dont ils ont une conscience moins nette : “la liberté qu'ils ont perdue depuis que le capitalisme leur a ...

EUROPE ; ECONOMIE ; CITOYENNETE ; PHILOSOPHIE ; HISTOIRE ; CAPITALISME ; LIBERTE

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Pour une critique de la violence BENJAMIN Walter ; WISER Antonin | ÉDITIONS ALLIA mars 2019 H

* Ouvrage - Cote : 316.647/BEN - Doc n°142680 - HEPN Campus

- 62 p.
ISBN 979-10-304-1053-2
Thème : VIOLENCE
L'auteur pose dans cet essai la question de la validité morale de la violence, en tant que fondement ou partie intégrante du droit.
Le droit naturel ne voit aucun inconvénient à user de la violence pour des fins justes. L'adage en serait “la fin justifie les moyens”. Cet exercice-là de la violence a pu par exemple s'exprimer dans la Terreur pendant la Révolution française. Il revient à considérer la violence comme une donnée naturelle. Au contraire, le droit positif la définit comme le “produit d'un devenir historique”. Pour le droit naturel, seule la justesse de la fin compte. Pour le droit positif, tout droit s'établit sur la critique des moyens. Il convient de distinguer les différents types de violence indépendamment des circonstances de leur exercice, de s'écarter du droit naturel comme du droit positif. Il faut se tourner vers l'histoire, la distinction des violences devant se fonder sur la “reconnaissance historique universelle de leurs fins”. C'est in fine le droit qui s'octroie le privilège de la violence vu qu'il serait menacé si elle venait à s'exercer en dehors de lui. Pour ce faire, il se retrouve à lui-même l'autoriser, par exemple sous la forme du droit de grève. Ou bien à user lui-même de la violence suprême, “celle qui dispose de la vie et de la mort”, à travers la peine de mort, laquelle le fortifie. Le pouvoir recourt à la violence, qui le fonde et le préserve. (note de l'éditeur)[-]

L'auteur pose dans cet essai la question de la validité morale de la violence, en tant que fondement ou partie intégrante du droit.
Le droit naturel ne voit aucun inconvénient à user de la violence pour des fins justes. L'adage en serait “la fin justifie les moyens”. Cet exercice-là de la violence a pu par exemple s'exprimer dans la Terreur pendant la Révolution française. Il revient à considérer la violence comme une donnée naturelle. Au ...

RÉFLEXION ; ANALYSE ; CRITIQUE ; VALEUR MORALE ; DROIT ; RECOURS ; JUSTICE ; PEINE DE MORT ; PHILOSOPHIE

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