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Documents PIERRE-BROSSOLETTE Sylvie 4 résultats

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- 118 p.
Thème : SOCIETE
Ce rapport présente le troisième état des lieux du sexisme en France, élaboré annuellement par le Haut Conseil à l'Egalité, depuis son inscription dans la loi du 27 janvier 2017 relative à l'égalité et la citoyenneté. Dans ce troisième état des lieux, le Haut Conseil à l'Egalité a investigué plus particulièrement deux domaines de la vie publique : l'émergence d'une parole inédite dans le sillage de #METOO et la place des femmes dans les organisations et les contenus de la presse écrite, afin d'identifier les manifestations de sexisme, d'examiner la tolérance sociale à leur égard et de faire des préconisations. (note de l'éditeur)[-]

Ce rapport présente le troisième état des lieux du sexisme en France, élaboré annuellement par le Haut Conseil à l'Egalité, depuis son inscription dans la loi du 27 janvier 2017 relative à l'égalité et la citoyenneté. Dans ce troisième état des lieux, le Haut Conseil à l'Egalité a investigué plus particulièrement deux domaines de la vie publique : l'émergence d'une parole inédite dans le sillage de #METOO et la place des femmes dans les ...

FEMME ; GENRE ; SEXISME ; SOCIETE ; EGALITE ENTRE LES SEXES ; CITOYENNETE ; LIEU PUBLIC ; ESPACE PUBLIC ; PRESSE ; COMMUNICATION ; TOLERANCE ; RECOMMANDATION ; INEGALITE SOCIALE ; PANDEMIE ; COVID-19 ; EMPLOI ; HUMOUR ; DISCRIMINATION ; INCIVILITE ; VIOLENCE ; RESEAUX SOCIAUX ; STEREOTYPE ; SANCTION ; LUTTE ; VIOLENCE SEXUELLE ; INCESTE ; MOBILISATION ; CRISE SANITAIRE

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- 118 p.
Thème : SOCIETE
Ce rapport présente le deuxième état des lieux du sexisme en France, élaboré annuellement par le Haut Conseil à l'Egalité, depuis son inscription dans la loi du 27 janvier 2017 relative à l'égalité et la citoyenneté.
Dans ce deuxième état des lieux, le Haut Conseil à l'Egalité a investigué plus particulièrement trois domaines de la vie publique : le milieu de l'entreprise, les médias et la vie politique, afin d'identifier les manifestations de sexisme, d'examiner la tolérance sociale à leur égard et de faire des préconisations. (note de l'éditeur)[-]

Ce rapport présente le deuxième état des lieux du sexisme en France, élaboré annuellement par le Haut Conseil à l'Egalité, depuis son inscription dans la loi du 27 janvier 2017 relative à l'égalité et la citoyenneté.
Dans ce deuxième état des lieux, le Haut Conseil à l'Egalité a investigué plus particulièrement trois domaines de la vie publique : le milieu de l'entreprise, les médias et la vie politique, afin d'identifier les manifestations de ...

FEMME ; GENRE ; SEXISME ; SOCIETE ; EGALITE ENTRE LES SEXES ; CITOYENNETE ; LIEU PUBLIC ; ESPACE PUBLIC ; ENTREPRISES ; LIEU DE TRAVAIL ; MEDIA ; POLITIQUE ; RECOMMANDATION ; RECONNAISSANCE ; LUTTE ; OUTIL ; MOBILISATION ; VIOLENCE SEXUELLE ; GYNECOLOGIE ; OBSTETRIQUE ; VIOLENCE ; NUMERIQUE ; TELEREALITE ; TELEVISION ; STEREOTYPE ; CHANSON

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- 212 p.
Thème : VIOLENCE
Les chiffres sont clairs : 90% des contenus pornographiques présentent des actes non simulés de violences physiques, sexuelles ou verbales envers les femmes. Dans ces millions de vidéos, les femmes, caricaturées des pires stéréotypes sexistes et racistes, sont humiliées, objectifiées, déshumanisées, violentées, torturées, subissant des traitements contraires à la dignité humaine et… à la loi française. En effet, ces contenus violents répondent pour certains à la définition juridique d'actes de torture et de barbarie. Les femmes sont réelles, les actes sexuels et de violences sont réels, et la souffrance est souvent parfaitement visible et en même temps érotisée. La pornographie n'est pas du cinéma. Culture du viol, déshumanisation des femmes, apologie de l'inceste, racisme, pédocriminalité, LGBTphobies… La pornographie est à l'intersection de toutes les haines et s'inscrit dans le continuum des violences. De la production à la diffusion de vidéos pornographiques, c'est un véritable système d'exploitation sexuelle à l'échelle industrielle qui s'est mis en place. En France, plusieurs procédures judiciaires sont en cours avec des dizaines de producteurs mis en examen pour « viols en réunion », « traite aggravée d'êtres humains », « proxénétisme aggravé » ou même « viol avec acte de torture et de barbarie ». Aux États-Unis, des procès se préparent aussi contre Pornhub, accusé de trafic sexuel et pédocriminalité. Ces procès, espérons-le, seront exemplaires, contre une industrie qui prospère sur la haine et la violence misogyne, dans l'indifférence générale et l'impunité la plus totale.[-]

Les chiffres sont clairs : 90% des contenus pornographiques présentent des actes non simulés de violences physiques, sexuelles ou verbales envers les femmes. Dans ces millions de vidéos, les femmes, caricaturées des pires stéréotypes sexistes et racistes, sont humiliées, objectifiées, déshumanisées, violentées, torturées, subissant des traitements contraires à la dignité humaine et… à la loi française. En effet, ces contenus violents répondent ...

SEXUALITE ; PORNOGRAPHIE ; CRIMINALITE ; VIOLENCE PHYSIQUE ; VIOLENCE VERBALE ; VIOLENCE SEXUELLE ; VIDEO ; CYBER-CRIMINALITE ; STEREOTYPE ; FEMME ; VICTIME ; DIGNITE HUMAINE ; SOUFFRANCE ; VIOL ; DISCRIMINATION ; INCESTE ; RACISME ; LGBTIQ+ ; XENOPHOBIE ; INTERNET ; TRAFIC ; HAINE ; HYPERSEXUALISATION ; MUTILATION SEXUELLE ; ADDICTION ; NEUROSCIENCES ; ETUDE COMPARATIVE ; POPULATION MONDIALE ; INDUSTRIE ; PROSTITUTION ; SYNDROME PSYCHOTRAUMATIQUE ; MINEUR D'AGE ; DROIT INTERNATIONAL ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES ; RECOMMANDATION ; LUTTE ; PREVENTION ; EDUCATION AFFECTIVE ET SEXUELLE

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- 150 p.
Thème : DROIT
Derrière l'omniprésence des technologies et leurs promesses de progrès, persiste une réalité alarmante : que ce soit dans les contenus diffusés ou les métiers exercés, les femmes sont sous-représentées ; invisibilisées, caricaturées ou agressées dans le premier cas, insuffisamment formées ou recrutées dans l'autre. A partir de l'analyse des 100 contenus les plus vus sur YouTube, TikTok et Instagram, le HCE affirme que sur Instagram, 68% des contenus propagent des stéréotypes de genre, 27% contiennent des propos à caractère sexuel et 22% des propos à caractère sexiste. Sur YouTube, 24% des contenus contiennent des éléments de violence et seulement 8% des vidéos sont faites par des femmes. Sur TikTok, 61% des vidéos présentent des comportements stéréotypés masculins et 42,5% des séquences d'humour et divertissement contiennent des représentations dégradantes des femmes.

Les réseaux sociaux participent au triple processus d'invisibilisation des femmes, de reproduction des stéréotypes de genre et de diffusion de la violence symbolique et physique envers les femmes. Ce qui pose la question cruciale de la responsabilité des plateformes dans la perpétuation des inégalités et de la violence en ligne.

Quant à la filière numérique, elle reste elle largement dominée par les hommes et en conséquence caractérisée par une forte culture sexiste. Seulement 29% des effectifs du numérique en France sont des femmes en 2020 dont 16% dans les métiers techniques et 22% dans les postes de direction. Cette sous-représentation entraine le développement d'outils et de langages qui renforcent la maitrise masculine de cet environnement, repoussant ainsi les femmes à la périphérie des avancées technologiques qui façonnent notre avenir. Et cette inégalité professionnelle prend ses sources dès le parcours éducatif, où la spécialisation genrée des filières écarte les filles des formations scientifiques ou technologiques. (note de l'éditeur)[-]

Derrière l'omniprésence des technologies et leurs promesses de progrès, persiste une réalité alarmante : que ce soit dans les contenus diffusés ou les métiers exercés, les femmes sont sous-représentées ; invisibilisées, caricaturées ou agressées dans le premier cas, insuffisamment formées ou recrutées dans l'autre. A partir de l'analyse des 100 contenus les plus vus sur YouTube, TikTok et Instagram, le HCE affirme que sur Instagram, 68% des ...

DROITS DE LA FEMME ; INEGALITE SOCIALE ; EGALITE DES CHANCES ; EGALITE ENTRE LES SEXES ; NUMERIQUE ; MARCHE DE L'EMPLOI ; RESEAUX SOCIAUX ; STEREOTYPE ; GENRE ; LUTTE ; VIOLENCE ; FEMME ; INTERNET ; SEXISME ; ETUDES ; ENSEIGNEMENT - APPRENTISSAGE ; HYPERSEXUALISATION

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